EXPLORATEUR DU FUTUR:
TOM33_33

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Coup d'état sur la culotte suprême

 

 

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Coup d’état sur la culotte suprême

La CS (culotte suprême) jeta un coup d’œil circulaire sur ce qui lui semblait lui appartenir :
La salle de direction avec ses dorures magnifiques, les multiples petits écrans en relation avec toutes les culotteries de la planète, et de toutes ses petites culottes ministérielles (les ministres femmes), et autre ancillaires.
Dehors, le palais formidable, en plein centre de ce qui fut appelé Paris durant de nombreuses années, dominait la ville et ses habitants. Depuis quinze ans qu’elle était au pouvoir la C suprême avait réalisé une véritable purge étatique en liquidant un à un tout ces pourris hypocrites de ceux qui étaient surnommés les « maîtres du monde ». Des cadavres de ses ex-commanditeurs, il y en avait partout ; et pour cela, la CS avait développé un vrai-faux mouvement rebelle, sous tendu par des anarchistes activistes agissant dans l’ombre pour ses propres intérêts –ils avaient pour slogan : Non aux maîtres et aux culottes, Oui au string, fil de la vie dans les fesses ! -.
Tout avait changé en 15 ans, elle l’avait promis, et c’était vrai… mais pas en bien.

Tout était comme elle le voulait, mais pourquoi alors était-elle d’une humeur si massacrante ce matin ; elle avait en elle une intuition des mauvais jours et périodes. Puis ses yeux tombèrent sur la personne la plus dévouée, la plus rampante, la plus méprisable, qui était à ses cotés : son premier prépuce (ainsi avait été nommé les hommes aux gouvernements des culottes).
Et là, elle « comprit ». C’était lui qui en la regardant avait peu à peu fait monter une sourde colère et son malaise ; il en était responsable, ce vermisseau, cet esclave.
- Pourquoi me regardes-tu comme ça ? Grogna la CS.
Le premier prépuce ne répondit-pas. Cela en soit était déjà une terrible désobéissance. Il s’avança alors vers elle, et s’arrêta tout proche et dit en chuchotant avec sa voix fausse et haut placée habituelle :
- Culotte suprême de propreté, les nouvelles sont mauvaises.
- Lesquelles, parles vite, ou je t’envoie au centre (sous entendu de flagellation)
Dans le rictus compressant sa bouche et ses lèvres, la CS voyait que cela lui aurait plus plût qu’autre chose. Elle le détestait lui et son vice de rampant.
- Allons dans « la pièce », c’est important. Répondit-il.
La CS sut cette fois qu’il se passait quelque chose de grave comme elle l’avait pressentie.
- Vas m’y attendre. Siffla-t-elle comme un coup de fouet.

La CS se leva et se dirigea d’abord vers la pièce de change ; elle ne pouvait garder sa culotte propre plus d’une heure. Elle avait mouillé celle-ci en écoutant et regardant le père (un des derniers maîtres vivants, laissés en vie pour cela justement) d’une de ses écoutes « secret défense » prendre sa fille de force. Cela était puni par la loi fondamentale, mais elle ne pouvait s’empêcher d’en mouiller sa culotte ; cette dernière glissa alors le long de ses deux jambes fines et longues, lisses et belles dont le haut était cachées par la jupette flottante tressée d’or fin.
La culotte toucha le sol, laissant s’aérer pour quelques secondes la fente suprême d’où émerger les renoncules complexes des petites lèvres brillantes ; les demoiselles. Dans le fond de la culotte, une petite tache gluante - comme une fiente - symbole de ses vilaines excitations incestueuses, paressait.
L’ancillaire dont les yeux et le nez étaient obstrués pour ce travail (traditionnellement), pris délicatement le dessous pour lavage tandis qu’une autre en prosternation offrait le même, mais propre. La CS s’appliqua sur le périnée de son corps fin et chaud, le tissu frais. Le pouvoir de la jeune fille était immense régnant sur tous les continents, tandis que ses deux trous, en bas, recouvert du tissu sacré, lui redonnait la solennité sacré de sa fonction en oubliant ses plaisirs interdits.
Elle traversa la salle de direction vers « la pièce ».
- Parles vite. Apostropha la CS à son premier prépuce en rentrant dans la pièce bureau intime et sécurisée du palais.
- La jeune fille arrive, la culotte d’amour*.
*Note : Il s’agissait d’une divination et légende de l’époque selon laquelle le régime des culottes et des centres de pompages obligatoires serait transformé en un monde doux et tendre ou les centres ne seraient plus obligatoires et si durs.
- Impossible. Répondit fermement la CS.
Le prépuce alluma un grand écran mural qui était discrètement caché, et dessus l’on pouvait constater que toutes les diffusions du monde s’étaient interrompues pour dévoiler la réalisation de l’oracle ; tout y était similaire et avéré.
La CS s’en approcha et comprit que cela était la vérité car à l’écran la jeune fille descendait les marches en rayonnant, tandis que sa jupe laissait entrevoir une culotte luminescente des reflets multicolores d’un arc en ciel. Elle semblait d’une pureté incroyable, et non, elle n’était pas de ce monde. Elle avait le visage de vénus, le cœur de Kâlî, et la culotte de l’amour. Une armée se levait pour elle. Et à nouveau ce fut un choc pour la CS car son prépuce dit gravement :
- Je connaissais cette enfant, elle était connu et désignée par de nombreux sages.
- Et tu ne m’en as pas parlé !!! Se rengorgea la CS qui l’aurait fait assassiner si elle l’avait su.
- Non suprême.
- Tu m’as trahit !
- Non je vous ai sauvé suprême.
Elle sortit de son bureau un pistolet énergétique et le pointa vers la tête de son premier prépuce ; sa main tremblait.
Elle avait confiance en lui, et il l’avait doublé en ne l’ayant pas informé de l’arrivée de cette fille de malheur ; elle allait être destituée, peut être tuée compte tenu du nombre d’ennemis qu’elle avait ; le coup d’état était inévitable.
Sa main tremblait, et pourquoi ne pouvait-elle pas tirer. Le prépuce s’était agenouillé et attendait la mort paisiblement. La CS avait déjà tué plusieurs fois, notamment des maîtres du monde, éliminé froidement, sans une once de pitié et d’émotion. Mais alors pourquoi ne pouvait-elle pas tirer ? Ses yeux commencèrent à se remplir de larmes ; elle comprenait peu à peu que la seule raison possible était que… non ce n’était pas possible, elle ne pouvait pas aimer cet homme de rien, ce faible, ce courbé, ce traitre !

Le pistolet tomba au sol, suivi de la culotte suprême en larme ; Philus, le premier prépuce se releva pour l’aider à se relever. Encore au sol, ils se regardèrent intensément, puis ils s’embrassèrent sauvagement, éperdument. Le pénis au prépuce coupé sur la moitié gauche (la CS ne le savait pas encore « corrigé », vous imaginez la surprise !) de Philus se gonflait peu à peu. De cette situation de destitution très proche, ensemble, ils pourraient même peut être s’en sortir avec les honneurs ; elle lui ferait payer sa félonie plus tard à la cravache.
Elle pleurait et pleurait encore, elle regrettait ses erreurs, son vice tandis que sa tête lui tournait de rédemptions et du bonheur profond qu’elle découvrait.

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Sur l’écran et dans le monde entier la culotte libératoire rayonnait d’une aura de bienveillance et de compassion absolue. Un monde nouveau apparaissait, celui de l’amour d’une jeune fille de Dieu pour les Hommes. La période de la culotte spirituelle commençait, et cela pour beaucoup plus de 20 ans.

FIN
 

 

  
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Etude sur les conditions à une culotocratie future

 

 

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De la culotocratie (2)

Etude sur la faisabilité d’un gouvernement culotocratique

Quelles devraient être les conditions sociales (économiques, et générales) pour voir la possibilité d’une gestion d’un pays par une jeune fille ?

La première des choses seraient que celle-ci soit d’une maturité et d’une sagesse hors du commun ; ce serait une jeune fille, mais douée de qualités égales voir supérieures à des personnes plus âgées, donc plus expérimentées.

Quelles serait alors les qualités nécessaires à la gestion d’un pays par une jeune fille ?
Je crois que Markonseptor87 parlais de celle de l’amour, de la capacité à résoudre un conflit par la compassion et la douceur, de gérer, de conduire une structure complexe dans des objectifs de paix et d’unités.

De la possibilité d’un tel gouvernement.

Il s’agit bien de science fiction car aujourd’hui un tel gouvernement subirait des attaques multiples telles que la douceur et la tendresse seraient certainement remplacées par une commanderie utilisant la force comme moyen de servir des intérêts privés (oligarchie par exemple).
Plus un gouvernement est sous tendu par des archétypes positifs, plus il sera libertiphile, et en élévation globale. Cependant l’inverse n’est pas obligatoirement vrai, à savoir un pays qui est proche du chaos, d’une anarchie, ou dans une moindre mesure d’une révolution, aura besoin pour ne pas y sombrer d’un gouvernement prenant l’apparence de la dureté, ferme, structurant, compressant, posant des limites.
On dit par exemple de la Russie qu’elle a toujours eut besoin d’une main de fer pour la gouverner ; la France ne pourrait être gouverné aujourd’hui par la seule douceur ; cela mènerait à des mouvements tendant à la domination d’un intérêt groupal sur la totalité (par exemple les fameux « maîtres du monde ») L’incongruence sociale a des raisons qui selon les pays peuvent être très diverses (économiques, castes, opposition d’objectif, différent inconscient…).
Ou alors dans ce cas la jeune fille serait une vrai panthère à l’intelligence ultra rapide et coupante ; une vicieuse formidable, mais de ce fait exempte des qualités véritablement épurés du cœur.

De la faisabilité dans le futur

Pour permettre une gestion étatique de douceur et de pure compassion pour un gouvernement humain ; l’unité d’objectif positif doit être atteint (la congruence) ; c'est-à-dire que l’ensemble des parties des pays doivent tendre vers un objectif commun qui serait le bonheur de tous, donc de chacun, sans volonté de domination d’une des parties.
Nous en sommes loin. Un exemple : le Tibet qui ne voulant pas (ou ne pouvant pas) entendre ni voir la bêtise de ses voisins, fut envahi et soumis avec d’affreuses conséquences pour sa population.
Une population mondiale assagit, consciente, purifiée, évoluée vers l’élévation de l’âme pour la gnose/Dieu/Krisna/Alla/Etat de bouddha …, désignant des voies différentes mais un but commun.

Aller vers le bien est la nécessité pour l’avènement d’une direction portant une culotte fine à fleur, et sentant bon le coton et la rose. La tendresse du tissu fin se posant sur la fente, les chemins sacrés du fondement jeune et féminin à la direction d’un pays oblige, nécessite une humanité purifié, transcendée, homogène. La gamine aux traits de vénus, et au cœur de Kali ; d’un autre monde finalement ; pourrait alors mener les hommes vers leurs évolutions.
Laquelle je renverrai au dernier écrit de Sri Aurobindo concernant l’avènement de l’évolution de l’humanité involuée, de la descente du divin sur la terre pour tout ou partie des hommes.

Voici donc les conditions définissant comme préalable à une gestion de jeunes filles, oh que l’utopie est belle ! Oh que les jupettes de la connaissance seraient jolies ! Oh que les culottes pleines de sagesse seraient douces et attirantes jusqu’à l’orgasme satorique !

Je souhaite qu’un jour tout cela se réalise,
(Tom33_33)
 

 

  
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De la culotocratie

 

 

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Ce scénario est une pure merveille. En voici sa prologation.

Rapport historique 987k4sf46 du centre de mémoire globale (voir scénarios affiliés)

LA CULOTOCRATIE

Régime politique mondial érotico-dépendant qui fut régit pendant 200 ans par des jeunes filles en fleur où il s'appuya en substance sur les petites culottes, les histoires de coeurs, et de vétements courts qui devinrent peu à peu la matrice de la société, sa mystique.
Dans le détail (extrait) :
Les jeunes filles choississaient réguliérement des hommes ou jeunes hommes, ou vieux, qui passaient dans un centre de débridage sexuel, ou d'épuration où tout leurs était fait. Ils étaient pris en charge du début jusqu'à la fin, où ils finissaient plus ou moins brillamment l'ordre du jour, droit comme des i.

Les petites jambe fines n'étaient plus le meilleur moyen pour accéder au pouvoir et à l'argent comme avant, mais la douceur et la tendresse, mais... et oui "mais" malheureusement, certaines jeunes filles devenaient de vrai tigresses au stade qui équivaut au stade député, et n'hésitaient pas à éliminer par le poison leurs anciennes copines qui avaient becquotées Pierre, avant qu'elle ne repartent avec Jacque, qui l'avait trompé avec Christelle. Dans ce dernier cas, le pauvre pouvait être émasculé de la moitié de son prépus (signe et peine typique du régime C).

Des nouveaux devoirs des citoyens furent établis (extrait du code civique) :
- avoir une culotte sale est passible d'une peine allant de trois mois d'interdiction de tchat, jusqu'à la mise à mort du pet personnel.
- les secrets et ses affluents sont déterminés comme secret, donc interdits et émoustillants.
- les potins replaceront définitivement toutes philosophie qui elle, sera reléguée dans les alcôves, et pour les vieux.

L'explication profonde et secrète de la culotocratie :

Cette utopie fut créée par les maîtres du monde (de cette époque) qui voulaient créer une sexygarchie (le terme culotocratie n'arriva que plus tard), ou les femmes moches et vieilles ne pouvaient plus avoir droit de citer. Un monde terrible ou seule les jeunes filles tendres et belles pouvaient avoir droit à la parole, et surtout à la decision.
Le monde avait donc changé de visage pour une peau fraiche et belle biactolé, mais dans l'ombre une direction décisionnelle de pourris par l'argent utilisaient le faux pouvoir mit en place comme paravent, pour cacher leurs envies les plus sournoises, et les plus sales. A cette époque du début de la culotocracie, l'on a dit :
Derrière les fentes, les feintes.

Mais contre toute attente, les maîtres du monde se firent doublés par le gouvernement mondial culotocratique, et les jeunes filles réussirent à obtenir le pouvoir absolu durant une vingtaine d'année, qui furent un "bain de bonheur" pour beaucoup. Malheureusement (et oui encore) cela s'arrêta brutalement le jour où la culotte en chef s'aperçue que son amoureux sortait avec sa première culotte.
Le régime s'écroula alors, et de nombreuses jeunes filles furent violées et tuées.

Note : La jeunesse n'est pas sagesse.
De plus, on perd l'une pour gagner en l'autre.
 

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