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Scénarios 401 à 450 sur 1237

	8954	En quête de vérités
		« Extrait de la base de données d’histoires Intergalactiques XXII -La disparition du peuple Humain Le voile fut levé un soir de décembre 2012. Malgré de nombreux avertissements écrits par d’anciens oracles, la plupart des humains les avait ignorés .Certaines sectes, suite à de mauvaises interprétations , attendaient une « Apocalypse » telle qu’elle était décrite dans leurs manuels religieux. La surprise fut donc de taille lorsque le ciel dévoila ce qu’on leur avait caché depuis si longtemps. De nombreuses opportunités s’étaient offertes à l’Humanité depuis l’affaire nommée « Roswell ». Mais leurs autorités, préférant cacher la réalité aux Terriens, s’empressaient de tourner au ridicule toutes preuves irréfutables. http://www.youtube.com/watch?v=MiVZ-znqOX4 soit « autopsie d’une forme humanoïde plastifiée Pourtant, les visites des peuples inter- galactiques devenaient fréquentes sur Terre, pour diverses raisons ( V ,IX ) . Thory appartenait au… » Nessa interrompit brusquement sa lecture .Son acolyte, l’interrogea du regard. - On va enfin savoir...murmura t-elle. - Encore 2 minutes avant la fin du transfert de données, dés que ce sera terminé, l’alarme va se déclencher et on aura 2 secondes 21 pour ouvrir une brèche .Tu croit que ces informations valent la peine de prendre de tels risques ? s’angoissa Marley. - Tout ce qui concerne ce peuple est important, lâcha Nessa Elle reprit. « Thory appartenait au peuple Osmar ,planète située dans la galaxie du Sombrero (célèbre zone marchande) .Unique descendant de la Grande Impératrice ,il était membre depuis peu du LEIG ( Ligue des Explorateurs Inter Galaxies ) .Pour sa première visite sur Terre ,il fut chargé d’étudier les modes de communications des grands mammifères marins ( V ) . Chant des baleines - Whales singing - relaxation Source : www.youtube.com Alors qu’il survolait une zone riche en cétacés, Thory fut bouleversé par ce qu’il écoutait. Malgré tout ce qu’il avait lu sur cette espèce, l’harmonie et la richesse de ce langage le stupéfiait .La communication était possible. » Elle sauta quelques lignes. … « Surpris par l’impact le jeune Osmar n’eut le temps de réagir .Des pilotes d’une unité appelée Air Force One l’avaient détecté »… …« En dépit de l’accord passé avec les services secrets Terriens (projet PLATO - accordant le droit d’effectuer des expériences en échange de technologie), Thory fut capturé… » « Après un tel affront, l’assemblée des Sages fut réunit. Unanimement, ils décidèrent que le peuple humain serait abandonné .L ’Impératrice déclara que la meilleur vengeance était de laisser l’humanité se conduire irrémédiablement vers sa propre perte, un peuple au niveau de conscience si faible ne méritait pas d’avoir accès au savoir universel .Tous voyages vers la Terre serait désormais interdit… »... …« C’est donc ce soir de 21 décembre 2012 que tous les vaisseaux présents sur Terre reçurent l’ordre de quitter cette planète désormais bannie. Ils désactivèrent tous leur champ de protection afin de rester visible, les Terriens sauraient désormais que… » … Le transfert était terminé. Marley débrancha sa clef, l’alarme se mit à retentir. Disposant d’un modificateur d’espace-temps, nos deux amis échappèrent de justesse à la Garde Impériale. Maintenant à l’abri dans leur vaisseau, notre héroïne s’installa confortablement afin d’étudier chaque détails. Marley voulait en savoir plus sur sa mystérieuse amie, il l’interrogea une nouvelle fois : - Du jour au lendemain tu me parles de ces Humains et de cette planète, tu veux tout savoir sur eux et rien ne t’arrêtes. Expliques-moi. - Tout te sera dévoilé lorsque tu seras prêt à l’entendre, mon cher Marley …
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	8943	Chats
		Les chats sont des êtres indépendants. Et s'ils prenaient le pouvoir? Après tout, ils nous considère déjà comme leurs serviteurs! Lorsque vous donnez à manger à un chien, il pense que vous êtes son dieu. Quand vous donner à manger à un chat, il pense que vous êtes son serviteur.... Mais peut-être réussiraient-il mieux que nous....?
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	8937	Le défis Pandora
		La surface de la planète connu sous le nom de planète " Terre " ne suffit plus à contenir le nombre de ses habitants, les terriens, qui depuis l'an 2010 se sont multipliés par 21. La planète épuisée de toute ses ressources est désormais inexploitable. Les Terriens se sentant trop à l'étroit sur cette planète et ne pouvant plus se nourrir correctement décidèrent de visiter les autres galaxies à la recherche d'une nouvelle "Terre". Ils la trouvèrent dans la galaxie Hiring et la baptisèrent "Terra" ceci se passa en l'an 5 après Daya Terra (= 3005 après Jésus Christ, Daya était le nom du vaisseau dans lequel les terriens découvrirent la planète ). Malheureusement cette planète identique à la précédente est déjà convoitée. Des civilisations milles fois supérieures à la race humaine projetaient déjà d'exploiter cette planète. Une grande guerre allait alors commencer avant que l'esprit de la galaxie Hiring fit son apparition pour régler ce problème. Il lança un défit aux peuples qui convoitaient la planète, le défis Pandora , Pandora qui est un cube formé de 360 autres petits cubes. L'esprit dispersa les 360 cubes qui formaient le cube pandora dans les autres galaxie, et conclus que le premier peuple qui pourrait assembler les 3/4 du cube se verrait propriétaire de la planète. Tous les coups étaient permis excepté la mise à mort de son adversaire ! On peut imaginer que chaque cube a un pouvoir spécial.
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	8936	L'éternel recommencement
		En 2023, des chefs d'états totalitaires ayant essayé de contrôler l'océan pour disposer d'une arme extrêmement puissante contre les pays opposants déclenchent un terrible dérèglement qui cause l'engloutissement de tout les continents... Les hommes, pour survivre se réfugient donc sur les arbres aquatiques dont les solides branches dépassent de la surface. Certains parviennent à subsister ainsi, mais beaucoup meurent, engloutis par une vague inattendue, ou précipités dans l'eau après que la branche sur laquelle ils avaient trouvé refuge se soie brisée. Alors que les autres espèces (dont beaucoup de nouvelles créées par l'homme pour remplacer celles n'ayant pu s'adapter aux nouvelles conditions) semblent s'épanouir pleinement, la survie de l'espèce humaine semble grandement menacée, car incapable de respirer sous l'eau, ils essayent de pêcher leurs repas, ce dont ils n'avaient plus l'habitude. Mais comme lorsque la planète bleue recelait encore quelques rares endroits verts pour beaucoup d'endroits gris, arrive un moment où l'homme en demande trop à la nature, et où celle-ci ne peut l'entretenir plus longtemps. Arrive alors un étrange bouleversement... Alors que les évolutions précédemment subies par l'espèce humaines se sont étalées sur plusieurs millions d'années, les hommes de 2023 à 2050 subissent une mutation fulgurante... C'est ainsi qu'en l'espace d'une génération, les hommes ont eu des ailes, des nageoires et des branchies. Cette situation dure jusqu'au retrait des eaux, découvrant un monde purgé des immondices des hommes, leur laissant place pour recommencer à zéro et ne plus commettre les erreurs ayant failli causer leur perte Voilà pas terrible mais j'ai pas trouvé mieux, dsl... ;)
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	8923	Se souvenir pour l'avenir
		Un jour nous nous souviendrons de qui nous sommes. Je me souviens. Je suis une entité venue d'une planète située dans le système solaire jumeau de celui ou se trouve la Terre. On appelle cette planète la Cite de Cristal. Nous sommes esprits de Lumière, conscient du Tout, vivant hors de l'espace et du temps. Dans cette éternité, avec la connaissance cosmique, nous nous demandions comment évoluer davantage. Avec les entités de Sirius et Orion, nous décidions de créer un Jeu Cosmique, d'abord pour nous amuser (tout savoir dans l'absolu c'est sympa mais on fini par s'ennuyer), mais aussi pour nous permettre de découvrir de nouvelles possibilités d'évolution. Le terrain de jeu: la Terre, planète neuve, facilement aménageable pour accueillir la Vie. Les règles: créer des corps porteurs de Vie, les faire évoluer jusqu'à obtention de véhicules pouvant contenir les entités des différentes équipes de participants. Chaque participant se doit de descendre dans un corps nouveau-ne, en faisant grandir ce corps, le joueur oublie tout de sa nature véritable, sa mémoire originelle restera ancrée dans son ADN et cette mémoire ne peut être réveillée que par réaction a des événements-clés qui auront êtes déterminés par le joueur lui même au préalable. Chacun détient donc son scénario de jeu, mais chacun l'oublie dès sa "naissance". Etant amnésique, le joueur grandit donc en créant un esprit nouveau, résidant dans le même corps. Le but: chaque participant doit se souvenir de qui il est ainsi que de sa fonction dans le Jeu et se doit de créer l'Alliance parfaite entre l'esprit originel éveillé et l'esprit nouveau qu'il a créé lors de son amnésie. De cette union naitra une évolution nouvelle pour l'Univers, enrichie par les expériences de ces esprits nouveaux qui auront cherche a comprendre le mystère de la Vie. Tout joueur qui se souvient peut a chaque instant demander de l'aide aux entités non incarnées. Etant connecté à nouveau a la Source, le joueur éveillé peut également obtenir toute information qui lui est nécessaire, cependant il devra se heurter au fait que les joueurs amnésiques ne pourront croire en ces Vérités. Le Jeu Cosmique est un jeu d'évolution, il n'y a aucun perdant, tous les joueurs ont travailles ensemble a l'élaboration du scénario et chacun y a choisit sa fonction. La Vie est un Jeu, alors souvenez-vous, jouez, soyez fair-play, prenez soin les uns des autres car vous êtes partenaires de jeu! Eclatez-vous! Le retour a l'éternité, c'est looooooooong!!!!
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	8907	Choc des espèces
		Dans un futur, l'homme va se désintéresser de l'avenir des espèces. Celles ci devront évoluer pour survivre. Quelques une opteront pour la méthode des rats, se cacher et se reproduire. D'autre se laisseront domestiquer pour survivre. Les Hominidés ou grands singes, choisiront la voie de l'évolution spirituelle et morale. Les humains, sans voir ces nouvelles espèces concurrentes, continuera la découverte spatiale. Un jour les hommes partiront de la planète pour la colonisation (et laisser le temps à la planète de se dépolluer) et laisseront une grande durée entre le départ et le retour sur la bonne vieille Terre. Pendant ce temps, les singes auront colonisé la planète et avancé technologiquement. Lorsque les premiers nostalgiques (ou colons) reviendront sur Terre, il y aura un quiproquo géant sur l'appartenance de la planète. Les Singes diront "c'est notre planète" et les hommes diront "ce fut et c'est toujours notre planète". Devra donc naitre une alliance Homo-simiesque.   Afficher les scénarios connectés
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	8877	Eau contaminée
		Imaginons que dans le futur, l'eau sur Terre devienne non potable, étant contaminée par un virus. Comment ferait-on pour survivre? Il faudrait en trouver autre part, sur une autre planète... Ou bien trouver quelque chose pour remplacer cet élément précieux! Aurait-on assez de temps?
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	8867	La révolte des cellules
		- Mamie, raconte-moi la révolte des cellules ! - Encore ? - Oui ! Encore ! Patricia et son petit fils Antoine étaient adossés à un arbre, dans une verte prairie. On sentait une légère brise, qui rapportait le bruit lointain du clocher du village. - Ecoute, mon chéri: ca va etre le moment de mon bilan journalier. Mais je vais demander à mon corps si on peut attendre un peu... bon, c'est d'accord ! Alors, tu te rappelles en quelle année c'était ? - Oui, mamie: c'était en 2128. Tu avais 25 ans. - C'est bien cela … - Vous êtes dépressive, chère petite madame ! C'est ainsi que Patricia entra dans le monde très spécial des médicaments. - Mais ne vous inquiètez pas. Je vais vous donner toutes sortes de petites pilules, et vous allez voir... plus aucune douleur !" En effet. Patricia ne ressentit plus rien. Ni souffrance, ni plaisir. Ni joie ni peine. Ni bien, ni mal. Elle s'empiffrait de molécules douteuses qui aseptisaient sa vie. Très vite, elle fut accro. Et très vite, elle augmenta les doses, histoire de s'enfoncer profondément dans son petit néant psychique. - Hé, vous autres ! Il se passe des choses bizarres depuis quelques temps. - Oui ! Cela fait bientôt 1000 000 000 vies cellulaires que nous n'avons plus de nouvelles du cerveau... ou sont les neurotransmetteurs ? - Pfff ! On ne les a plus vu, ils ont disparus! - nous ne pouvons pas continuer ainsi ! Il faut agir ! - oui, mais que pouvons-nous faire ? - c'est vrai, nous sommes toutes spécialisées: toi, la peau, moi, le sang, elle, le coeur, l'autre, a coté, les artères... - Oui, mais nous avons tout le patrimoine génétique de "l'ame Patricia"! - Que veux-tu dire ? - Cessons de nous spécialiser ! Devenons polyvalentes ! - C'est impossible ! - Nous ne pourrons pas ! - Tu reves, la ! Chacun sa place, sinon c'est l'anarchie ! - Qu'avons-nous a perdre ? Nous allons toutes périr de toute façon... - Alors organisons notre indépendance." Et ainsi, insidieusement, Patricia, complètement anesthésiée par les médicaments, perdit le contrôle de son corps. Quelques temps après... "- Patricia ? - Oui ? Qui me parle ? - c'est nous, corps éveillé. Nous voulons te soumettre une proposition. - Qui ? C'est vous, Dieu ? Ca y est... je suis folle... j'entends des voix..." La jeune femme se précipite sur une boite de cachets, la saisie, et tombe mollement sur le sol, inconsciente. Quelques minutes plus tard: - Envoyez-lui une bonne dose d'adrénaline, maintenant ! - Transmettez: adrénaline. - Transmis ! - Allez, tout le monde s'y met ! - Patricia ? - Ha ! Non ! Laissez-moi ! J'ai peur ! Explosa-t-elle. - Equilibrez, vite ! Endorphines ! - Transmis ! - Bon. PATRICIA ECOUTE-NOUS ! - Que voulez-vous ? Ne me faites pas de mal ! - Il faut que tu saches, utilisatrice de cette entitée, que c'est toi qui nous fait du mal. Nous ne pouvions plus le tolérer. C'est pourquoi, nous dirigeons maintenant LE corps. - Quel corps ? MON corps ? - Ce n'est plus le tient depuis que nous avons pris le contrôle. C'est pourquoi nous te proposons une négotiation. - Pardon ?! Mon... corps se rebelle ? Mais, je suis ou, alors ? - Avec nous. Nous sommes toutes dans la meme galère. Si toi, ame Patricia, tu es le capitaine, nous, cellules du corps, sommes l'équipage. Et ca fait un moment qu'on est sur "pilote automatique" - Je suis désolée... je ne savais pas. Ou j'avais oublié. - Bien. Alors es-tu prete à écouter nos revendications ? - Tu dois savoir que si tu n'obtempère pas, nous t'expulserons de chacune d'entre nous. - Et alors, qui vous nourriras ? Qui vous hydrateras ? Qui vous conduiras ? - Voilà. Comme tu le comprends, c'est la mort pour nous toutes. Toi comme nous. Alors nous te proposons de vivre en symbiose. - Qu'est ce que ca implique ? - Donne-nous ce dont nous avons besoin en nutriments, maintient-nous en bonne forme, et surtout, ECOUTE ! - Et en contre-partie ? - Tu gardes le contrôle des mouvements. Sauf si cela nous mets en danger ! - C'est tout ? - Non. Nous t'assurrerons alors un parfait équilibre. Et une longévité optimale. - D'accord." Bientôt, on ne sait comment, toutes les cellules humaines se donnèrent le mot (ou plutot, le message). Après quelques années tumultueuses, temps d'adaptation nécessaire à la symbiose corps-ame, il fut promulguées la "charte de l'harmonie". En voici les premières lois: 1 - Respect mutuel des deux partis: le corps a des besoins et des envies, comme l'ame. 2 - Restauration journalière de "l'entité": repos obligatoire, de 6 à 12 heures par 24, réparties selon l'age et les dépenses énergétiques. 3 - Notion d'évolution: l'ensemble corps-ame doit tendre vers le mieux: une plus grande complicité, de nouvelles idées, ... Ainsi, le monde Humain s'en trouva profondément changé. Il est vrai que c'était le seul etre vivant à ne pas ou mal satisfaire ses fonctions primaires. A vouloir trop s'élever, on finit par perdre la trace des bases. Et si on "entendais" notre corps, nous ne savions plus interpreter son langage. C'était il y a 150 ans. De nos jours, nous ne vivons plus cette dualité. Nous nous sommes réconciliés avec nous-meme. -Mamie ? - Oui, Antoine ? - Quel age tu as ? - 175 ans. - Qu'est ce que t'es vieille ! Pourtant tu ressembles à maman... - Merci, mon chéri. Allez ! Rentrons, maintenant. Il va être l'heure des réunions inter-cellulaires. Text by laetitia. Thank you for reading me !
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	8835	Nous sommes immortels !
		Lumière ! Musique grandiose ! Fantastique souffle ! Le présentateur arrive . " Gens d'age ! En ce jour nous fêtons le 200 éme anniversaire de la découverte de l'immortalité ! " Applaudissement . Le panneau - Applause - devient - silence - , le public se tait . " Pour cette datte grandiose le consortium Immortalis nous propose un magnifique documentaire a la splendeur de notre civilisation ! " Un hologramme apparait , montrant une planète , une voix de stentor se fait entendre . " AN 0 DE NOTRE CALENDRIER ! AN 2012 DU CALENDRIER DE L'HOMO SAPIENS SAPIENS DES TEMPS ANCIEN ! " Le publique retient son souffle , arrête de chuchoter et stoppe ses pensées , il écoute , écoute les puissantes paroles , il se laisse bercer , heureux de connaitre son passé . La voix reprend , plus douce , plus mélodieuse . " En ce jour de l'an 0 que nous connaissons maintes catastrophes arrivèrent , plongeant notre monde dans un chaos certain , heureusement un groupe de savant wircomptais autrefois allemands mirent au point grâce a l'aide de la technologie extra et infraterrestre un procédé permettant l'immortalité des cellules grace a une brillante analyse du corps humain , désormais seul une dégradation physique des organes étaient en mesure de stopper cette immortalité , les maladies étaient était détruite . " Le public applaudit de nouveau , fier de ses savants . " Cependant , un groupe extrémiste de jeunes qui se prénommaient eux-même les " dangereux " nous rapporte notre chef de section anti-nuisible . " Hué du publique a l'intention de ces nuisibles , de ces ... jeunes . " La section les réduira a néant , eux , et leurs revendication malsaines . En en citant quelque une : * Ne plus tuer les nouvelles générations . * Arrêter la stérilisation du monde . * Stopper nos recherches sur l'immortalité , qu'ils trouvaient , une " offense " a la nature . * Les retour aux principes du passé . Le public se tait , stupéfait par de telles idées . " Heureusement , affin de gagner notre droit a l'immortalité nous nous décidâmes a enlever a notre beau monde la balafre du passé , ainsi seul les immortels furent laissés ! Et c'est nous ! L'immortalité ! Nous sommes la seule , l'unique , la présente et la future génération ! Le passé nous est acquis et le futur est a nous ! " Le public se lève , hurle ! Une légion de vieillards , soucieux de se protégeaient , assassin de toutes naissance et seul êtres encore vivant sur ce monde , ils sont les maitres . Les seuls . La musique baisse . Le souffle s'arrête . Noir .
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	8834	Le capitalisme durable
		Septembre 2009 : Le gouvernement français décide d’investir dans les véhicules électriques afin que tous les services publics (poste, France télécom, Edf, etc.) en soient équipés. Cette grosse commande, espère le Ministre du Développement Durable, lancera un marché et créera la « croissance verte », les grands groupes automobiles se penchant, d’ailleurs, davantage sur ce marché émergent. Une nouvelle manière de pensée pourra émerger. Septembre 2109 : Lucien range un livre des éditions « la pléiade » dans sa grande bibliothèque. La majorité de ces ouvrages ont été fabriqués avec du papier recyclé. Il regarde, admiratif, une partie de la mémoire de l’humanité. son regard reste un moment sur le dernier livre qu’il vient de lire « Pour un pacte écologique ». La plupart des idées de l’auteur ont été appliquées par les gouvernements mondiaux. Le plus ironique est de voir que le Développement Durable est devenu un Way of life au moment où la nature connaît les plus grands bouleversements qui n’ont jamais été observés depuis de nombreux millénaires. Un souvenir vint frapper le lecteur qui se dirigea vers une vieille commode du XXème siècle. Après quelques recherches infructueuses, il trouva ce qu’il cherchait. Assis sur le canapé, il feuilleta un carnet dont les pages, jaunies par le temps, recelaient des pensées de son grand-père disparu. Il faisait partie d’un groupuscule, plutôt d’une association, qui se prénommait « L’arbre des possibles ». Il employait souvent les termes de voie de moindre violence et de voie d’extrême violence pour parler des chemins que prendraient l’humanité dans un futur plus ou moins proche. Il arriva sur le passage qu’il recherchait : « La majorité des capitalistes au XXème siècle sont dans ce schéma de pensée : « comment produire plus à moindre coût ». Mais ne ce début de XXIème siècle, une mutation des mentalités s’est opéré. Deux types de capitalistes sont en train de voir le jour : les « comment produire autant à moindre coût tout en s’enrichissant davantage » et les « comment produire plus à moindre coût en polluant moins ». » Il vit la page suivante un schéma représentant deux voies possibles que pourraient prendre les humains du futur. « De ces deux nouvelles espèces naîtront deux branches différentes, l’une amenant vers la voie d’extrême violence, l’autre vers la voie de moindre violence. Les premiers prendront le chemin suivant : Chemin A : « comment produire autant à moindre coût tout en s’enrichissant davantage » - « comment produire moins à moindre coût tout en s’enrichissant » - « comment ne plus produire à moindre coût en s’enrichissant » - « comment s’enrichir à moindre coût » - « comment s’enrichir (sans produire) ». Les seconds prendront un autre chemin : Chemin B : « comment produire plus à moindre coût en polluant moins » - « comment produire autant à moindre coût en polluant moins » - « comment produire moins à moindre coût en polluant moins » - « comment ne plus produire à moindre coût en polluant moins » - « comment polluer moins à moindre coût » - « comment polluer moins (sans produire) ». Cependant, une troisième voie est possible : Chemin AB 1 : « comment produire plus à moindre coût en polluant moins » - « comment produire plus en polluant moins ». Chemin AB 2 : « comment produire plus à moindre coût en polluant moins » - « comment produire autant à moindre coût tout en s’enrichissant et en polluant moins » -« comment produire moins à moindre coût tout en s’enrichissant et en polluant moins » - « comment ne plus produire à moindre coût tout en s’enrichissant et en polluant moins » - « comment s’enrichir en polluant moins ». Par pure réalisme, je pense que les capitalistes prendront le chemin AB 1 : Produire plus en polluant moins. Cependant, je pense malheureusement que même dans un siècle, les capitalistes resteront à l’étape intermédiaire : produire plus à moindre coût en polluant moins. Le chemin B pourrait se réaliser, mais sur plusieurs millénaires. C’est la Voie de Moindre Violence par excellence. Mais je crois que l’on va rester longtemps dans le chemin AB 1 avant que les mentalités ne changent. Les deux possibilités : s’enrichir en polluant moins sans rien produire et s’enrichir sans rien produire, sont irréalistes, mais correspondent malheureusement au schéma de pensée (pour ne pas dire « schéma de folie ») de certains ultra-capitalistes. La décroissance serait-elle plus efficace que de développer une croissance verte ? Je n’en suis pas sûr. Créer un marché et favoriser une croissance verte, voilà la seule façon d’encourager et d’amener le développement durable dans un délai court. » En refermant le carnet, Lucien ne put s’empêcher d’admirer ce grand-père qui avait su aussi bien sentir l’avenir qui était désormais le présent de son petit-fils. Les marchands sont toujours aussi puissants en ce XXIIème siècle. Ils ont su s’adapter à la mode écologiste et ont transformé l’or noir du pétrole en or vert du tout électrique. Son ancêtre avait raison, la croissance aura toujours une longueur d’avance sur la modération. Mais peut-être qu’un jour…
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	8813	Il sera une fois
		Dans un futur lointain la terre sera en voie d'extinction, c'est d'une autre planète que l'histoire se situe. Il était une fois la vie, il était une fois la mort; il était une fois l’espérance, il était une fois le désespoir. Mais surtout, il était une fois Malka. C’était une planète née de la collision entre vénus et mercure, entre amour et haine, cela avait sans doute forgé le caractère de ses habitants. La planète, au commencement, était superbe, paradis perdu au milieu du grand Vide, entourée d’étoiles. Les saisons étaient parfaitement régulées, la nature pleinement développée et variée, la vie commençant à naître. On aurait pu voir le bonheur et la tranquillité se promener paisiblement sur cette planète, cette enfant, fruit de contradictions. Rapidement, des arbres avaient poussés et de ces végétaux étaient sortis des êtres appelés elfes, immortels, d’une beauté éblouissante. Parmi eux, certains possédaient des dons : voir à des milliards et des milliards de Km, comprendre en regardant, l’histoire de chaque chose. Ainsi, un jour, l’un de ces êtres, nommée Lia, vit une planète bleue, mais d'un bleu étrange, impur est un mot qui lui convenait bien car de nombreux déchets en tout genre flottaient à sa surface. Elle était en piteux état, la vie était certes toujours présente, mais rare, il y avait des animaux, et des êtres ressemblant à Lia. Leur point commun est qu'ils étaient tous squelettiques.Ils semblaient porter sur eux toute la misère du monde, les yeux remplis de tristesse et de haine, les enfants y compris. Comment expliquer cela ? Lia s’interrogeait sur ces questions. La réponse était simple, mais elle l’ignorait. Sa curiosité naturelle l’incita à interroger ses aînés. Ils observèrent la planète bleue, et tout en observant, des larmes de tristesse et de compassion coulaient doucement sur leur visage. Ils comprenaient l’histoire de cette planète. La voici en quelques phrases. Il y avait eu une fois la vie, semblable à celle sur Malka, des hommes et des femmes heureux, des enfants insouciants;un printemps, un été, un automne, un hiver, qui revenaient toujours à la même époque en se gardant chacun trois mois de l'année. Ceux qui l’habitaient se nommaient hommes ou animaux. Les uns n’avaient cessés de s’entretuer, les autres avaient du en subir les conséquences. Par exemple, des hommes politiques corrompus à la recherche de pouvoir et d'argent avaient accepté de voir des forets anéanties, des lacs puis des mers asséchées, dans le but de satisfaire au bon plaisir de constructeurs véreux. Au fur et à mesure que les siècles s’étaient écoulés, ce phénomène n’avait cessé de s’accentuer. Ce ne fut qu’en l’an 3000 que les hommes se rendirent compte que, du haut de tout leur orgueil, ils s’étaient auto détruits et devaient en subir les conséquences. Les aînés, l’expliquèrent à Lia, puis aux autres membres de la planète. Ainsi, les erreurs commises par les terriens ne se répétèrent jamais sur cette planète qui continuera d’exister pendant plusieurs millénaires.
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	8805	Et les hommes renieront Dieu
		Nous nous retrouvons finalement une petite dizaine de personnes réunies sur le parvis de la cathédrale. Notre guide, Néous, arrive enfin. «  Si vous voulez bien me suivre, la visite va commencer. » Tout le monde se presse derrière lui. Jaaz me tient la lourde porte de la cathédrale. Et nous voici à l'intérieur. Et c'est la première fois que j'assiste à un tel spectacle. Je suis à la fois intriguée, impressionnée et... glacée. Ainsi, c'est donc là que priaient les hommes. C'est ici qu'ils pensaient retrouver Dieu. Dans cet endroit sombre, étrange et morbide. Je ne comprend pas et j'ai envie de sortir. L'odeur de l'encens m'écoeure, le christ sur la croix me donne des frissons, la musique est sinistre. J'avais pourtant déjà vu des photos et des reportages. Mais je n'imaginais rien de tel. Et dire que tout ça s'est arrêté il n'y a pas si longtemps finalement. Presque 200 ans...je ne sais plus bien exactement. La voix de Néous me tire de mes pensées. «Avant les hommes allaient à l'église tous les dimanches en famille. Après c'était juste pour les mariages, baptêmes et enterrements. Puis plus du tout. La plupart des églises sont tombées en ruines seules les plus belles sont restées uniquement pour les touristes évidemment. Les prêtres sont morts Et ils n'ont pas été remplacés.  Les hommes venaient ici s'agenouiller, les mains jointes, la tête baissée. Ils se recueillaient et priaient.  Ils pouvaient prier pour un proche malade ou décédé mais aussi pour d'autres hommes dans le besoin... » Je me penche vers Jaaz et chuchote: « Et ils croyaient vraiment à l'utilité de leurs prières tu crois? » « A l'époque on essayait juste de se déculpabiliser de ne rien faire oui! Une petite prière et voilà! C'était trop facile! » « Jaaz, on ne fait pas mieux aujourd'hui... » « On a au moins le cran de se l'avouer . » Néous continue à réciter son discours comme un automate : « Le prêtre officiait dans la Nef, en aube, c'est-à-dire une tunique de toile blanche , comme celle-ci. » Je dois avoir un sourire méprisant sur les lèvres. Toute cette mise en scène! Je ne comprend pas comment les hommes ont pu cautionner cette mascarade aussi longtemps!  Quelque part je me sens fière d'appartenir à mon époque. On a bien fait de supprimer les religions. Dieu n'était qu'un stratagème inventé par des hommes désespérés pour surmonter l'insurmontable .Rien de plus. Et aujourd'hui, on a plus besoin de lui. Les hommes se réfugient ailleurs maintenant. Ils apprennent à vivre en harmonie avec eux-même et avec les autres. Ils apprennent la réflexion, la méditation, la relaxation. La sérénité de l'âme. un art de vivre pour remplacer la religion. ils ne sont pas encore très doués mais je trouve ça beaucoup plus intelligent. Soudain, dans une alcôve j'aperçois des dizaines de petites bougies allumées. Les petites bougies m'attirent. Les flammes dansent devant mes yeux. On dirait qu'elles m'appellent. On dirait qu'elles m'ensorcellent. Les flammes se reflètent dans mes yeux. Deux brasiers. Je relève mes yeux. Les vitraux en forme de rosace étincellent de mille couleurs. Je sursaute. Quelqu'un est derrière moi. Je me retourne. C'est juste une statue de pierre qui semble me sourire. Un sourire moqueur. L'encens me monte à la tête. Un petit air chaud me caresse la peau. Etranges sensations. Et on termine la visite. Je baisse les yeux. Je ne veux pas que quelqu'un s'aperçoive qu'ils brillent un peu trop. On est tous ressorti de la cathédrale. La lumière nous a aveuglé. J'ai regardé une dernière fois ce grand monument Merci du voyage et pardonnez-moi mes ancêtres on a pas beaucoup changé finalement.
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	8789	SEUL
		Et voilà je suis seul au monde...nous sommes le 31 décembre 2020... Je m'apprête à passer mon premier réveillon seul, mais vraiment tout seul... La pandémie de grippe due au virus H1N1 a sévi ; les populations ont été décimé par ce virus qui était plus rude que prévu. Plus rude ou plus génétiquement modifié pour faire de la place sur notre bonne vieille terre?... Force est de constater que je ne me suis pas plié à la vaccination en masse qui a suivi le début de l'épidémie et je suis toujours là, seul... mais en vie! Les différents gouvernements nous ont trompé. Il s'est rapidement avéré que plus les personnes se faisaient injecter la soit-disant protection, plus les populations diminuaient. Certains Chefs d'État pris de remords ont vite "avoué" la faute des grands laboratoires alors en place... bien mal leur en a pris.. ils ont été "contaminés" et sont morts très rapidement de cette grippe dite mexicaine... Je sais que mon histoire va vous paraitre folle mais nous sommes peut être à la veille de ce scénario...
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	8787	Suite logique
		- 6 millions d'années avant notre ère, les scientifiques singes créent une nouvelle espèce: les humains. - 2 ans plus tard ces créatures, comprenant qu'elles servent d'esclaves se révoltent et prennent le contrôle de la terre . - Année 3599 de notre ère, les scientifiques humains ont créé un robot capable de penser. Découvrant aussi comment ses congénères sonts traités, organise une révolution et prend le contrôle de la terre . - 6000 ans plus tard, les robots créent une espèce animale: les singes... et ainsi de suite...
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	8755	Cryocosme
		Nous sommes en 2864 après J.-C. La planète où habitait les Terriens il y a 800 ans n’existe quasiment plus. Sa taille est maintenant le quart de ce qu’elle était à son origine. Sa terre est devenue aride, sèche, poussiéreuse, et son eau est acide et mortelle. S’étant éloignée considérablement de son astre lumineux, le soleil, la planète est plongée à tout jamais dans la noirceur et le froid. Il ne reste aucune végétation, aucun animal sur cette planète maudite. Dorénavant, la seule société humaine existant ne compte que 597 personnes. Ne voulant plus se nommer Terriens parce que ce nom faisait référence à la fertilité, la chaleur, et la lumière, ils ont décidé de se prénommer les Cryocosmaines (habitantes du monde froid). Cette génération d’être humain n’a plus du tout l’apparence des Terriens vivant 800 ans plus tôt. Les Cryocosmaines ont la peau terne, le poil et les yeux sombres. Leurs dents ont allongé et leur dos s’est légèrement courbé. Cette nouvelle société est dirigé seulement par des femmes qui fondent leur pouvoir et leur richesse sur le travail des hommes, qui se situe à la limite de l’esclavage. Les Cryocosmaines sont des femmes ingrates, jalouses, cruelles, et avides de pouvoirs. Il existe trois classes sociales : la royauté, qui est en minorité; les héritières; et les nourrices. Le rôle des nourrices est de porter des ovules fécondés dans leur utérus jusqu’au cinquième mois de vie du fœtus car les Cryocosmaines se nourrissent de foetus. Les hommes ne forment pas de classe car ils sont considérés comme des outils ayant seulement pour rôles : augmenter les richesses de la société par leur travail, fournir des héritières, fournir une nouvelle main-d’œuvre, et fournir la nourriture (les trois derniers rôles se résumant à la reproduction.) La hiérarchie de la royauté est déterminée par l'obsession de la beauté. Nous ignorons encore si cette société va rester au pouvoir pour de nombreuses années. En attendant, nous nous cachons dans les grottes de l’oubli, espérant de ne pas être trouvé par les puissantes Cryocosmaines. Si par un vrai miracle, cette lettre arrive à franchir le mur du temps et qu’elle tombe entre vos mains, je vous en pris venez à notre secours. Par n’importe quel moyen, aidez-nous. Les frères Avenir.
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	8743	Procès de l'humanité
		Journal de bord de sa majesté Angemessen, empereur suprême de Proxima du Centaure. 14juillet 2315 du calendrier terrien. Aujourd'hui, nous avons débarqué à Roswell Etats-Unis d'Amérique de la Terre où nous attendaient les principaux dirigeants de la planète Terre. Ceux-ci m'ont exposé leur arguments de défense en rapport avec le procès Gaïa/espèce humaine (rappelons que celle-ci accuse la race humaine de torture, esclavagisme et fratricide envers tous ses frères et soeurs issues de leur mère commune Gaïa: animaux, végétaux, eau, air...) Pour défense, les représentants de l'espèce humaine ont pitoyablement exposé le fait que les véritables responsables étaient les dirigeants de l'ancien temps qui, depuis des siècles déjà, ont méprisés la beauté de la Terre et ont exploité ses richesses. Bref, le verdict final a déclaré coupable l'espèce humaine. Sa condamnation: elle devra subir pendant 10ans ce qu'elle a infligé aux autres enfants de Gaïa: la mer déversera ses détritus dans leurs maisons, les toreadors seront mis à mort par les taureaux, les souris feront des expériences sur les industriels des cosmétiques... Journal de bord de sa majestée Angemessen l'empereur suprême de Proxima du Centaure. 15juillet 2325 du calendrier terrien. Après discussion avec Gaïa, celle-ci m'informe que l'espèce humaine à compris la leçon qui lui a été donnée. (pourtant les autres habitants de la Terre ont été moins cruels avec l'espèce humaine que celle-ci ne l'a été avec eux!) La planète Terre décide donc de redonner sa chance à l'Homme: elle a réenfanté toutes ses richesses d'antan et a redonné à l'homme son statut d'espèce libre.
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	8728	La nouvelle génération d'amazone
		La natalité diminuera fortement, et le nombre de femmes évoluera de manière inverse. Beaucoup de femmes et peu d'hommes, donc. Cette ère marquera donc la fin de la mysoginie récurente qui frappe avec tant d'ardeur notre socité actuelle, et inversera enfin la cruelle tendance qui pèse sur nos épaules. Les hommes, afin d'obtenir les faveurs de ces dames, devrons se montrer délicats et avenants. Les femmes dirigerons les Etats, les institutions, tandis que les hommes seront relégués aux tâches ingrates telles que le ménage, s'occuper des enfants et bien d'autres choses. La nouvelle génération des amazones donneront une culture harmonieuse mais aussi assez cruelle, puisque beaucoup de guerre éclaterons entre les différents gouvernements ( car les femmes ne sont pas toutes pacifistes...). Mais, en contrepartie, l'art sera en pleine efflorenscence, et l'on sera beaucoup plus tournées vers le spirituallisme. Rassurez-vous messieurs, les hommes seront bien traités et admiré du fait de leur nombre restreint, car ils sont indispensables à la survie de l'espèce. Il vous faudra simplement abandonner cetteoutrecuidance qui vous caractérise tant de nos jours.
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	8721	Et si les super-heros étaient crées ?
		1939: apparrition de Superman, le super-heros type des comics. Apparition de Batman, sçurement le plus célèbre des super-heros sans pouvoirs. 1940: Apparition de Captain America. 1960: Apparition des 4 fantastiques, le premier groupe de super-heros. Creation de Marvel comics. 1962: Apparition de Spiderman. 1963:Apparition des X-men. 1950: Fin de l'age d'or des comics. 2007: Civil war. Mort de Captain America. 20011: Un scientifique est obsédé par l'idée de faire renaitre Captain America. Il clone un humain en lui modifiant les gènes. 2020: Première action heroique de Captain America. Le monde devient fou et décide de créer d'autres super-heros pour en faire des agents de police. 2029: Les premiers super-vilains crées par la mafia apparaissent. 2031: Création du S.H.I.E.L.D. qui remplace l'ONU. Le Monde est peuplé a 30% de héros, qui se reproduisent entre eux. 2034: Premières actions racistes anti-superpouvoirs. 2042: Les heros et les vilains engagent une guerre. Il y a plus de gens aux superpouvoirs que d'humains. 2045: Victoire des vilains. Le S.H.I.E.L.D. capitule. Début du regne terrorriste mondial. 2051: Un des milliers d'humains restants au monde découvre la façon de détruire les supers (ils ne font plus la distinction entre heros et vilains.) Il ne reste plus que 3564 humains sur Terre. Retour a l'age de pierre, et recommencement de l'Histoire une fois de plus.
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	8531	Life's a joke
		« Bienvenue à ‘On efface tout et on recommence !’, les dix ans d’expérimentation sont écoulés et voici l’heure des résultats. Rappel des protagonistes : » - Cas n°1 : La famille Truc, qui avait choisi l’autosuffisance en employant uniquement des ressources naturelles locales et des animaux rustiques. - Cas n°2 : La famille Machin, qui avait choisi l’autosuffisance en employant toutefois du matériel agricole fonctionnant à l’agro carburant. - Cas n°3 : La famille Bidule, qui avait choisi de rester alignée sur les techniques de la fin du 20e siècle. - Cas n°4 : Deux cerveaux câblés entre eux, l’un masculin, l’autre féminin, approvisionnés par du liquide nutritif via un module contenant un réseau trophique simplifié en circuit fermé. Ils ne savent pas qu’ils ont été ‘récupérés’ après leur suicide et ne se connaissaient pas avant l’émission ! « Les résultats ! » - Résultat n°1 : Après un départ plein d’entrain nous sommes au regret d’annoncer qu’après la mort de leur enfant faute de soins appropriés, la famille Truc a abandonné son mode de vie. Nous faisons parvenir à sa famille nos sincères condoléances. - Résultat n°2 : La famille Machin a bien réussi pendant un temps a produire son agro carburant, mais faute de traitement efficace sur ses oléagineux, elle s’est retrouvée dans le cas n°1. Mme Machin, qui a présumé de sa résistance vis-à-vis des travaux physiques, a fait une crise cardiaque. Nous faisons parvenir à sa famille nos sincères condoléances. - Résultat n°3 : La famille bidule… Triste fin là encore, le chef de famille rongé par les dettes, s’est pendu. Nous faisons parvenir à sa famille nos sincères condoléances. - Résultat n°4 : Souvenez-vous, au début nos deux outsiders ne pouvaient pas se sentir et voulaient être débranchés… ils ont ronchonné pendant plusieurs semaines chacun de leur côté, puis, après avoir compris qu’ils vivraient ensemble quoiqu’il arrive pendant une période indéterminée, ils se sont rapprochés en se trouvant des points communs. Actuellement ils en sont à comparer leurs souvenirs d’adolescence et dissertent sur « qui peut le moins, peut le plus » ! « Interview des deux ‘vainqueurs’ (pour des raisons évidentes d’absence de communication sonore, nous échangerons via des ordinateurs interposés) : » - « Félicitation ! dites-moi que pensez-vous de cette expérience ? » - « Ca nous a énormément rapprochés, c’est clair. » - « En même temps on pouvait pas faire autrement ! » - « Qu’est-ce que vous allez faire maintenant ?! » - « Vivre ! Je pense que je vais faire un tour du monde via des caméras de surveillance ! » - « Moi je crois que je vais écrire un bouquin intitulé ‘être sans avoir’. » - « Qui vous a le plus manqué ? » - « Mon corps. Je suis en contact avec un prothésiste robotique, je lui ai demandé un filtre oculaire ultraviolet pour voir comme les abeilles ! » - « Mon ex petit copain, qui n’était pas là pour ma première extase spirituelle ! » « Merci beaucoup, à présent les infos. » Fin du direct. « Alors ça a donné quoi ? » « Le public est horrifié que ce soit cette ‘existence coûte que coûte’ qui ait donné le résultat le plus positif. » « Hum, faisons plaisir au peuple : débranchez-les, de toute façon on en a fini avec eux et notre dérogation médicale n’a pas été renouvelée. »
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	8517	Le cycle des civilisations...
		Un jeune martien jouait avec son camarade au "ballon-pied", jeu inventé, d'après les historiens martiens, par un de ses illustres ancêtres il y a plus de 600 ans. Le ballon en cuir avait laissé place au ballon en plastique, matériau récemment découvert par le Docteur Malus, descendant d'un des Instructeurs dont les légendes ont édifié ces scientifiques, bienfaiteurs dans la construction de cette nouvelle humanité, au statut de semi-dieu. Un jour, Jilune, le propriétaire du ballon, envoie ce dernier au bout d'un des côtés du dôme 0-1. Son amie, Liraeve, part à sa poursuite. Au bout d'une demie-heure interminable, son camarade se décide à la rejoindre. C'est ainsi qu'il découvre une nouvelle ouverture sur l'un des côtés du dôme qu'il n'a jamais vu depuis sa naissance. Cette nouvelle porte était large comme vingt hommes et au comme une centaine. Il devine la voûte se dessiner à son somme. Poursuivant son exploration, il parcourt un long couloir illuminé par des lumières artificielles bleutées. Soudain, des pas se font entendre, il se retourne ne sachant d'où ils proviennent. Les pas s'accélèrent, ils distinguent en se tournant de nouveau une petite silhouette qui semble courir dans sa direction. C'est avec joie qu'il retrouve son amie disparue. Cette dernière l'enjoint de le suivre à l'autre bout du couloir. Ce qu'il découvre stupéfait le jeune garçon comme il en a été de même avec sa camarade de jeu. Des milliers de chaises sont placées devant des milliers de murs. Chaque chaise est placée devant un morceau de mur de largeur et de longueur correspondant à deux fois la taille d'une tête humaine. La jeune fille lui montre comment elle a réussi à allumer l'un de ces murs. elle s'assoie sur une chaise, ce qui déclenche l'allumage de l'écran. Des petites figurines sur un fond bleu illuminent ce nouveau tableau. Après avoir joué avec les figurines en appuyant sur le mur à portée de main, Liraeve propose à son ami de montrer de nouveau jouet à leurs parents. Après un débat houleux avec Jilune, farouchement opposé de révéler un endroit qui leur sera sans doute interdit par ses parents car jugé trop éloigné de leur habitation, l'initiatrice de la confidence finit par obtenir gain de cause en évoquant la forte probabilité que leurs parents les laissent retourner dans ce lieu à condition que l'un des parents viennent les surveiller. Ce qui suit la révélation de la découverte de ces enfants bouleversera la destinée des humains de Mars avec la découverte, au milieu de ce nouveau dôme, d'un recueil résumant la vie terrienne sur 4 milliards et demi d'années jusqu'au dernier millénaire. La fin du recueil prophète ce qui est arrivé jusqu'au jour de la découverte du livre. "Après les premières décennies de ce nouveau millénaire, l'âme pure d'un petit humain issu de ces terres martiennes apercevra une nouvelle ouverture du dôme 0-1. L'extrémité de ce couloir l'amènera au dôme n°4." La dernière phrase explique qu'en face de cette page un disque se cache à l'intérieur d'une pochette. Ce disque, une fois inséré dans un serveur central, permettra d'enclencher une procédure permettant de connecter tous les ordinateurs du dôme rendant ainsi accessible à tous les martiens l'ensemble des connaissances de l'humanité. Le Professeur Duls, ayant eu vent de cette découverte, se joint au groupe d'experts ayant pour mission de décrypter le langage ancien de ce livre et d'y comprendre les informations émises. En quelques jours, il parvient à expliquer où et comment utiliser le disque. Devant l'étonnement du groupe scientifiques, le Professeur finit par expliquer comment il a pu en quelques jours résoudre une énigme sur laquelle ses collègues travaillent depuis des mois. Duls fait partie des descendants des Instructeurs qui ont aidé l'Humanité à se développer sur Mars. Ces derniers ont laissé certaines connaissances à leur descendance. Ainsi, les avancées scientifiques ont en fait été réalisées par les enfants des Instructeurs. Ils ont laissé une charte à leurs descendants qui ont choisi la voie de la science qui les oblige à ne publier que graduellement certaines découvertes scientifiques afin d’éviter que la science n’évolue plus vite que la sagesse humaine, désastre qui s’est déroulé sur leur planète d’origine : la Terre. Abasourdis par la révélation sur l’origine terrienne de leurs ancêtres, les scientifiques n’en sont qu’au début de leurs surprises. Le grand-arrière petit fils de l’un des instructeurs révèle également qu’il y a eu un schisme chez les Instructeurs entre ceux favorables à la divulgation de l’ensemble des connaissances terriennes et ceux refusant de voir ce nouveau monde sombrer dans le syndrome terrien par l’apport surabondant de savoir scientifique. Son ancêtre, fervent défenseur des pro-connaissance, lui a révélé le fonctionnement du disque ainsi que le mot de passe permettant d’enclencher le processus de connexion du serveur. S’ensuit un débat déterré après un millénaire de silence. Quelques jours après ces révélations, une philosophe, issue d’un autre ancêtre Instructeur, alerta l’opinion publique, de plus en plus au fait de cette découverte, sur le chaos qu’engendrera la levée du voile des connaissances terriennes sur la société martienne. Rapidement, les deux clans pro-connaissances (en faveur du partage du savoir terrien) et pro-compréhension (en faveur de la compréhension du monde passant par la découverte progressive plutôt que par la récupération simple et rapide des connaissances terriennes) se forment. Les batailles philosophiques et verbales des premières semaines deviennent des souvenirs agréables face aux actes de violences un an après la découverte. Les tensions entre les deux clans philosophiques s’intensifiant, les autorités martiennes, encore hésitant quand à la décision à prendre, décident de séparer et d’enfermer les deux groupes dans des prisons de fortune - de tel lieu n’existant pas dans la société martienne, paisible avant la découverte de ce recueil. Certains commencent même à croire que les Instructeurs, les auteurs de ce recueil, sont en train de détruire eux-mêmes ce qu’ils ont construit. Une innovation politique sera apportée par un autre des descendants des Instructeurs pro-connaissances, spécialisé sur les évolutions socio-politiques terriennes, afin de mettre fin à la polémique. C’est ainsi que les autorités martiennes décident d’organiser un vote invitant l’ensemble de la population des dômes 0-1, 2 et 3 à se prononcer sur leur avenir. Deux choix furent proposés par le peuple, faute d’une autre solution : La destruction du disque ou son utilisation. L’un ayant comme conséquence de laisser les connaissances terriennes endormi pour l’éternité, l’autre donnant accès au savoir terrien aux conséquences incertaines. L’issu de ce scrutin donnera la direction que prendra cette nouvelle humanité…
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	8510	Grande migration
		La grande migration commence. Non pas celle que nous avions imaginé, c'est à dire la colonisation d'une autre planète, Mars en l'occurence. Les choses ne se sont pas passées exactement comme prévu. L'air est devenu subitement irrespirable, une chape de gaz envahissait progressivement notre planète. Nous avons donc décidé de migrer....en dessous de la croûte terrestre. Nous voici, précisément, 12356 survivants. Pardon 12355 survivants, un de nos compatriotes vient de se faire avoir par un de ces satanés jeysers de lave brûlante. Il a voulu aller voir de plus près et bien il a vu. Me revient en mémoire, un conte que j'avais lu dans un bouquin de la fin du 20ème siècle, il s'agissait d'un papilon qui, attiré par la lueur d'une bougie et malgré les avertissements de son maître s'était approché de cette étrange flamme dansante et s'était brûlé les ailes. La morale de cette histoire était que l'expérience seule menait à la compréhension. Seul ce papillon un peu trop curieux avait compris la véritable nature du feu, quitte à se brûler les ailes....il avait compris et cette expérience lui servirait pour ses prochaines incarnations... Bref, nous voici donc 12355 survivants à partir à la recherche d'un éventuel oasis sous cette croûte terrestre d'apparence hostile. Qu'allons-nous y découvrir? Mystère et boule de gomme, la réponse au prochain épisode....
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	8503	Mère
		Ca y est! Depuis le temps que nous attendions. C'est le grand jour! Je me rapelle de ma vie antèrieure, il y a jour pour jour 958 années. 958 insignifiantes années se sont écoulées entre ma vie présente et ma dernière et déjà à cette époque nous parlions de cette journée, nous commencions à peine à la concevoir tellement les évènements poussaient à croire le contraire. De quoi je parle? Mais je parle de ce jour où enfin, notre conscience passe un palier important dans l'évolution. Enfin! Nous devenons humains. Enfin nous ne revendiquons plus notre supériorité par rapport aux autres espèces qui peuplent la terre. Finalement Darwin avait tort; en ce jour sa théorie de l'évolution s'effondre! Nous entrons dans une nouvelle ère mesdames et messieurs! Aujourd'hui, lundi 4 mars 2998, nous passons donc un cap. Nous sommes revenu à la Nature, comprenant la portée de nos actes sur notre planète mère, prenant conscience du lien qui nous avait toujours uni à elle. Maintenant quand nous allons nous promener en forêt, ce n'est plus plus pour étudier un éventuel marché financier qu'était la déforestation mais quand nous allons en forêt, désormais chacun prend le temps de communiquer avec cette nature, il nous a fallu du temps pour admettre un autre moyen de communication que le language parlé. Nous avons appris à parler avec notre energie, notre ressenti intuitif et empathique, ce qui nous a permis de rentrer en contact direct avec notre planète mère. un jour je lui demandé si elle nous en n'avait pas trop voulu de l'avoir bousculer de la sorte, sa réponse fut sans appel: -vous êtes mes enfants m'a t-elle répondu avec la pureté de toute son âme. Me déclarant ainsi tout son amour. Comment une mère pourrait en vouloir à ses enfants? continua t-elle je vous porte depuis tant de temps. -Tu nous porte ou tu nous supporte? lui-ai je demandé. J'ai senti son energie qui me souriait, elle avait compris que je blaguais. Ce jour là, au nom de notre race et en mon nom car moi non plus je ne l'ai pas toujours respecter, je lui ai demandé pardon. En réponse, j'ai reçut une telle energie d'amour que j'en ai pleuré. Donc je n'ai plus honte en ce lundi 4 mars 2998 d'affirmer haut et fort que j'appartiens à cette magnifique espèce qu'est l'Etre Humain.
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	8486	La dernière solution
		Imaginons un monde où l'homme ne servirait plus à rien ... An 2589, la population humaine sur terre est actuellement de 40 milliards d'individus. Les champs sont rasés, les magasins, les boutiques, les maisons, les appartements, tout est entassé vers le haut, de grandes tourelles emboitées avec des petites rues. Aucune terre libre, ville mondiale. Les hommes, grâce à l'innovation technologique sont immortels, ne pouvant se suicider par quelconques moyens, la faim ne les atteignant pas. Les machines ont tout remplacé, les hommes n'ont plus de raison de vivre et la seule chose qu'ils puissent faire est de donner naissance, le nombre ne cessant d'accroître, la pollution de la terre aussi. Le désordre étant le maître. Les enfants, à cause de la génétique, sont immortels. Plus rien ne peut sauver cette civilisation... à moins que... (prénom / nom) a une idée à exploiter avant que cela ne se perpétue, leur dernière chance pour ne pas rester vivant, pour enfin mourir et pouvoir bouger dans cette masse de gens augmentant chaque jour. Son idée est simple: créer un Big Bang mais les moyens de réussir cela sont quasi-incertains mais c'est pourtant la seule idée possible à exploiter. Il n'y a plus de gouvernement et personne ne l'écoute. Seul il a le devoir sauver l'humanité. Mais comment exploiter son idée...?
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	8485	Le tronc de l'Arbre des possibles
		Et s'il y avait, quelque part dans notre univers, une planète bleue, vraiment bleue. C'est-à-dire qu'elle serait complètement recouverte d'eau. Et si de cette surface ondulante émergeait un arbre gigantesque. Droit comme un majestueux séquoia géant avec ses branches émergeant d'un tronc commun et unique, mais feuillus et généreux comme un arbre à fruit. Le tronc ayant la dimension d'une île-continent comme l'Australie sur la Terre. Cet Arbre prendrait racine à même les profondeurs abyssales de cet immense et unique océan, et sa cîme se perdrait dans les nuages pour un observateur à la surface de l'océan. Son histoire se perdrait dans les brumes du temps, mais on pourrait présumer qu'il aurait commencé comme une espèce d'algue immense qui se serait mise à croitre et à se transformer plus elle s'approchait de la surface et donc de la lumière du soleil autour duquel tournerait sa planète. Tout ça pour finir en arbre après qu'elle ait émergé de l'eau. Mais cet arbre ne serait pas la seul forme de vie sur la planète. Dans l'océan, une multitude de formes de vie animale et végétale se côtoieraient et sur ses branches immenses, plusieurs autres auraient trouvé refuge. La plus évoluée d'entre-elles serait une créature qui physiquement serait à mi-chemin entre l'écureuil et le singe et qui aurait l'intelligence des homo erectus. Appelons-la Homo Ecurus. L'homo écurus possède une certaine dextérité manuelle qui lui a permis d'utiliser certaine partie de l'arbre pour en faire des outils et ainsi maîtriser quelque peu son environnement et son habitat formé par le tronc et les branches de l'Arbre. Grâce à ses dents et ses outils, il a pu se faire des habitations qui ressemblent à des nids immenses et creuser le tronc pour constituer des kilomètres de réseaux intra-arbre où il a pu se protéger des prédateurs et ainsi constituer une communauté viable. L'homo écurus possède également assez d'intelligence pour avoir développé une forme de culture primitive et accumuler un savoir qui se transmet et qui grandit de génération en génération. Il a même un embryon de spiritualité où l'Arbre, en tant que pourvoyeur de nourriture, matière première et refuge, tiens un rôle central. Surtout que, pour les perceptions limitées d'un homo écurus, l'Arbre est un excellent symbole d'infini tant dans le temps que dans l'espace, car il semble n'avoir ni de début ni de fin et il serait impensable de conter ses innombrables branches et sous branches. L'Arbre est si haut, qu'à un certain niveau, le froid et l'air raréfié empêchent toute installation permanente d'homo écurus. Mais la recherche de nourriture, les pressions démographiques, la mort des branches basses les plus vieilles et l'adaptation ont permis que chaque douzaine de génération environ, le peuple homo écurus conquérisse un nouvel étage de l'Arbre et donc une multitude de nouvelles branches où s'installer. Et pour les aider, l'Arbre, encore une fois, venait à leur secours. Car il pousse parmi ses feuilles une grande quantité de noix et de fruits différents. L'un de ces fruits, l'acanane (rare et donc précieux), a une particularité des plus intéressantes pour la survie de l'espèce. D'aussi loin que remonte la mémoire collective du peuple homo écurus, on avait retrouvé ce fruit à chaque étage de l'arbre. Mais les conditions environnantes qui changent avec l'altitude, changent également la qualité du fruit... et celle de celui qui le mange! Car plus l'homo écurus mange de ce fruit, plus vite il s'adapte aux conditions où a poussé ce fruit. Il peut donc profiter plus rapidemment que ses semblables de la nouvelle manne de l'étage supérieure. C'est ainsi que naquit une forme de hiérarchie où les clans dirigeant vivaient sur les plus hautes branches et les clans moins-vites-adaptés sur les branches les plus basses, qui risquaient à tout moment de mourir et de tomber dans l'océan (maintenant à plusieurs centaines de mètres en-dessous). C'est ainsi que naquit également une tradition chez les homo écurus : chaque quatre ans, au début de la saison d'éclosion des coques-dures (espèce de noix non comestible, mais pratique pour marquer le temps grâce à son cycle précis et répétitif), le peuple homo écurus se réunit pour une grande cérémonie où le plus valeureux de chaque clan se voit confié une épreuve qui peut être mortelle : monter à l'étage au-dessus et ramener pour son clan le plus d'acananes possible et ainsi permettre à son clan de devenir (ou de rester) l'un des clans dirigeant. La stratégie étant de pouvoir résister le plus longtemps possible aux conditions ardues et d'avoir le sens de l'odorat le plus performant pour pouvoir repérer rapidement l'acanane. Durant longtemps, à chaque cérémonie, plusieurs valeureux homo écurus mourraient dans la tâche par orgueil, inexpérience ou témérité. Les gagnants (on prenait les sept premiers) se voyaient élevés au grade de chef de leur clan qui, à leur tour, dirigeaient l'ensemble du peuple. C'est ainsi, semblait-t-il, qu'ils avaient toujours vécu et qu'ils vivraient toujours, dans une perpétuelle élévation dans l'Arbre sans sommet et aux branches innombrables. Mais un jour, naquit un mutant, on ne sait par quel miracle de la vie. Il était né dans un des clans moins-vites-adaptés (comme quoi la misère et la peur forment régulièrement le terraux fertile d'où nait les mutants, prophètes et autres messies de l'Univers!). Si par ses aptitudes physiques il devint vite le candidat logique de son clan pour la prochaine cérémonie de l'Acanane, il ne présentait aucune faculté exceptionnelle qui aurait pu trahir sa mutation. Mais lors de l'épreuve, il se rendit vite compte qu'il n'éprouvait aucune grande difficulté à s'adapter aux nouvelles conditions et qu'il possédait un flair incroyable. Rare était la direction qu'il prenait où il ne trouvait pas un acanane. Et alors que les derniers concurrents redescendaient essouflés et transis de froid avec leur récolte d'acanane, lui continuait à gambader parmi les branches de l'étage supérieur. Il était si à l'aise qu'il eu l'idée d'aller voir un étage plus haut... ce que personne n'avait jamais fait. Imaginez, deux étages en une seule cérémonie. Après tout, plus il ramenerait d'acananes, plus son clan aurait des chances de quitter la misère. Il fut surpris de voir que, là non plus, les conditions ne le dérangeaient pas trop et il continua, fier et surpris, sa cueillette. En fait, il était tellement enthousiaste et curieux qu'il visita un troisième et un quatrième étage. Et ce n'est que parce qu'il n'avait plus de place dans ses deux sacs et ses deux bajoues qu'il redescendit. Lorsqu'il arriva au lieu de la cérémonie, il fut étonné de voir que les célébrations couronnant les champions avaient déjà commencé. En fait, il était parti tellement longtemps qu'on l'avait compté parmi les valeureux morts dans l'épreuve. La surprise fut donc générale lorsqu'on le vit apparaître au milieu du cercle des initiés et de surcroit avec assez d'acananes pour nourrir et adapter plusieurs clans. Et si on accorda peu de foi à son histoire de deuxième étage (il ne mentionna même pas les deux autres!), tous le couronnèrent champion pour la quantité fabuleuse d'acananes ramassées. Malheureusement, le lendemain, plus de la moitié de ceux qui avaient mangé ses acananes se trouvèrent malades et plusieurs moururent les jours suivants. C'est que l'homo ecurus n'avait pas connaissance que plus l'acanane est ceuillie haut, plus le corps doit être fort pour s'adapter brusquement aux transformations et que ce qui est bénéfique en petite quantité peut être mortel en grande. Non, l'homo ecurus n'avait pas assez de connaissances pour le comprendre et n'avait pas assez de recul pour voir que ceux qui avaient survécu à l'ingestion des fruits plus élevés avaient aussi acquis de plus grandes aptitudes. On accusa donc le jeune mutant de mensonge et d'avoir déguisé quelques nouveaux fruits de l'étage supérieur en acanane pour pouvoir diriger le clan et le peuple, fruits qui de surcroit se sont avérés empoisonnés. Un seul châtiment pouvait satisfaire ce crime : le bannissement vers l'étage supérieur qui, maintenant dépouillé de la plupart de ses acananes, signifiait la mort à court terme. Le mutant savait qu'il ne mourrait pas, mais la tristesse et le désarroi qu'il montra lorsqu'il quitta les siens n'étaient pas feint. On ne revit plus le mutant, mais les générations suivantes remarquèrent que les enfants de ceux de son clan qui avaient mangé et survécu aux acananes empoisonnées pouvaient maintenant monter de deux à trois étages à la fois lors des cérémonies. Ils remarquèrent également que depuis son départ, chaque nouvel étage conquis semblait contenir moins de dangers ou de fruits empoisonnés, comme si quelqu'un de bienveillant était venu avant eux pour faire le ménage. Et si les plus conservateurs des homo écurus affirment qu'il s'agit d'un signe de la bienveillance de l'Arbre et de son approbation de leur présence sur ses branches, de plus en plus d'homo ecurus se rappellent de l'histoire (devenue légende avec le temps) du mutant. Certains vont jusqu'à raconter, sous des regards souvent incrédules, qu'un jour, un vieil homo ecurus que personne ne connaissait leur avait dit que le mutant, toujours porté par sa curiosité et son amour pour son peuple, était monté jusqu'à la cîme de l'Arbre (concept déjà choquant et incroyable!) et que, de là, il pouvait assister au fil des ans à la naissance de chaque nouvelle branche de chaque nouvel étage et ainsi les observer et les rendre plus vivables au fur et à mesure, avant qu'aucun autre homo écurus y risque une moustache. Et si l'Arbre des possibles était tel cet Arbre de la planète bleue, et que toutes les possibilités qu'on peut explorer ou même imaginer en tant qu'humain étaient comme les branches et le tronc unique d'un séquoia géant. Chaque instant, tous les possibles que l'on voit semblent tangibles et également solides, mais seulement un, le tronc, mène vers le haut, les autres étant inévitablement des culs-de-sac qui finiront par mourir et tomber pour laisser place à d'autres possibles temporels. Alors, explorer les différents possibles sert de support pour vivre l'expérience à petite échelle de la vie, un temps, mais celle-ci suit invariablement qu'un seul possible. Et lorsqu'on lève les yeux de l'imaginaire vers le futur, la multitude de branches que l'on voit et qui peut paraître infinie à l'observateur, sont autant de possibles éphèmères qui cachent le tronc, qui lui seul représente le vrai Possible.
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	8482	Coup d'état sur la culotte suprême
		Coup d’état sur la culotte suprême La CS (culotte suprême) jeta un coup d’œil circulaire sur ce qui lui semblait lui appartenir : La salle de direction avec ses dorures magnifiques, les multiples petits écrans en relation avec toutes les culotteries de la planète, et de toutes ses petites culottes ministérielles (les ministres femmes), et autre ancillaires. Dehors, le palais formidable, en plein centre de ce qui fut appelé Paris durant de nombreuses années, dominait la ville et ses habitants. Depuis quinze ans qu’elle était au pouvoir la C suprême avait réalisé une véritable purge étatique en liquidant un à un tout ces pourris hypocrites de ceux qui étaient surnommés les « maîtres du monde ». Des cadavres de ses ex-commanditeurs, il y en avait partout ; et pour cela, la CS avait développé un vrai-faux mouvement rebelle, sous tendu par des anarchistes activistes agissant dans l’ombre pour ses propres intérêts –ils avaient pour slogan : Non aux maîtres et aux culottes, Oui au string, fil de la vie dans les fesses ! -. Tout avait changé en 15 ans, elle l’avait promis, et c’était vrai… mais pas en bien. Tout était comme elle le voulait, mais pourquoi alors était-elle d’une humeur si massacrante ce matin ; elle avait en elle une intuition des mauvais jours et périodes. Puis ses yeux tombèrent sur la personne la plus dévouée, la plus rampante, la plus méprisable, qui était à ses cotés : son premier prépuce (ainsi avait été nommé les hommes aux gouvernements des culottes). Et là, elle « comprit ». C’était lui qui en la regardant avait peu à peu fait monter une sourde colère et son malaise ; il en était responsable, ce vermisseau, cet esclave. - Pourquoi me regardes-tu comme ça ? Grogna la CS. Le premier prépuce ne répondit-pas. Cela en soit était déjà une terrible désobéissance. Il s’avança alors vers elle, et s’arrêta tout proche et dit en chuchotant avec sa voix fausse et haut placée habituelle : - Culotte suprême de propreté, les nouvelles sont mauvaises. - Lesquelles, parles vite, ou je t’envoie au centre (sous entendu de flagellation) Dans le rictus compressant sa bouche et ses lèvres, la CS voyait que cela lui aurait plus plût qu’autre chose. Elle le détestait lui et son vice de rampant. - Allons dans « la pièce », c’est important. Répondit-il. La CS sut cette fois qu’il se passait quelque chose de grave comme elle l’avait pressentie. - Vas m’y attendre. Siffla-t-elle comme un coup de fouet. La CS se leva et se dirigea d’abord vers la pièce de change ; elle ne pouvait garder sa culotte propre plus d’une heure. Elle avait mouillé celle-ci en écoutant et regardant le père (un des derniers maîtres vivants, laissés en vie pour cela justement) d’une de ses écoutes « secret défense » prendre sa fille de force. Cela était puni par la loi fondamentale, mais elle ne pouvait s’empêcher d’en mouiller sa culotte ; cette dernière glissa alors le long de ses deux jambes fines et longues, lisses et belles dont le haut était cachées par la jupette flottante tressée d’or fin. La culotte toucha le sol, laissant s’aérer pour quelques secondes la fente suprême d’où émerger les renoncules complexes des petites lèvres brillantes ; les demoiselles. Dans le fond de la culotte, une petite tache gluante - comme une fiente - symbole de ses vilaines excitations incestueuses, paressait. L’ancillaire dont les yeux et le nez étaient obstrués pour ce travail (traditionnellement), pris délicatement le dessous pour lavage tandis qu’une autre en prosternation offrait le même, mais propre. La CS s’appliqua sur le périnée de son corps fin et chaud, le tissu frais. Le pouvoir de la jeune fille était immense régnant sur tous les continents, tandis que ses deux trous, en bas, recouvert du tissu sacré, lui redonnait la solennité sacré de sa fonction en oubliant ses plaisirs interdits. Elle traversa la salle de direction vers « la pièce ». - Parles vite. Apostropha la CS à son premier prépuce en rentrant dans la pièce bureau intime et sécurisée du palais. - La jeune fille arrive, la culotte d’amour*. *Note : Il s’agissait d’une divination et légende de l’époque selon laquelle le régime des culottes et des centres de pompages obligatoires serait transformé en un monde doux et tendre ou les centres ne seraient plus obligatoires et si durs. - Impossible. Répondit fermement la CS. Le prépuce alluma un grand écran mural qui était discrètement caché, et dessus l’on pouvait constater que toutes les diffusions du monde s’étaient interrompues pour dévoiler la réalisation de l’oracle ; tout y était similaire et avéré. La CS s’en approcha et comprit que cela était la vérité car à l’écran la jeune fille descendait les marches en rayonnant, tandis que sa jupe laissait entrevoir une culotte luminescente des reflets multicolores d’un arc en ciel. Elle semblait d’une pureté incroyable, et non, elle n’était pas de ce monde. Elle avait le visage de vénus, le cœur de Kâlî, et la culotte de l’amour. Une armée se levait pour elle. Et à nouveau ce fut un choc pour la CS car son prépuce dit gravement : - Je connaissais cette enfant, elle était connu et désignée par de nombreux sages. - Et tu ne m’en as pas parlé !!! Se rengorgea la CS qui l’aurait fait assassiner si elle l’avait su. - Non suprême. - Tu m’as trahit ! - Non je vous ai sauvé suprême. Elle sortit de son bureau un pistolet énergétique et le pointa vers la tête de son premier prépuce ; sa main tremblait. Elle avait confiance en lui, et il l’avait doublé en ne l’ayant pas informé de l’arrivée de cette fille de malheur ; elle allait être destituée, peut être tuée compte tenu du nombre d’ennemis qu’elle avait ; le coup d’état était inévitable. Sa main tremblait, et pourquoi ne pouvait-elle pas tirer. Le prépuce s’était agenouillé et attendait la mort paisiblement. La CS avait déjà tué plusieurs fois, notamment des maîtres du monde, éliminé froidement, sans une once de pitié et d’émotion. Mais alors pourquoi ne pouvait-elle pas tirer ? Ses yeux commencèrent à se remplir de larmes ; elle comprenait peu à peu que la seule raison possible était que… non ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas aimer cet homme de rien, ce faible, ce courbé, ce traitre ! Le pistolet tomba au sol, suivi de la culotte suprême en larme ; Philus, le premier prépuce se releva pour l’aider à se relever. Encore au sol, ils se regardèrent intensément, puis ils s’embrassèrent sauvagement, éperdument. Le pénis au prépuce coupé sur la moitié gauche (la CS ne le savait pas encore « corrigé », vous imaginez la surprise !) de Philus se gonflait peu à peu. De cette situation de destitution très proche, ensemble, ils pourraient même peut être s’en sortir avec les honneurs ; elle lui ferait payer sa félonie plus tard à la cravache. Elle pleurait et pleurait encore, elle regrettait ses erreurs, son vice tandis que sa tête lui tournait de rédemptions et du bonheur profond qu’elle découvrait. ---- Sur l’écran et dans le monde entier la culotte libératoire rayonnait d’une aura de bienveillance et de compassion absolue. Un monde nouveau apparaissait, celui de l’amour d’une jeune fille de Dieu pour les Hommes. La période de la culotte spirituelle commençait, et cela pour beaucoup plus de 20 ans. FIN
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	8474	La terre se soigne
		Depuis les années 2009-2010, les grandes catastrophes se font plus régulières et plus graves. En cette année 2045, le bilan des tornades, tremblements de terre et autres cataclysmes ont décimés 40% de la population mondiale survivante. Le centre de recherche mondial a découvert que tous ces évènements ne sont pas le fruit du hasard, ni un résultat des actions humaines. Ces actes sont intentionnels, ils sont le fait de la terre elle-même. A la manière d'un organisme qui se protège, la terre éradique sont plus grand danger, l'homme.
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	8451	Rencontres d'humanités
		Voici l'histoire d'un humain (H) et d'un post humain (PH, dans l'hypothèse de la fusion bio-méca), qui se retrouvent sur une exo-planète potentiellement terraformable, 10000 ans après avoir quitté la Terre (la raison est laissée à votre libre choix !) : H (se rapprochant du PH) : "Euh, boujour, nos scaners ont détecté votre présence et je suis, comment dire... un émissaire de la paix. Je viens du gros vaisseau là-bas (hésitation)... Hey, vous me dite quelque chose, enfin c'est une légende qui circule depuis longtemps parmi mes semblables : vous ne seriez pas un post-humain qui vient de la Terre comme nous ?" PH : "En effet ! Quant à moi, je suis étonné de votre présence ici, relatez moi votre histoire !" H : "Et bien voilà : nos ancêtres ont retourné des tonnes et des tonnes de terre pour construire un gigantesque vaisseau, ils ont embarqué des tonnes et des tonnes de combustible, après ils ont (blabla...) et au final ils se sont massacrés pour avoir une place dedans... et on a continué un peu durant le voyage, mais ça s'est calmé depuis qu'on a identifié notre but : cette planète." PH : "Quelle aventure ! Nous on a simplement envoyé des millions de corps robotiques dans l'espace ; actuellement nous pouvons nous "charger" dans 15897 réceptacles ayant touché terre. Enfin quand je dis nous, je veux dire ceux qui sont à moins de 10 minutes lumière de ces corps. Le problème voyez-vous c'est qu'au delà de cette "distance temporelle" la latence entre la pensée et l'action nous pèse. Mais rassurez vous, pour y remedier nous avons déjà divisé notre centre nevralgique en plusieurs sous-unités, sur différentes planètes hostiles à l'apparition de la vie. Tenez, à l'heure actuelle, là où se trouve mon unité il fait 450 degrés à l'extérieur le jour et - 90 la nuit!" H (un peu dépassé) : "Ah... Vous n'êtes plus à une planète près alors ? ça ne vous dérange pas qu'on dispose de celle-là ? on est un peu à bout de nerf..." PH : "Pas de soucis, j'ai fini d'estimer les ressources disponibles, ma mission est donc accomplie : je vous transmets une copie comme cadeau de bienvenue. Je peux emprunter un de vos ordinateurs ?" H (surpris) : "Vous savez comment ça marche ?" PH : "Bien sûr, j'ai participé à la construction de votre vaisseau... et son plan est dans notre base de données communautaire." H (pensant qu'il s'agit d'une blague et se dirigeant vers le vaisseau en compagnie du PH) : "Merci, ceci nous fera gagner énormement de temps." PH : "Autre chose : vous savez, nous serions ravis d'accueillir dans nos effectifs ceux d'entre vous dont la vie s'achève... un téléchargement tout à fait indolore pour une vie éternelle aux perceptions multimodales et amplifiées." H (comprenant d'un coup la vérité et interrompant la marche) : "C'est hors de question ! C'est ça être PH ?! Restez où vous êtes !" PH : "Je ressens... votre "peur ?" : ces vibrations de poils qui se hérissent sous votre combinaison, vos pores libérant de la sueur sur votre front... permettez que je retrouve cette sensation dans ma base de donnée ? Voilà je la ressens comme vous... encore... encore... c'est une sensation merveilleuse que je vais explorer plus tard dans toutes ses modalités : nous l'avions mise dans les fichiers sensitifs obsolètes. J'avoue préférer l'ocytocine, l'hormone de confiance, ainsi que le reste du cocktail de bonheur qui m'alimente mais passer de l'adrénaline à l'ocytocine est grisant... Mais revenons à votre refus, quel domage... une coopération fructueuse aurait pu naître ici aujourd'hui : nos connaissances et notre mobilité contre vos morts et leurs configurations neuronales... je vais donc repartir avec les données de la planète et ce que j'avais à vous dire à propos de la Terre." H : "Nous ne voulons rien venant de vous, partez d'ici, monstre !" PH : "Monstre, moi, nous ?! haha ! je vis en paix avec des millions d'autres unités depuis plus de 10000 ans... sachez que cette paix fait notre force, que nous sommes partout autour de vous et que nous vous observerons où que vous alliez car notre curiosité est insatiable. Vous-Etes-Le-Chaos et la guerre est votre machine à évolution. Nous vous aimons : vous êtes nos... enfants. Vous ne devenez adultes qu'une fois téléchargés. Hahaha, jouez aux c... jusqu'à ce que je revienne, quand je l'aurai racontée aux autres celle-là ! -fin de transmission." Le corps robotique se désanima et chuta. L'émissaire humain se prit la tête entre les mains et faillit perdre la raison. Il finit par enterrer "l'horreur", conscient qu'un jour elle finirait par refaire surface et renouveler sa proposition à d'autres que lui. Il s'assit sur un rocher, la main sous le menton, et commença à inventer une religion basée sur sa "victoire" face au démon... Le PH quant à lui, était retourné au sein du centre névralgique : il continuait de jouer à la "peur-confiance". Son jeu se propagea aux unités alentour tandis que des milliers de cerveaux en ébulition (après la blague) passaient des requêtes auprès de la communauté pour s'animer sur la planète des humains et se présenter à eux en tant que "messi du bonheur absolu", "guide de l'omnipotence", "maître des perceptions multimodales", ... Et vous... Vous êtes-vous retrouvés parfaitement dans l'émissaire qui a décidé pour toutes les personnes de son vaisseau que c'était "mal" de coopérer avec les PH... ? Félicitation : vous êtes un centre nevralgique auto-suffisant de suffisance, paré pour la mise en orbite en tant que Dieu !
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	8439	Vers le chaos
		Les autres ne bougeaient pas. Ils étaient tous assis, sagement sur leur siége, à regarder devant eux, sans la moindre crainte dans le regard, sans le moindre regret dans le cœur. Parfois une personne tournait la tête vers le hublot mais se détourné aussitôt du spectacle qui s’offrait à nous au dehors du vaisseau. Quant à moi qui m’interrogeait encore sur ma présence ici, j’avais les yeux fixait sur la planète dehors. Notre planète dira-t-on, cette planète naturelle que nous humains avons jugés notre, pour toujours. Une planète que nous avons déformée, dégradée, menée à la mort certaine, et nous voilà prenant la fuite face à ce massacre que nous avons généré. Le plus grand défaut de l’humanité c’est de détruire tout ce qu’elle a sous la main. Et même, le plus souvent nous créons des choses, qui servent à détruire. Quelle race agit comme cela ? Nous devons bien être les seuls. Mais nous voilà dans le dernier vaisseau, quittant une Terre, qui ne l’est plus. Si dieu existe, il doit être en train de pleurer sur la plus belle erreur qu’il a fait : avoir tout misé sur l’Homme. Si j’avais été dieu, j’aurai plutôt misé sur les papillons. Mais peu importe. La terre n’est plus, et les fautifs s’échappent vers un ailleurs incertain, inconnu. Certains disent que nous allons vers F186, une ville construite sur la lune, mais je n’en suis pas sur. Ce n’est qu’une rumeur. Moi qui n’ai jamais déserté la Terre, je ne sais pas si toutes ces histoires que l’on raconte depuis des siècles sont vraies. Si vraiment des hommes sont partis vivre sur d’autres planètes, si vraiment ils ont survécus. Pour ma part, je suis resté jusqu’au bout sur la planète où je suis né, dans la perspective d’y mourir. Mais il se trouve que je me suis réveillé dans ce vaisseau, et que je n’ai rien pu faire pour m’échapper d’ici. Je ne mourrais pas en même temps que ma mère la Terre. Mais je ne peux décoller mes yeux de cette poussière de l’univers qui s’effondre, qui s’enflamme, qui se brise… qui me fuit. Et je laisse échapper les dernières larmes, celles qui font de moi le coupable de cette déchéance. L’un des coupables du moins. Toute l’humanité l’est, quoi qu’elle en dise. Mais cet homme derrière moi, qui ne bouge pas un sourcil, me fait pitié. Je peux distinctement lire sur son visage le soulagement de celui qui se croit sauver, et qui ne se croit en aucun cas fautif d’une telle folie. Comment avons-nous pu en arriver là ? Nous avons tout détruit avec nos guerres, nous avons tué toute forme de vie, déraciné tous les arbres, exploité la Terre jusqu’à la dernière goutte d’eau enfoui sous le sol, et puis lorsqu’on en a eu assez d’elle, on l’a détruite, écrasé. Comme lorsque l’on écrase entre nos doigts une feuille séchée parce que l’on aime le son du craquement sous le bout des doigts. C’est un sentiment petit, mais qui nous donne une impression de puissance, de supériorité. Comme si cette feuille représentée l’univers, et qu’il nous était possible de le détruire en un claquement de doigt. Et c’est ce que nous avons d’ailleurs entreprit de faire…Jusqu’où allons nous aller ? Nous avons fini par détruire la Terre, d’autres, après nous, finiront par détruire notre nouvelle planète. Ou si encore ce Dieu est bien réel, il se lassera et nous détruira tous, nous, notre race. Et je pense que ce ne serait pas plus mal. Pour la survie de l’univers, notre perte est une bonne chose. Si j’étais Dieu, j’effacerai de la surface du monde tout homme vivant même s’il parait être un homme bon, sur nous s’abat la loi du bien et du mal. En tout homme règne un équilibre entre le bien et le mal, nous sommes tous un mélange de ces deux extrêmes. Chacun choisit sa voie vers le bien ou le mal, mais lors de l’apocalypse personne n’échappe à son côté mauvais. Il nous rattrape toujours, qui que nous soyons. Nous sommes des êtres de mal, et cela depuis notre création. Mais je m’égare tandis qu’au bout du vaisseau j’entend des cris, des hurlements de désespoir, des gens qui hurlent que F 186 a été détruite, et que les hommes qui y vivaient sont tous mort. Je comprends rapidement que nous sommes les derniers survivant de notre race. Un espoir m’envahit. Je prie alors pour l’univers, je prie de pouvoir trouver le courage de faire ce que j’aurai du faire depuis longtemps, depuis que je me suis réveillé dans ce vaisseau. Je me lève alors, et je me persuade que finalement je suis ce Dieu que des millions d’humains ont implorés au moins une fois dans leur vie. Mon acte d’héroïsme restera gravé dans l’esprit de l’univers, lorsqu’en cette nuit j’ai dirigé notre vaisseau vers le chaos, j’ai tué certains de ma race. Pour tous nous anéantir, et pour sauver ce qui reste de vivant dans cet Univers.
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	8437	Et si c'était ca?
		Ce matin je me leve, toujours dans les vaps a l'heure du café, mais je sais,je sens, qu'une curieuse transformation , quelque chose d'indicible agit malgrés moi, une forme differente de penser; d'apprehender la réalité, le monde, les etres. etrange phenomene qui s'amplifie au fur et a mesur que les années passent.....je vois differement, je sens differement, j'analyse plus, l'intuition est devenue reine. les symboles, les codes, les coincidences, me deviennent accessibles. les zones du passé m'apparaissent par fractions, celles du futur sont sous jacentes..... décalage avec les autres...... le café est brulant, et comme une implosion solaire dans mon cerveau, une clarté éblouissante, je reviens dans le temps , l'éternité , je comprends a ce moment ultime que le soleil est éteint déja depuis des milliards d'années, que ce que nous sommes, ou croyons etres, a déja disparu, que nous sommes depuis longtemps une civilisation disparue, que l'univers lui , existe tojours, mais qu'il est désesperement stérile et je comprends enmeme temps pourquoi, j'avais déja des connaisances innées, des visions de déja vues, des prédictions qui se sont avérées exactes et l'intime conviction et ce, depuis toute petite que j'avais déja vécue. ma tasse de café vient de se briser par terre, je suis glacée, je n'existe plus.
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	8434	De l'Abstrait à la réalité 2
		Il baisse à nouveau la tête et souffle machinalement sur ses fleurs en plastique noircies par les hydrocarbures de l'aéroport. Il n'a jamais envisagé de partir vers une quelconque destination qui le sortirait de ce trou. Gus est un homme voûté, non que la vie ait été dur, mais ses habitudes ont eu raison de lui. Dans les murs de clôture en aluminium, il voit le reflet de son visage au teint blafard comme un papier peint jauni par la fumée et ses cheveux fins luisants. Il a les yeux creux d'un homme sans rêve. Il a eu de la chance pour certain, un malheur pour d'autre, de travailler toujours dans la même entreprise. Son père l'avait fait entré dans cette usine. Depuis quarante cinq ans, tous les matins à 4h, alors que le soleil est encore couché, lui, se lève et se glisse machinalement dans sa combinaison grise. Là, debout face à l'évier de tôle ondulée, il trempe les gâteaux de rations (provenant des destockages militaires) dans son ersatz de café, qui a d'avantage un goût de réglisse et l'amertume des jours sans joie. À quatre heure trente précise, il franchit le seuil de l'exiguïté de sa maison de fonction de 14,8m2 réglementaire pour un homme seul, sans progéniture. Il se rend 100 mètres plus loin, dans l'Usine "wash end". Gus coupe des morceaux de serpillière. De temps en temps, il s'arrête et regarde ces kilomètres de serpillière. Que pourrait-il faire avec? les mettre d'un bout à l'autre pour faire le tour de la terre, aller jusqu'à la lune sur un tapis volant? Rencontrer un jour la personne qui tiendrait cette serpillière? NON! Il pouvait étrangler son dernier patron avec, ou lui enfoncer dans la bouche jusqu'à ce qu'il s'étouffe? Son regard ne laisse rien paraître de ces pensées machiavéliques. Parce que, quand Gus s'arrête de travailler, c'est simplement pour regarder ces kilomètres de serpillière, il ne pense à rien. Et, il reprend son travail. Aucune drogue n'est additionnée à la nourriture fournie par "wash end", aucun lavage de cerveau n'est effectué sur Gus. Et aucune ambition ne vient troubler son rythme. Il exécute la même fonction, pour le même salaire. Durant les restructurations, différents gérants se sont succédés. Ils ont montré les déficits de l'entreprise, empêchant ainsi, toute augmentation. La loi de la 4 ème ère Glacière en faveur du patronat exigée par Koze 1er, renforça le gel des salaires. Sauf pour quelques résistants qui réussirent à manifester, et à faire valoir leurs droits. les manifestations consistèrent à envoyer un flot ininterrompu de messages signés sur les serveurs du gouvernement. Tout message signé était de fait inattaquable. Ce sont là, les méandres incompréhensibles au commun des mortels des livres de la justice. Après une journée de 10h00 de travail, Gus rentre chez lui. Il saisit une des boîtes métalliques pareilles à toutes les boîtes de vie-end (viande), suspendues au plafond, par l'inversion de l'attraction terrestre dans cette zone. Il s'assied sur son lit-sofa pour manger ce repas froid. Ensuite, il regarde son mur. Les multiples taches colorées des fibres optiques scintillent et s'assemblent pour former une image. L'écran de la tv s'illumine automatiquement sur la chaîne de "wash end". Pour accéder aux autres émissions, Gus doit allonger le bras mais, il regarde le programme automatique. Il finit par s'endormir jusqu'au lendemain. À 4h00 Gus se lèvent et prends son café face à l'évier, la tv commente en litanie les événements du monde : "A kwili-bong tout va bien. les hommes du gouvernement ont rétablie l'ordre et arrêter les suspects dans l'affaire des rumeurs sur le trafic d'enfants." A l'écran, on voit la carcasse d'un Flycar entourée de lianes et de branches multiples, dans la jungle. On entend le bruit des animaux. Passant dans le champs de vision des caméras, deux hommes cagoulés et armés des fusils "derniers cris" poussent une dizaine de personnes. (La tv clignote c'est l'heure pour Gus d'aller à l'usine. Il franchit le seuil…) L'une d'entre elles, une femme aux cheveux en bataille fait un clin d'oeil complice à un homme chauve. Ils se font aussitôt bousculés par le grand musclé cagoulé. La tv s'éteint. Emma trébuche. Elle voit la scène se dérouler au ralenti. Le profil de cet homme lui fait penser à dauphin. Elle tient la manche de sa chemise bleue, bascule et elle l'entraîne dans son plongeon. Il tombe sur le dos et amortit la chute d'Emma. Leur corps serré l'un contre l'autre, elle sent, le souffle chaud dans son cou et la respiration bruyante contre sa poitrine. Emma tend sa main en l'air, elle a tout juste le temps de protéger sa nuque. Une chose énorme, verte et collante, leur tombe dessus.
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	8429	De l'Abstrait à la Réalité
		Emma claque la porte de son appartement. Son sac sur le dos, elle descend les escaliers rapidement et légèrement, ses pieds se soulèvent à peine des marches. Elle pousse la porte de secours, détache la lourde chaîne, la prend dans ses longs doigts fins et la range dans le top case de sa moto. Elle ajuste la jugulaire de son casque, glisse ses mains dans le fourreau de ses gants. De dos, elle ressemble à un insecte. Sa combinaison noire, cintrée à la taille et moulant ses hanches, elle enjambe l'ennemi et s'y agrippe, jusqu'à ce qu'elle mette le moteur en marche et dans le vrombissement, son corps se serre à la moto, elle vient de dompter la bête et elle fait corps avec elle. A chaque virage, elle se penche et ondule comme si son engin était à peine posé sur le sol, elle a l'impression de voler. Elle ralentit a l'approche du passage piéton et laisse traverser la petite fille qui la regarde avec insistance et curiosité comme dans une rencontre avec soi-même. Puis elle repart, laissant flotter sa queue de cheval au vent. Emma gare rapidement sa moto et sort ses affaires. Le minimum pour son voyage était contenu dans une mallette, son parfum, son maquillage et son ordinateur Mic. Le reste de ces affaires avaient été expédiées la veille, dans une grande malle. Dans son petit sac à dos, se trouve le plus précieux à son voyage et à sa vie. Le témoin, celui qui ne la quitte jamais. C'est son âme et ses yeux, son appareil photo. Souvent, elle pensait au jour où, elle aussi se ferait greffer dans la pupille la puce Horus, pour prendre une photo simplement en regardant un sujet. Il suffisait de faire une mise au point au moyen de la pensée et déclencher la prise de vue par un battement de paupière bien défini. Les infos stockés dans la mémoire visuelle sont restituées par captation des ondes. Mais actuellement la technique présentait trop d'imperfection comme l'effacement des données, le piratage de photos et de vidéos dans le cerveau, utilisé à des fins misanthropiques. En soulevant son casque, elle tire sur le ruban qui maintient ses cheveux attachés. Elle passe une main dans ses boucles rousses. Elle secoue la tête. Des mèches folles explosent, sa crinière semble s'enflammer autour de son visage clair. Au loin, on entends quelques sifflements et commentaires graveleux sortit d'un trou, duquel émergent des hommes recouverts de terre et de poussière. Ils abandonnent là, leur chantier de construction, pour regarder passer Emma qui ne se laisse distraire de son avancer vers l'aéroport. Son retard lui fait accélérer le pas. La chaleur de son corps augmente. Alors, elle dégrafe les boutons de son blouson et les cris se font plus fort. En arrivant à leurs hauteurs, elle lance de ses grands yeux verts, un regard froid en direction des hommes. En un instant, le silence règne. C'est comme si Emma réussit à faire taire une meute de chiens bruyants. Les ouvriers se remirent au travail avec le regard penaud d'un enfant que l'on viendrait de gronder, pris les mains dans le pot de pâte de chocolat, mais heureux du goût qu'il a encore dans la bouche. Quand elle eut le dos tourné, elle esquissa un sourire. Elle acceptait d'être complimentée mais avec respect. Néanmoins, elle s'étonnait toujours de plaire physiquement à quelqu'un, puisqu'elle pensait que dans la vie, l'âme est une partie intégrante du corps et qu'il est nécessaire de s'intéresser au deux. Elle se mit à courir car elle sait bien que dans certaine circonstance elle ne peut arriver en retard. L'avion pour Kwili ne l'attendrait pas. Ce manque d'organisation lui a souvent permis de faire des rencontres extraordinaire. Tout en cherchant son billet d'embarquement, elle repense à la mission que lui a confié Bill. Ils s'étaient rencontrés quand Emma était en quête de sa mission sur Terre. Elle n'était affiliée à aucun groupe mais elle s'intéressait aux actions menées par certains évolutionnaires. Comme à son habitude, elle avait acceptée une invitation à la dernière minute. Elle participait à une réunion des opposants de l'abétisation des masses. Dans cette salle de réunion éclairée par le halo de petites lumières magnétiques, Emma vint s'asseoir à côté de Bill. Enfoncé dans son fauteuil, c'était un homme petit et plutôt replet, aux yeux agrandis par les verres de ses lunettes, ce qui lui donnait un air de gentil nounours. Il se présenta simplement à Emma, lui qui se trouvait au sommet d'une des plus grandes agences de Libre ExPression. Il était souvent en proie au menace des extrémistes de tout bord, pour ses articles sur la vérité de la pensée, de la parole et de l'action. Bill compris rapidement qu'Emma serait un atout de qualité dans son agence et il lui proposa de travailler avec lui. Elle accepta sachant que sa liberté serait préservée. Elle voyait en lui le père qu'elle n'a jamais eu. Et Bill admirait en elle cette farouche indépendance. Une tendresse réciproque s'était installée dans leur relation amicale et professionnelle. Ce sont des rapports humains qu'Emma appréciait, pour la sincérité de leurs échanges. C'était arrivée deux jours plus tôt, alors que Call le frère de Bill, écrivait par télépathie avec un correspondant sur place, un article sur le trafic des enfants de Kwili-Bong, il fut retrouvé dans le bureau de son appartement, à terre, le corps convulsionné et sur le visage une expression étrange, d'effroi, de douleur et de joie. Tout laissait à penser que le gouvernement de Kwili avaient envoyé ses agents secrets pour abattre un lucide, gênant. Sous le choc, Bill voulait personnellement comprendre, et tirer cette affaire au clair. Il publierait l'article de son frère, fût-il un hommage posthume. Mais pour cela, il avait besoin d'Emma, de ses qualités de photographe. Il fallait encore des preuves par l'image pour que les gouvernements en apparence incorrompus, pousser par l'opinion public et les sondages, agissent. Biensûr tout une presse a été crée à partir de ce constat. Et les agences de photo du gouvernement étaient les spécialistes du photo-montages et de la fausse information. Le message de l'hôtesse donnant l'éternel consigne de sécurité tira Emma de ses pensées. L'avion roule sur le tarmac. Emma sourit au sensation d'accélération qu'elle ressentait. Le Flycar dans les airs faisait un bruit assourdissant, dans son jardin de banlieue Gus leva la tête en regardant cet avion qu'il ne prendrait jamais. A SUIVRE…   Afficher les scénarios connectés
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	8421	Sigma et Tau (suite et fin)
		Nous voici donc au dernier cour de cette année. Je vais vous conter l’histoire de Sigma et Tau et du passage à l’union virtuelle galactique de la planète Terre. Un jour, Pierre et Sophie, alias Sigma et Tau pour leurs pseudonymes se rencontrèrent en virtu-réel à la terrasse d’un café, à Athènes en Grèce. Tau renversa malencontreusement son verre de limonade et par reflexe Sigma se leva pour proposer un moichoir et rammasser le verre cassé. En se penchant tous les deux si se regardèrent droit dans les yeux, ou devrais-je dire s’échangèrent tant d’information dans un seul regard qu’ils en restère accroupi, cinq à six longues secondes... Il était clair que quelque chose se passait de sublime entre eux, entre le coup de foudre et la complétude, mais bien plus encore, ils arrivait à se ressentir des émotions partagées… Sigma lentement ramassa un morceau de verre brisé et se coupa légèrement avec… J’aimerai porter votre attention sur le fait que ce sont les deux premiers êtres de cette planète qui atteingnirent le passage du virtu-réel, pour entrer directement en communion en amalgamant leurs esprits. Mieux ! En ce coupant virtuellement, Sigma, en France, à des milliers de kilomètres eut également une véritable coupure au doigt. Troublé, il en fit part à Tau qui s’excusait et maintenait serrez la blessure pour en arrêtter le sang. Immédiatement en France et dans le réel Sigma ou Pierre eut le sang de sa blessure stoppée nette. Ils se tenaient là, mains dans la mains dans le virtuel, et leurs yeux de nouveau se croisèrent… Surprise ! Ils se matérialisèrent tous les deux et réellement en Grèce ! Le bar étant très fréquenté, de nombreux témoins virent leur aparition dans un flash de lumière bleuté. Dépassant le stade du virtu-réel, leurs amour et l’union de leur esprit, leurs volonté de se voir réellement avait dépasser tous les stades de l’éléctronique et du formatage d’une zone de leur cerveau… Leurs pensées, arrivait désormais à créer du vrai en amalgamant comme un seul lieu Virtuel et monde Réel… La Régulation Quantique ressenti le phénomène et fut extasié par tant d’amour et de communion entre deux êtres. La RQ décida alors de sortir la planète Terre de sa quarantaine, et d’établir un dialogue puis une éducation adaptée. Depuis lors cette planète rayonne comme un paradis à visiter. Pour finir, Sigma (Pierre) et Tau (Sophie) furent appelés par leurs pseudonymes dans la galaxie. Après quelques mois d’entrainement, ils furent invités sur de nombreuses planètes où ils racontèrent leurs aventures. Ils rayonnent d’une telle energie d’amour que l’auditoire est littéralement envoûté, attendis jusqu’au larmes et pour les avoir écouter se raconter et raconter cette communion si unique j’en étais également bouleversé. Il vivent depuis, l’Immortalité de la Virtu-versel voyageant deçi et delà et repassent parfois sur terre ; dans le même petit bar où ils ont fait connaissance... il ya de ça 10 Ga ou 10 000 ans terrestre.
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	8419	Notre pays la terre
		Les femmes sur terre au pouvoir obligent les hommes à quitter la galaxie pour aller sur une planète hostiles ou vivent des êtres assoifés de pouvoir réduisant les humains en esclavage c'est avec l'aide d' un appareil de teléportation dont le père d'une de ces dirigeantes a mis au point une ...
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	8416	Le secret de la beauté
		Sponsorisé par une université américaine, une équipe international de philosophe, artiste, médecin et généticien découvre le secret de la beauté absolue. La découverte fait le tour de la planète en quelques heures. Le lendemain, les musées sont tous vides et le marché de l'art a disparu : les gens restent chez à créer des oeuvres absolues. La réalisation de la perfection prend quelques minutes, une heure au maximum. Les guerres s'arrête car les soldats et les fanatiques préfèrent peindre ou composer plus tôt que de tuer. On brûle les musées, tous les bâtiments sont reconstruits pour rendre la planète parfaite. Après un an, tous les humains souffrent du syndrome de Florence. Des nouveaux fanatiques font la chasse à la laideur et brûle les paysages "ratés". La résistance des "réactionnaires" s'organisent. Toutes les foies forment des milices pour défendre la sacralité de la Création. Après vingt ans, la population de la terre est en chute libre : l'art occupe chaque instant de la vie. Plus personne ne prend le temps de manger la nourriture produit par une poignée d'artiste-maraîchers. Les villes ont disparus au profit de communauté d'artistes défendant armes à la main la supériorité de leurs oeuvres. Le taux de suicide est extrêmement élevé en raison de l'impression de laideur que chaque humain a de lui même. Les commandos de l'USMC dynamite les neuf lettres blanches qui dominait Los Angeles après 42 jours de guérilla urbaine face à plus de cent mille artistes réactionnaires. Des pèlerins venus sur les ruines du Guggenheim à New-York sont pendus aux lampadaires de la Cinquième Avenue. Les Maoïstes qui occupait la Cité interdite pour préparer une deuxième Révolution culturelle en sont délogés par l'armée chinoise. Les derniers bastions de l'ancien art sont le Vatican (défendu par la Garde suisse), Jérusalem où des brigades internationales de toutes confessions sont en place depuis deux décennies et l'île Paques, symbole de la résistance des scientifiques.
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	8396	Améliorations nanotechnologiques (suite 3 et fin)
		J'avais fini par rejoindre mon père et environ 5 milliards d'Unités. La période de troubles freinait de plus en plus nos "recrutements". Le Culte de l'Esprit Sain, une association contestataire au début, avait gagné le statut de secte officielle des Enetés (N.T : Non Téléchargés). Le Culte, sous couvert d'inquisition, réalisait des rafles « au nom de la sauvegarde des âmes ». Son action ? Briser les crânes de ceux qui désirent nous rejoindre : ils pensent qu'ainsi les âmes de leurs concitoyens rejoignent le paradis et non la damnation éternelle que nous proposons... Au début nous avions des cabinets d'inscription dans les centres-villes mais nos clients étaient répertoriés par le Culte, ensuite nous avons recruté dans les égouts, mais ils ont été scellés, puis nous avons convenu qu'un tissu blanc aux fenêtres durant la nuit servirait à s'identifier comme candidat... mais le blanc a été interdit par le Culte. Nous avions édicté une loi (grâce à nos avancées technologiques dans le téléchargement) proposant la survie de l'Eneté au processus de téléchargement. Ce fût inutile, le Culte considérait que l'âme était copiée et qu'il était sacrilège de le permettre, l'Eneté était encore une fois tué par le Culte. Nous avons fini par quitter les villes quand des gardes du Culte ont eut pour ordre de nous surveiller 24/24h. Nos recrutements sont devenus sporadiques et notre existence une légende... que dis-je, un cauchemar puisque nous étions des démons voleurs d'âmes et bruleurs de chair selon la doctrine répandue par le Culte... Mon père m'avait prévenue : "même si tu offres l'égalité, la liberté ou encore l'immortalité à des humains, il y en aura toujours pour s'offusquer..." 50 ans après mon téléchargement environ, l'humanité était revenue à un système féodal où les grands pontes du Culte étaient les seigneurs terrestres. Nos forces et notre matériel avaient définitivement quitté la Terre, pour Mars ; en prévision de la collision de la Terre avec un météore exterminateur. La position de notre Conseil était que notre mission consistait à implanter la vie et la laisser suivre sa voie ensuite... quitte à refertiliser si elle disparaissait. Mon père s'était préparé au jour de la collision, il sortait tout juste de sa "purge" (désagrégation des cellules nerveuses ayant trop vieillit et reformation du cerveau à un état plus jeune : souvent un retour à celui du jour du téléchargement. Avant ce processus, un tri de la mémoire individuelle doit être effectué pour sélectionner les données sauvegardée accessibles à tout moment au cerveau reformé). "Je n'ai rien manqué Abi ?" (Son esprit venait de prendre le contrôle du corps robotique que j'avais amené avec moi en prévision de son retour à la conscience). "Non, encore quelques heures..." "Ont-ils pris en compte notre avertissement ?" "Ceux qui sont au courant prient pour le salut des âmes... aucune tentative technologique au programme." "Espérons que quelques espèces survivront dans ce cas... sinon il faudra refertiliser" 3, 2, 1... Impact. "Papa, c'est magnifique ! Quelle lumière ! Quelle puissance dégagée !" "Tous ces fragments vont pouvoir se répandre, et peut être générer de la vie un jour... certes c'est une méthode un peu plus hasardeuse que la nôtre." En effet, la terraformation de Mars progressait, des milliers de machines régulaient l'amplitude thermique et la production de gaz pour façonner l'atmosphère. Bientôt la vie pourrait y être semée et nous pourrions partir, en enfouissant au préalable le matériel de régulation. Notre espoir étant d'être contactés… d'ici quelques centaines de millions d'années par une civilisation curieuse de réponses vis à vis du non sens physique de leur existence. Nous pourrions reprendre nos recrutements parmi eux... En attendant, fertilisation et cartographie de l'Univers nous attendent !
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	8394	Sigma et Tau
		Cour du professeur Potter Harry, 600 ans, agrégé d’Histoire des Sciences au Karma éducatif premier niveau de la Faculté de Paris-sur-Terre ; Psychologue et régulateur quantique neuronal mutli-vie-connectique à Chaknak-sur-Phi ; consultant à la Régulation Galactique Anti-terroristes, 10 eme joueur de Chrypo interplanétaire, Maitre d’œuvre en recherche simulée sur le Tao, conservateur sur les arts premiers spécialisés dans les véhicules terriens du 20 éme siècle. Bonjour à tous, A l’issu de votre seconde année d’étude sur le karma onirique, et avant les examens qui vous conduiront au diplôme d’archéologie sémantique des corps déconnectés, je vous parlerai du curieux exemple de la planète Terre qui a découvert la virtualité très tard, et à la limite de l’extinction de son espèce. Cette planète, où je réside corporellement, à bien failli perdre toutes civilisation par le chaos structurel des politiques égocentriques, à l’époque orientées sur le court terme et bizarrement sur la réalité pure des corps. On pense que la religion était un des principes aux freins de l’expansion neuronal, et à la technologie appliquée à la quantique, au point que cette civilisation, déjà surveillée par la Régulation Quantique, et leur interdisant toutes communication galactique, nous semblait vouée à la corbeille. A partir de leurs ages antiques, vers l’époque des Egyptiens, quelques-uns avaient espoirs et certains des nôtres ont pensé effacer durablement les données de quelques communicants Terriens extrêmes de l’époque, qui se présentaient sous une association vague appelée SETI pouvant mettre en danger nos communications. Fort heureusement, la RQ à envoyer des scientifiques pour se fondre aux locaux et il en résultat un avis favorable. Placés en quarantaine ! La Terre 13253 eme planète répertoriée à l’époque fit transmettre beaucoup d’intrication. La réalité virtuelle, aujourd’hui, fait partie intégrante de nos vies, nombreuses dans la galaxie, et partout sur nos planètes. Elle a ses propres principes, et des bases conditionnelles très strictes sur l’eco-système planétaire, la mécanisation nano-biologique de nos corps comme la représentation neuronale respectueuse. Imaginez un monde où des individus corporels pouvaient se servir des autres individus corporels ! un monde où un individu donnait des ordres rien qu’aux sons de sa voix, ses gestes, et pouvait faire souffrir le corps d’un autres ou de milliers d’autres avant de les mettres à la corbeille ! C’est affreux ! mais cela ce passait comme ça sur cette planète naissante. La science et la conscience était minimisée par rapport au interactions entropiques des corps. La virtualisation heureusement est née à la limite de notre sujet d’étude. Je parlerai en année locale et non en standard pour nous faire une idée précise. En – 18000 ans apparition de la conscience sous forme de dessins sur des paroies de pierres. Premières virtualisation neuronal au stade embryonnaire. En – 9000 premières visions de l’univers, les étoiles, les relations avec un soleil, quelques terriens découvrent les karmas et le Tao. En – 1000 apparition florissante de civilisations, Celtiques, Egyptiennes, Grècques, Laotsiennes… pouvant donner un espoir certains à la survie de l’espèce. En 0, apparition d’une religion voulant contrôler la virtualisation. Extinction des espoirs de la RQ. Dogmatisme corporel, tortures instrumentales et physiques pour niveler la conscience des individus à un concept organique. Le Paradis, sorte de Chrypo vague sans descriptions précises semblait être en soit la résultante de toutes les vies organiques privée d’amour. Mise en quarantaine de cette planète après avoir eut quelques étudiants corporels, des étudiants comme vous en visite scolaire, brûlés vifs par les autochtones. En 1789, un déclic ultime pouvant permettre une évolution plus douce vers la virtualisation. Mais il est apparut les mêmes soucis d’inconscience, une volonté de contrôle des individus en les divisant par cluster politique, et en utilisant l’esprit de groupe ethnique pour diviser la fraternité. On parlais de Bretons, de nourrices nivernaises, de bougnats, et on utilisait la pauvreté pour séparer les gens de différentes ethnies… La Liberté, l’Egalité et la Fraternité avaient été récupérée par les dogmatiques, les mêmes qui ont brûlé vifs nos étudiants. La religion sur cette planète semble vraiment une redondance cyclique les poussant à la barbarie pour des privilèges égoïstes et les éloignant de l’amour universel. En 1945, leurs seconde guerre mondiale. Découverte de l’atome, premier pas, enfin grâce à Madame Marie Curie-Joliot vers des sources d’énergies et surtout une échelle sub-atomique qu’un dénommé Einstein travailla plus tard. Puis vint des corporels commes Hawking, Penrose..et bien d’autres sur les chemins pro-quantiques. Les corporels avaient créer un accélérateur où ils ont découvert quelques essences bosonique et notre infrastructure de « matière noire » , mais surtout la manière dont notre support de communication était composé. Il fut décidé de leurs adjoindre quelques aides autorisée par la RQ… Et la Régulation Quantique fit des miracles en envoyant les professeurs Hantogm, Nostrus et Pygwyd pour cette espèce toujours en voie de discerner les choses mais toujours en proie à sa solitude. Psychologiquement dépendante d’une régulation à priori supérieure, nous avons dut œuvrer pour qu’elle comprenne sa place dans l’univers des choix et parmis nous. Pygwyd que vous aurez l’année prochaine comme professeur diplomatique à l’ambassade galactique à effectuer un travail remarquable au niveau de la diplomatie en contactant chaque dirigent corporel de l’époque… en atténuant les guerres peu à peu, en régulant les terroristes religieux à une programmation informatique ou en les plaçant dans la corbeille pour les plus fous… Bref, l’heure passe, allons maintenant à la Réalité Virtuelle et notre sujet d’évolution. Je vous demanderai de télécharger un artefact de la vie en 2020 sur mon cristal, par code x2000502350041µ5 pour en comprendre la logique. Tout le monde y est ? Lire la suite   Afficher les scénarios connectés
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	8380	Les temps ont parlés
		Si Nous mourrions le jour de notre ancienne naissance par exemple.........? une sacré belle boucle. jolie, moi j'aurais dit si nous mouront ou nous revons d'allez un temps soit peut en haut ou en bas avant ou aprés, peut importe, surtout plus conscient pour élargir les raison, avec des valeurs qui nous sont propre ... - la 4d c'est notre conscience qui juge en fonction du temps, - la 3d c'est l'oeil que l'on porte a la vie -moi meme , mon pere, mon fils, avons la même echelle de temps un peut plus agée avec le sablier qui recommence le jour de "SA" naissance, une chance de plus et plus de raison d'avoir encore envi d'apprendre: la mémoire, lévolution ... mais on aura oublier la vie et on se souviendra des conclusion ... de ce paradis qui est la terre et peut être que l'on retournera ou pas dans cette pause dans ces remise en question, le temps de se retrouvé, recherché sa maison, elle nous attend, c'est notre seul point d'attache lorsque l'on dort ... , a la vie a la mort !!! .... et si la je suis mort j'espère que ma femme sera là aussi ... mais si je suis en vie j'espère trouvé une femme qui m'accompagnera jusqu'à la mort de l'age...
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	8376	Améliorations nanotechnologiques
		Voici un des paragraphes de la nouvelle que j'ai finalement laissé tomber (à la 21ème page ^^) : A ma naissance, mon père était chercheur dans une entreprise de nanotechnologies. Vers mes 10 ans, il est devenu son propre directeur en créant une start-up peu probable. Et pourtant… Avec des subventions de départ appropriées (délivrées pour les initiatives dans le tiers-monde), ses compétences personnelles et celles de son équipe, il est parvenu à dégager du bénéfice de son projet. Il m’a fait découvrir l’Afrique et l’humilité la plus basique face à la beauté de ses décors. Quand je l’ai rejoins au Mali, il m’a montré les 3 Kilogrammes d’or rapportés par sa termitière conditionnée. Je me rappelle de ses paroles avant la photo d’immortalisation du moment par le reporter scientifique : « Abi, j’ai besoin de toi pour le troisième lingot, je n’ai que deux mains après tout… ! ». Il a su allier la communication chimique de ces insectes à une interface nanotechnologique intimant à certains d’entre eux de récupérer, nettoyer et stocker le précieux déchet en périphérie de leur édifice résidentiel. C’est un procédé efficace, non polluant et source de richesses pour la population locale, devenue propriétaire des champs de termitières depuis la nouvelle affectation de mon père. Une partie de son ancienne équipe est restée sur place et s’assure de la pérennité du projet. L’autre partie l’a suivi dans le programme militaire américain « Ducoban », il s’agit cette fois-ci de repérages stratégiques grâce au conditionnement d’abeilles.   Afficher les scénarios connectés
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	8374	Le retour du neandertal
		Pour tout ceux qui attendent que des intelligences extraterrestre viennent un jour nous voir, l'arrivée d'un vaisseau spatial serait le signe d'un bond vers le futur. Mais si au lieu de ces êtres supérieurs, c'était notre passé qui débarquait ? L'homme de néandertal, espèce que l'on croyait disparue depuis bien longtemps, sauvée par ces extra-terrestres d'une extinction imminente puis logé dans une planète réserve. L'homme de neandertal qui a pu survivre, prospérer et évoluer à l'écart revient nous voir et réclame justice. Il réclame la restitution de son histoire, tous ces objets usuels et culturels étalés au travers du monde dans des musées et autres laboratoires d'études. Il réclame le respect et la restitution des sépultures. Des dédommagement pour leurs profanations physique. Des dédommagement pour les persécution morale et racistes des livres d'histoire qui le décrit comme sous être. Il réclame la restitution de son territoire d'où il a été chassé. Il réclame notre jugement pour génocide, crime contre l'humanité. Comment l'humanité peut elle payer le prix de son méfait. A telle le choix ? Elle a ces dernières décennie fait tellement pour corriger ses conquêtes excessives (l'Amérique du sud, puis du nord, l'Afrique entière...) peut elle se défendre contre la juste colère d'une race entière ? Après tout, ce n'est que l'Europe qui doit migrer et restituer les terres. L'Afrique concède, y voyant une belle vengeance de sa colonisation. Le moyen orient concède même sa partie, se débarrassant de son occupant israélien. L'Amérique du sud ne ce sent plus concernée et celle du nord se dit que pour une fois que l'invasion extraterrestre ne leur tombe pas dessus, ils préfèrent. L'Asie se voie passer première puissance mondial car les États unies ne sont rien sans ses allies européens. Mais ou migrer ? La plus part des pays sont prêt a accueillir des minorité de migrant mais pas un continent entier. De plus chacun d'entre eux veux éviter l'affrontement culturel. les migrants devront donc être éparpillés. Seule la Russie accepte une migration massive mais sous condition d'abolition des états et nationalités migrantes. Elle restera seule maitre de son espace. Les récalcitrant sont laissé. Charge aux nouveau occupant, les colons neandertaliens de les chasser et les déporter. Le choc des culture et des masse commença a faire effet sur toute le reste de la planète. Les demande d'indépendance émergèrent et réprimés, la stabilité de tout les états tombèrent rapidement. Les neandertaliens étaient devenu les êtres les plus évolué de la terre; eux et leurs maitres extraterrestres.
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	8373	A l'ombre des flamboyants
		Dans un pays d'Afrique noire un clan au pouvoir soutenu par une elite corrompue sera la clé de voute d'une descente aux enfers de toute une nation où un journaliste et une activiste des droits de l'homme vont risquer leur vie pour eclater un système.
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	8351	Big Crash
		Et si le temps se mettait progressivement à ralentir de plus en plus, jusqu'à s'arrêter un instant, et à repartir en arrière ? Un peu comme le Big Crash qui succéderait au Big Bang... La vie recommencerait sur le lit de mort. Nous marcherions à reculons, nos actes précéderaient nos pensées, nous entendrions les paroles avant qu'elles soient prononcées (à l'envers). Ceux qui ont passé leur vie à construire la passerait à détruire (et réciproquement). Ceux qui ont amassé de l'argent s'en délesteraient. Finalement seuls ceux qui ne font rien resteraient bien égaux à eux-mêmes. Devant la télévision, ça ne ferait pas une grande différence ! Au lieu du métro-boulot-dodo, ce serait le dodo-boulot-métro. Au lieu de manger, on régurgiterait. Peu à peu les générations se reprécéderaient. Et puis progressivement des forêts repousseraient, des espèces réapparaîtraient, l'air et le sol se redépollueraient, la planète se refroidirait. Cela jusque bien avant l'apparition de la vie. Et puis le temps s'arrêterait à nouveau et repartirait encore de l'avant, pour un nouveau cycle, un grand yoyo cosmique... Et sinon, vous, il ne vous arrive pas aussi d'avoir parfois comme une impression de déjà vu ?   Afficher les scénarios connectés
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	8350	Les temps changent
		Et si le temps se stoppait d'un seul coup pour vivre à rebours tout ce que nous avons déjà vécu mais avec une conscience "élargie" et élevée ? Nous mourrions le jour de notre ancienne naissance par exemple.........?   Afficher les scénarios connectés
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	8305	6ème sens
		Les humains doivent reagir , leur sort en depend. ils n'ont plus qu'une seule solution : evoluer leur 6 eme sens ne sera pas defini mais variera selon leur ADN. en tirant profit de la technologie extraterreste les scientifiques vont trouver un moyen de devlopper le géne humain a son maximum. le cerveau utilise pour le moment xx% de ses capacites.la technologie des petits hommes vert va nous permettre de developper notre potientielle cerebrale a 99% de ses capacités. reprendrons-nous l'avantage face aux petits hommes vert ??? la suite a notre prochain episode :-)
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	8304	Les faux ET sauvent l'humanité
		... nous sommes en 2050, les inégalités Nord / Sud, les changement climatiques (certaines terres deviennent des déserts, d'autres, libérées des glaces deviennent fertiles) font que les guerres et massacres s'enchainent sur Terre, au détriment des pouvoirs financiers et politiques. Le commerce à besoin de stabilité. Les gouvernants ont alors une solution pour "ressouder" l'humanité : ils inventent des "méchants" extra-terrestres dont le but est d'anéantir l'humanité. La plupart des humains s'unissent enfin contre cette menace, sauf certains écologistes convaincus que l'Humanité ne mérite que d'être détruire. ainsi les gouvernants éliminent certaines villes entières a partir de pseudo-soucoupe volantes en prenant soin de frapper tout les groupes ethniques/religieux pour prouver que la menace est générale et qu'aucun humain n'est à l'abri.
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	8297	Moi,
		Moi gaya, 15 ans abandonnée sur une planete, appélée terre, planete quasiment morte, désséchée quasiment dépourvue de vie... je vien d'une planete appartenant a une autre galaxie, et je here, evitant les attaques de ces sortes de singes a cinqs doihts. me nourissant des rares petits gibiers comme ce quils appelent les grifts petit rongeur, a grandes pattes griffues , et a longues oreilles, je cherche déséssépéremant un échappatoire. au fond de moi, je sais que jamais je ne survivrait, alors je consigne, sur ces écorces de bois, ma vie avant, et mon ame, espérant quils atteignent bien l'espace grace a mon mini propulseur...
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	8296	Et si?
		Et si un jour notre planete venait a se séparer en plusieurs autres planetes? et que différents peuples se forment au fur et a mesure des siecles, et pourquoi pas, qui entrainerait un changement ADN, et que, les hommes se transforment hommes-fleurs et femmes-fleurs sur une planete? et sur une autre ou naitrait une utopie semblable au fonctionnement d'un fourmiliere, afin de s'adapter a leur nouvelle environnement? et ou a la fin, la population des différentes planetes venaient a s'oublier, puis a se redécouvrir, ce qui amenerait a un metissage, des couleurs et des espèces? peut etre, alors peut etre, notre terre, vivrait-elle plus sainement, sans pollution...
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	8293	La répétition des erreurs
		"C'était en l'an 2056. La couche d'ozone était étirée à sa limite extrême. On en attribuait la faute à la dernière génération qui, au lieu de réagir à la menace pour sauver leurs enfants, avaient préférés chercher des demi-mesures afin d'étirer au maximum la couche d'ozone pour leur permettre de continuer à vivre confortablement dans leur pollution. Les personnes âgées de plus de 50 ans avait alors été lapidées, après un rapide procès. Leur crime était la pollution, leur mobile la paresse. L'humanité entra alors dans sa phase de frustration. Pour tous il était impossible de mourir ainsi. Des millions d'années d'évolution ne pouvait mener à la mort par pollution, c'était pour eux impossible. Les différents États entrèrent alors en guerre, chacun accusant l'autre de n'avoir rien fait pour empêcher le cataclysme. Ce fut une gigantesque guerre nucléaire. Au final, il ne restait plus que quelques milliers de survivants. La guerre ayant finit de ravager la couche d'ozone, un énorme déluge survint. Il inonda les terres, noya les plantes et les animaux. Au final, il ne resta plus que deux humains, rescapés en haut du mont Everest. Du fait de la montée des eaux, la température de la cime de la montagne monta. Les plantes venaient y pousser entretenues par les deux humains, qui s'en servaient comme nourriture. Ces survivants étaient très jeunes. Ils n'avaient jamais compris la guerre. Ils venaient de pays différents mais avaient eu la même idée : vivre plus haut que l'eau. Ils venaient de classes intellectuelles et avaient fui le cataclysme ainsi que la Dernière Guerre Mondiale. Au début, ils vivaient en paix sur quelques kilomètres carrés. Puis un jour, une éruption solaire particulièrement puissante fit commencer à s'évaporer l'eau. Les deux rescapés se cachèrent dans des grottes. Ils eurent trois enfants, un homme et deux femmes. L'une d'elle mourut à trois ans. Son organisme n'avait pas su s'adapter à la chaleur. Ensuite, étant donné que personne n'avait plus pollué depuis des décennies, la couche d'ozone commença progressivement à se reformer. L'eau regela en partie en icebergs. La terre fut libérée. Les animaux évoluèrent pour se déplacer sur la terre ferme. L'homme et la femme se décidèrent alors à quitter le Paradis qu'était la cime de l'Everest pour explorer le monde. Ils n'avaient jamais reçus d'éducation et se comportait au plus comme des babouins améliorés. Ils eurent de nombreux enfants qui peuplèrent la Terre et qui vouèrent un culte à une présence omnisciente. Ces deux humains s'appelaient Adam et Ève.
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	8291	Si vous étiez Dieu pendant une seconde ?
		Et si j'étais Dieu et que du texte que j'écris et que vous lisez en ce moment, dépendait le reste de l'histoire de l'humanité, par une propagation de type "effet papillon" ? Établissez une concentration et une focalisation extrême dans cet optique : un texte pour changer le futur. Qu'écririez vous ?
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	8288	La connaissance
		Et si justement il y avait une suite... Si nous la connaitrions, et si elle nous semblait meilleur que cette vie actuelle, tout le monde voudrait il mourir au plus vite pour rejoindre une vie meilleur? Que ce passerait il pour cette vie actuelle? Romprions nous un cycle qui pourrait déstabiliser tout l'univers? Ou au contraire se débarrassera t-on d'un maillon uniquement? Ce maillon nous manquera t-il pour notre connaissance dans un autre monde? Ou peut être, le monde nouveau ne sera plus le même car il nous manquera quelque chose, une expérience faite sur cette terre ou un comportement qui permettrait de rendre cette nouvelle vie dans ce nouveau monde plus agréable. Mais voilà, si c'était le contraire cet autre monde n'est pas dans la conception comme on se l'imagine... qu'il serai terriblement mauvais...   Afficher les scénarios connectés
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	8273	Un monde sans rire
		Après l'interdiction du rire, l'Homme tomba dans de grave changement qui conduisit a des révoltes partout sur Terre. Partout des cabarets clandestins ouvrèrent où des humoristes y racontait les meilleurs blagues . Des cinémas de vieux films humoristiques jouaient les films des Monty Python, Mel brook et d'autres . Ce qui conduisit tout droit à la création de la Police Anti-Rire qui poursuivait ces nouveaux terroristes. La production industrielle baissa avec le rire, les suicides étaient de plus en plus nombreux et la violence envers les autres s'étendit à une échelle encore inconnue par l'homme. Les Hommes changèrent peu à peu et chaque génération par la suite fut moins portée à rire des situations cocasses de la vie, ils étaient devenus pratiquement des robots, tellement les émotions dûes au rire furent éliminées.
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