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BIOSPHÈRE
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| Si l'on veut voir un vrai fruit de l'évolution, il faut regarder certains insectes qui étaient là avant nous et qui le seront après... Je veux simplement dire que l'Homme s'auto-détruira avant que la nature ne le fasse justement parce qu'il est plein de sentiments qui l'amèneront à sa perte. Il n'a pas que l'instinct de survie, il a l'instinct de mort sur les autres, une volonté absolue de puissance. Peut-être simplement lié au sentiment de conscience de soi et donc de peur vis-à-vis de son entourage. Sinon, pourquoi avec une "telle" intelligence et une "telle" évolution, ne peut-il s'évertuer à faire de cette planète un lieu où il ferait bon vivre ?  Afficher les scénarios connectés |
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| An 2060, après le cyclone qui a ravagé la majeure partie ouest de la france, notre pays a perdu presque le tiers de ses terres cultivables. Les autorités se trouvent devant un dilemne, comment nourrir une population de 100 millions d'habitants tout en ayant les possibilités de les loger? Après une réunion au sommet de l'organisation des etats eurasiens, le projet est de faire reculer le desert qui s'etend de la mer noire au detroit de gibraltar pour offrir des terres agricoles aux pays les plus touchés. |
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| Pourquoi tant de haine ? Si l'homme était le résultat d'une "erreur" génétique, il aurait disparu il y a des millénaires de cela. Car toutes les créatures qui sont les résultats de véritables erreurs génétiques provoquant de réelles maladies (difformations physiques, carences physiologiques, anémies, etc.), ne survivent pas (sauf celles que l'on peut aujourd'hui soigner, et ce grâce à cette Technique, cette Science et ces milliards de Capitaux investis que nombre d'entre vous semblent hair - hélas ! - jusqu'au tréfonds de leur être), et ces erreurs disparaissent avec elles. Afficher les scénarios connectés |
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| Je pense simplement que l'être humain est une erreur génétique : peut-être le croisement de 2 espèces ce qui, à priori, est impossible, mais qui expliquerait bien des choses, notamment ces sentiments de haine, rancune, besoin de se faire valoir et intelligence pas forcément positive... Afficher les scénarios connectés |
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| Bonjour mon nom est M45Te6396. Afficher les scénarios connectés |
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| La terre est entourée d'une atmosphère contenant de l'oxygène et le soleil inonde de ses rayons cette atmosphère. Le rayonnement solaire transforme une partie de cet oxygène (O2) en ozone (O3). Ainsi se trouve constituée ce qu'on appelle la couche d'ozone, qui est en fait une couche d'oxygène contenant un mélange d'oxygène-ozone. Au niveau des pôles, le soleil ne brillant pas pendant six mois, il existe pendant six mois une absence de production d'ozone et la densité d'ozone diminue de 50 % environ en six mois. Le retour du soleil au printemps fera remonter la densité de l'ozone de 50 %. Or l'atmosphère des pôles, et surtout celle du pôle sud, est pratiquement totalement isolée de l'atmosphère terrestre. Il n'y a que très peu d'échanges atmosphériques. Cette moindre concentration en ozone aux pôles se trouve matérialisée sur des vues de la terre où la couleur de l'atmosphère moins riche en ozone se trouve différente de celle du reste de l'atmosphère. C'est devant de telles vues informatiques qu'on a commencé à parler du " trou d'ozone ". Or, quand l'engrais est moins abondant dans une partie d'un jardin, on n'observe aucun " trou " dans ce secteur. Mais un " trou " est bien plus utilisable médiatiquement ou politiquement qu'une "moindre concentration". Enfin, depuis qu'on mesure la concentration de l'ozone aux pôles, depuis quinze ans, une baisse de 0,4 % par an est observée. On ne sait si cette baisse correspond à un cycle naturel ou si elle est secondaire à la pollution engendrée par l'homme. Puis, on a accusé certains comportements humains d'être responsables du " trou d'ozone ", donc d'un excès d'ultraviolets. En 1970, le " Concorde ", en volant dans la couche d'ozone, aurait ralenti la production d'ozone et serait devenu responsable de l'augmentation des cancers cutanés. Augmentation bien réelle de 800 % en 40 ans, mais due à la mode du bronzage sur les plages, bien antérieure à l'arrivée du Concorde. On a ensuite accusé le trou d'ozone de rendre aveugles bergers et moutons en Patagonie, juste sous le " trou " antarctique. Après vérification, ce ne sont pas les UV qui sont en cause, mais un parasite banal et bien connu qui donne les " yeux roses ". Puis, est arrivée en 1973, l'histoire du gaz CFC (Chloro Fluoro Carbone), gaz contenant du chlore et utilisé dans les bombes à aérosols. Or, en laboratoire, le chlore détruit l'ozone. On a donc accusé, sans aucune preuve scientifique, le million de tonnes de chlore diffusé chaque année par les aérosols dans l'hémisphère nord de franchir la fantastique barrière climatique qu'est l'équateur et d'être responsable du trou au niveau du pôle sud. Il ne faut pas oublier par ailleurs qu'une seule éruption volcanique est capable d'envoyer dans l'atmosphère plus de 2 milliards de tonnes de chlore... Le CFC a cependant été interdit. Enfin, dans le " trou " se précipiteraient les ultraviolets qui se trouveraient ensuite coincés autour de la terre par l'effet de serre. Ainsi se trouve expliqué le réchauffement actuel de la terre, alors que depuis des millénaires les périodes glaciaires et interglaciaires se succèdent. |
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| Et si l'inversion des pôles arrivait en 2012 ? Quelle conséquence pour les êtres humains ? Quelles conséquences pour la planète ? Y a t'il un rapport causal avec la découverte de la 10ème planète du système solaire ? (Nibiru) Afficher les scénarios connectés |
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| L’effet de serre a, en fait, un aspect bénéfique car si les gaz qui le provoquent, principalement le CO2, la vapeur d’eau, le méthane n’agissaient pas comme des pièges pour les radiations infrarouges du soleil, la température ambiante s’abaisserait à –5°C et toute vie deviendrait impossible. Afficher les scénarios connectés |
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| Imaginez, les technologies s'améliorent, l'émulation provoquée par la conquete de l'espace a été stoppée par la découverte de ruines de civilisations extraterrestres. Les hommes commencent à avoir peur de leur avenir, peur d'eux mêmes et des conséquences de leurs actes. Diverses réactions de la part de plusieurs groupes. Un émerge parmis les autres. Le premier indique que si l'homme n'a pas trouvé le réconfort dans les technologies il devrait le chercher dans la nature. |
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| Quelques questions se posent à moi à ce sujet. Il est dit que tous les 100000 ans environ (et encore les dates varient selon les auteurs), les pôles magnétiques de notre Terre s’inversent. La dernière inversion se serait passée il y a 780000 ans – cette inversion n’a donc pas encore eu lieu mais pourrait bientôt se produire… De plus, tous les 11 ans les pôles magnétiques de notre soleil s’inversent. Lors de cette inversion (qui a eu lieu en 1996) l'activité solaire est à son minimum. Par la suite, l’intensité des jets de particules (hautement énergétiques) ne fait qu’augmenter - 5 ans plus tard, en 2001, elle atteint son maximum… Alors maintenant, est-ce que la Terre pourrait voir son champ magnétique perturbé lors de l’inversion de ses pôles ? Que se passerait-il si l’activité solaire était à son maximum lors de cette inversion ? Notre bouclier nous protègerait-il contre les particules émises par ce vent solaire ? Quelles seraient les conséquences sur Terre, sur la vie ?… En ce qui concerne le soleil, la prochaine inversion de ses pôles devrait avoir lieu en 2007, et si 5 ans plus tard – en 2012 - son activité était à son maximum ?… |
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| Le soleil continuera de briller jusqu'à se lever à l'Ouest et se coucher à l'Est. L'Eau et le Feu seront deux éléments que l'Homme aura parfaitement maitrisés, d'ailleurs l'Homme aura connu une mutation de tous ses systèmes, qu'ils soient physiques ou nerveux, afin de s'adapter à sa nouvelle forme de vie (nouvelle par rapport à nous, à notre type d'existence actuelle). Nos cellules par exemple seront insensibles à la haute température puisque nous serons capables d'avaler du feu sous plusieurs formes (d'ailleurs on peut déjà commencer à observer ce phénomène en Russie avec la "vodka-flambée"...). Autre élément important: le Métal. Il aura intégré tous les édifices, toutes les créations. Les réseaux routiers seront oubliés au profit de la navigation aérienne: d'une manière ou d'une autre tous les hommes voleront pour se déplacer. Et se seront les femmes aux chaussures à talons de plus en plus hauts qui , quelques plusieurs milliers de décennies avant, pousseront les hommes à vouloir s'élever de plus en plus haut. La recette de leur envol sera: fierté+vanité+génie+métal= vol de l'Homme. |
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| Pendant une catastrophe écologique , un groupe d'humains réussit à survivre dans une grotte qu'ils ont aménagée avec tous les moyens alternatifs et écologiques qu'ils expérimentaient déjà. |
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| La pollution causée par l'être humain aura comme effet de produire un réchauffement de la planète considérable. Ceci fera fondre tout le nord et le sud glacial. Afficher les scénarios connectés |
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| Désolé d'avoir mal interprété la théorie du livre de M. Quinn (que je lirai peut-être à l'occasion). Toutefois, pour simplement tester la validité de ses hypothèses, et de son argumentation, je me dois de soulever ces quelques questions: Qui a décidé que l'Homme ne devait pas posséder le monde ? Qui a décidé de ne pas nous octroyer ce "droit de vie et de mort sur toutes les autres espèces" ? Je sais bien que toute disparition d'une espèce vivante "à cause" de l'activité humaine est fort dommageable à la biodiversité de la planète, mais je reste persuadé que l'Homme est davantage un virus, facteur d'instabilité, parce qu'il n'obéit pas à cette loi de la compétition limitée, tout comme le virus n'a d'autre "objectif" que la destruction totale de son hôte. A ce titre, l'Homme est totalement irresponsable (je n'ai jamais vu aucun homme être pleinement responsable de ses actes, par le simple fait que ses actions ne se déroulent jamais exactement comme il les avait prévues). Que cela le fasse courir à sa propre perte, je n'y peux rien, en tant que simple individu. Je ne fais que tenter de définir l'Homme, superprédateur, supervirus, et qui, s'il avait justement continué de respecter cette loi, n'aurait jamais survécu, car c'est bien par la reproduction et la recherche de la Connaissance (donc la maîtrise de la Nature) qu'il a pu traverser ces millénaires. |
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| Les hommes en voulant anéantir plusieurs races d'insectes soit disant nuisibles, mettent au point des plantes céréalières génétiquement modifiées. Le résultat est immédiat pour les insectes incriminés, mais avec en contre-partie une réaction pour l'homme terrible : le gène intégré à la plante a muté, il offre dorénavant les mêmes résultats pour l'homme....... |
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| Imaginons qu'au fil de plusieurs dizaines de millénaires, l'homme ait à évoluer vers une apparence et une position sociale complètement différentes de l'homme bionique ou moitié robotisé. Il pourrait évoluer vers une position qui ferait qu'il soit totalement assigné à une tâche et qu'il ne puisse en déroger.Je m'explique: |
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| Quels équilibres fondamentaux, autres que ceux de la thermodynamique ? Alors que tout est Chaos et Evolution, donc Mouvement, il est très difficile, et assez hasardeux, d'affirmer avec assurance que des équilibres fixes et absolus sont les règles régissant notre biosphère. Comme le dit si bien Popper, une vérité scientifique n'est une vérité scientifique que si on est en mesure de la vérifier constamment, donc de constamment la critiquer, de la soumettre à l'épreuve des faits. Ainsi les théories darwiniennes ne résisteront plus très longtemps à certaines avancées anthropologiques, et celles d'Einstein seront dépassées, dans les deux sens du terme. Par ailleurs, ne pas qualifier les avancées biotechnologiques de "révolutions", alors que les hommes et les machines sont de plus en plus inter- et intraconnectés, me paraît faire preuve d'un scepticisme appelant à l'hérésie. Et, si les forêts sont certes - pour l'instant - indispensables à la vie, je suis plutôt sidéré que l'on puisse qualifier les réseaux de communications transnationaux de "simple bétonnage" ! Je suppose que les pyramides ne sont que des amas de pierres servant de tombeaux ? Enfin, sur le berceau de l'Humanité, je ne pense pas que l'Homme soit fait pour rester au berceau, berceau qui disparaîtra à un moment donné de toute façon, même si ce n'est que dans des millions d'années ! |
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| Désolé de vouloir jouer les pointilleux, mais "même matière" est, me semble-t-il (et le premier dictionnaire saisi ne me contredira pas), une expression trop fourre-tout: la chair, les os, les plumes, les écailles, la sève, l'écorce, les membranes, les molécules, etc., tous ces éléments constituent la "matière" vivante. Ce ne sont donc pas des "détails" sémantiques, mais un véritable travail sur la langue qui doivent nous pousser à coller au plus près de la réalité que nous souhaitons décrire. C'est pourquoi je ne suis d'accord que lorsque l'argumentation devient précise (ex: l'atome de carbone). Sur le terme "biosphère", Saint Larousse et Sainte Encyclopédie, protecteurs du Logos, parlent "d'ensemble des êtres vivants ET de leurs MILIEUX", "d'ESPACES du globe terrestre fréquentés par les êtres vivants", et distinguent même "deux REGIONS dans la biosphère: la région autotrophe et la région hétérotrophe". Si tout ceci ne constitue pas des LIEUX, je ne sais que dire ! Par ailleurs, la notion de méta-organisme et d'une "nécessité primordiale du maintien d'un équilibre" sont des conceptions humaines, trop humaines, comme dirait Nietzsche, et sont bien fragiles face à l'incroyable Chaos qui règne au sein de cette biosphère. Enfin, du fait que tous les êtres vivants n'ont PAS le même nombre de chromosomes, donc de gènes, l'hypothèse d'un génome commun non exprimé me paraît - pour l'instant - improbable. |
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| C’est uniquement le mépris de la Terre et le non respect des équilibres fondamentaux légitimés par la perspective hasardeuse de trouver refuge « ailleurs » qui est suicidaire. Afficher les scénarios connectés |
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| Lorsque le désaccord porte sur des détails sémantiques, c’est que l’argumentation se tarit et que l’accord n’est plus très loin… Cependant, l’atome de carbone est bien le MEME chez tous les êtres vivants : 6 protons, 6 neutrons, 6 électrons. Il n’est pas similaire : c’est le même, l’identique. D’autre part, il semble nécessaire de le préciser pour que nous parlions de la même chose : la biosphère n’a jamais été un lieu. Le lieu, c’est la Terre. La biosphère, elle, est l’ensemble des êtres vivants. Cela étant dit, nous pouvons peut-être conclure de nos échanges que je pense fructueux que la biosphère ne peut se comparer à un simple organisme car effectivement, on y observe une compétition féroce. C’est pour cela que le terme de méta-organisme a été employé. On peut le justifier par la nécessité primordiale du maintien d’un équilibre au sein de ce méta-organisme ce qui implique donc une relation forte entre tous ses éléments et donc une unicité malgré tout. Afficher les scénarios connectés |
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| L'expansion extraterrestre de l'Homme ne doit évidemment pas être une fuite en avant. Sauf si cela devient nécessaire et, dans ce cas, au diable nos préjugés moraux qui feraient de nos devoirs des comportements suicidaires et irresponsables (peut-être est-ce là les remarques que nos grands explorateurs ont dû entendre avant qu'ils décident de n'écouter que leur folie et leur soif de découvertes !). Par ailleurs, pour être convaincu de la faisabilité d'une terraformation, il suffit de constater les avancées scientifiques dans le domaine des biotechnologies, ou l'incroyable démesure et l'immense complexité que constituent les mégalopoles et leurs réseaux autoroutiers. Certes il s'agit ici de notre préhistoire, mais ce n'est que le début ! Aussi je préfère davantage miser sur les fous que sur les sages: ils sont, à mon sens, plus près du véritable génie. Comme l'écrit Mehdi Belhaj Kacem: "Ce qui est jugé "bon", dans ce souk d'historiens à la petite semaine, se révèle à l'usage toujours le plus mauvais, car ils ne voient de réussite que dans les phénomènes de masses, de civilisations, de nombre, de peuples (alors que c'est le contraire qui nous intéresse et fait avancer, dans la perspective que chacun possède en propre, qu'est-ce qui a fait exception - qu'est-ce qui a défié l'Histoire ?)". Afficher les scénarios connectés |
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| Je sais qu'il est très difficile de se débarrasser de la Morale, aussi suis-je désolé de devoir souligner que les notions de "positif" et "négatif" que l'Homme attribue à ses actions ne sont que les avatars de "bon" et "mauvais" transposés ici dans le registre sémantique de la science. Cela étant dit, je reconnais qu'une très mauvaise gestion humaine des ressources naturelles est une des principales causes de certains "maux" (encore cette fichue Morale) de la planète. Néanmoins, je suis d'avis que ce Mal est peut-être nécessaire pour le surgissement d'un Bien, voire d'un Meilleur. Après tout, l'ère industrielle a aussi engendré les nombreuses avancées de la science, tous domaines confondus (en bien ET en mal, comme d'habitude ou, plus précisément, par simple équilibre thermodynamique). Aussi l'équilibre n'est jamais vraiment rompu puisque les bénéfices dont profitera l'humanité s'accompagneront invariablement de pertes, une fois de plus par simple équilibre thermodynamique. Plus grands les bénéfices, plus douloureuses les pertes ? Sans doute. Mais le chaos déterministe qui anime l'évolution de la planète et de tout ce qui y vit, permet à la Terre de rétablir ces équilibres d'elle-même (donc sans notre approbation, simple retour des choses). Par ailleurs, il nous faudra nécessairement nous adapter aux futures évolutions de la biosphère (que nous en soyons ou non les responsables). La survie de l'Homme en dépend. Afficher les scénarios connectés |
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| Ce qui était surtout dérangeant dans le scénario 966, c'était l'association d'un terme aussi générique que "matière" (auquel je préfère nettement les termes de structures et de processus, plus précis), avec l'adjectif "même" qui renvoie trop fortement à une identité totale (là encore, je préfère la prudence de mots tels que "similaires", "semblables" ou "communs", peut-être par choix stylistique). Mais sur le fond, nous sommes d'accord: il y a là une certaine unicité de la vie ou, du moins, des dénominateurs communs, tel que l'ADN. Par ailleurs, le scénario 966 impliquait clairement une relation de cause à effet entre le fait que nous vivions dans un méta-organisme, la biosphère, et le fait que nous ne pouvions nous détruire réciproquement. Or, d'une part cette relation "si… alors…" est erronée, puisque la biosphère est bien le lieu, non pas d'un "struggle for life", mais d'une prolifération de la vie ET d'une volonté de la survie (d'où Création/Destruction, Vie/Mort d'espèces), et d'autre part, ou devrais-je dire par conséquent, il ne s'agit plus là d'un véritable organisme puisque la coopération entre cellules (qui découle du fait que les cellules d'un organisme donné ont le MEME programme génétique) ne peut plus du tout s'appliquer à un écosystème où les espèces vivantes ont des programmes génétiques totalement DIFFERENTS. Ainsi la coopération microscopique devient compétition macroscopique… Afficher les scénarios connectés |
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| Il y a les catastrophes naturelles et celles qui ne le sont pas car provoquées. S’enfuir de la Terre devenue poubelle est un comportement suicidaire et irresponsable. De plus, comment être convaincu de la faisabilité d’une terraformation ? La perspective de transformer un monde minéral stérile en seconde terre est séduisante et servira sans doute un jour pour l’expansion de l’humanité et de la vie dans son ensemble. La terraformation doit servir, si elle est possible, ce but d’expansion mais ne doit pas servir de bouée de sauvetage. Afficher les scénarios connectés |
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| Couper un arbre, tuer un bœuf, n’est pas « immoral », la morale n’existe pas ici. Seules les lois écosystémiques existent. On peut donc en relation à cet écosystème parler d’action positive et négative ou également neutre. Si couper un arbre est positif, neutre ou négatif selon l’usage qu’il en est fait, raser des étendues de forêt est par contre négatif car cela déstabilise un système en équilibre. Que ce soit clair, c’est bien le pillage des ressources qui pose problème. Le pillage des ressources pétrolières a conduit en 200 ans d’ère industrielle à rejeter le carbone accumulé à l’ère primaire pendant des millions d'années. L’équilibre des flux est rompu. Afficher les scénarios connectés |
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| Il est parfaitement évident que l'ensemble de la biosphère (végétaux, animaux et hommes) sont constitués par la même matière, les mêmes éléments chimiques, ceux-là même nés au coeur des étoiles. Afficher les scénarios connectés |
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| A force de croisements, facilités grâce à internet et aux moyens de transports, l'Homme va de plus en plus se métisser. Mais cette évolution sera beaucoup plus rapide comparée aux mutations du code génétique. On arrivera donc à un Homme hybride, une sorte de clone, avec 2 représentants de l'espèce, l'homme et la femme, ne se différenciant désormais plus que par par le chromosome sexuel Y. |
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| Végétaux, animaux et hommes ont des STRUCTURES et des PROCESSUS physiques et biologiques communs, mais ils ne sont en aucun cas constitués par la même matière (quel organe humain fabrique donc de la chlorophylle ?). Arrêtons de croire que nous sommes tous égaux ! En outre, virus, bactéries et autres "parasites" appartiennent également à la biosphère, que cela nous plaise ou pas et, loin de nos préjugés moraux, ils luttent pour leur survie et leur prolifération, selon leur propre programme génétique. Ainsi l'homme appartient-il PLEINEMENT à ce méta-organisme bien que, par son histoire, il s'inscrive en NEGATIF par rapport à celui-ci. Son but, si cette téléologie peut toutefois avoir un quelconque sens, est d'accéder à la Connaissance et, pour arriver à ses fins, l'homme n'a d'autres moyens que d'observer/imiter/scruter/disséquer la Nature avec tous les outils que son cerveau sera à même de concevoir. L'expansion extraterrestre de l'Homme sera aussi une nécessité. Faudra-t-il l'empêcher de terraformer d'autres planètes et, a fortiori, de terraformer la Terre ? Ou devra-t-il subir les futurs catastrophes naturelles parce qu'il aura "péché" ? Nous trouvons peut-être injuste et immoral que les lions s'attaquent aux gnous les plus faibles (i.e. les plus jeunes et les plus vieux), mais les lions s'en moquent. Telle est la première Loi de la Nature. Afficher les scénarios connectés |
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| Végétaux, animaux et hommes sont constitués par la même matière. On peut en déduire que nous formons un tout: la biosphère. Si nous sommes un méta-organisme, nous ne pouvons nous détruire réciproquement: un organisme n'attaque que des éléments étrangers à lui ou devenu tels (comme les cellules cancéreuses). Si l'homme pille les ressources, il n'appartient plus à ce méta-organisme mais devient un parasite. Et lorsque le parasite épuise son hôte, il meurt à brève échéance. Afficher les scénarios connectés |
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| Un jour, l'eau qu'il y a sur terre ne pourra plus être consommée, mais entre temps on aura enfin réussi à mettre les pieds sur mars et trouvé de l'eau sur cette planète (et oui puisque les scientifiques ont cru y trouver des traces). Evidemment, il s'en suivra une guerre mondiale pour savoir qui en disposera et il sera décidé que tous ceux qui ont participé activement à la pollution de la planète seront lésés, donc hégémonie mondiale du sud. C'est là que tout ce complique, on n'avait pas décelé dans l'eau de Mars la présence d'une bactérie extra-terrestre, ce qui causera des mutations génétiques chez tous les consommateurs d'eau, c'est-a-dire tous les humains, et donc la disparition du genre Hommo sapiens et apparition d'une nouvelle espèce. |
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| Avec cette guerre de l'eau, les humains retrouvent leurs instincts sauvage et primaire, comme... les hommes des cavernes. L'Histoire se répète: l'homme réinvente le feu, reconstruit des huttes, etc... Une nouvelle naissance pour l'humanité, peut-être meilleure ? On peut tout espérer. |
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| Après avoir construit des barrages un peu partout, après avoir pollué tous les fleuves, et après avoir provoqué un réchauffement de la planète irréversible dû à l'effet de serre, les hommes se livrent une guerre impitoyable pour la possession de la seule ressource naturelle indispensable: l'eau. L'humanité ne subit plus la mondialisation mais l'individuation, l'homme retrouvant ses caractéristiques primaires. Il n'y a plus ni état, ni politique, ni société. Afficher les scénarios connectés |
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| Le Sable a envahi les ¾ de la planète. Le reste subit une période de glaciation. La population humaine s'est réduite comme une peau de chagrin. Plus de guerres, les peuples se sont alliés pour réparer les erreurs passées, ou du moins essayer de survivre avec les conséquences de celles-ci. Les différents gouvernements ont enfin décidé de rendre publique l'existence d'une source d'énergie non polluante par transformation de l'hydrogène. La pollution est stoppée. Mais trop tard. L'eau est désormais fabriquée artificiellement, pour ne pas épuiser le peu de réserves encore disponibles sur Terre. Résultat de tout ceci : les hommes vivent sur un sol autrefois fertile, désormais complètement stéril, tout ce qui était naturel existe désormais de façon artificielle. Seul progrès: une prise de conscience durable de la primauté de la santé de notre mère nourricière. D'où la renaissance d'une religion universelle: le culte de Gaïa. Et la course aux nouveaux équipements en harmonie avec la nature. |
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| L’homme pourrait très bien rétrécir, après s’être redressé il se rapetisserait. Afficher les scénarios connectés |
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| En quelques siècles les humains décident de développer le meilleur de la terre: la nature. Chaque parcelle de forêt, chaque rivière est soignée, dépolluée. Les hommes sont éduqués pour respecter la vie. Plus de guerre, plus de racisme. C'est l'harmonie avec la nature et la vie!! Afficher les scénarios connectés |
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| Il y a 1.5 milliards d'années, une cellule eucaryote (avec un noyau) anaérobie phagocytait une cellule procaryote (sans noyau) aérobie. Mais au lieu d'éliminer cette dernière complètement comme ça se fait d'habitude, les 2 cellules se sont mises à vivre en symbiose pour constituer une cellule eucaryote aérobie. Peu à peu, le matériel génétique de l'ex-cellule procaryote, appelée alors mitochondrie, est presque entièrement passé dans le noyau de la cellule hôte. Actuellement, le corps humain est constitué de ce type de cellules. Mais si par un événement extèrieur (radioactivité?) le phénomène inverse se produisait et que la mitochondrie reprenait son indépendance, que se passerait-il pour nous? Nous produirions 14 fois moins d'energie par molécule de glucose... Serions-nous condamnés à disparaître? Pourrions-nous modifier l'équipement enzymatique de nos cellules pour qu'elles deviennent aérobies? |
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| Je pense que les modifications du climat ne dépendent pas seulement de l'homme. |
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| Le réchauffement de la planète provoque la fonte des glaces polaires, le niveau des eaux monte et les mers recouvrent de vastes portions de terre. Une grande partie de l’humanité meurt dans les luttes pour prendre le contrôle des quelques terres restantes, qui deviennent rapidement surpeuplées. Cette surpopulation, alliée au manque d’infrastructures, provoque de graves épidémies. Afficher les scénarios connectés |
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| Suite à un incident chimique, la nature s'est mise à croitre à grande vitesse partout sur terre. |
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| L’Homme a vu les eaux recouvrir les côtes pour s’étendre progressivement vers l’intérieur des terres. Il a peu à peu adapté ses habitations à ce nouvel environnement. Désormais, nous vivons dans de grandes sphères en verre et voyageons à bord de puissantes auto-bulles. Tout est rond dans cet univers, une façon d’être en harmonie avec le milieu sous-marin. Alors que les personnes les plus riches profitent encore du ciel et de son soleil, les plus pauvres ainsi que les « gêneurs » sont parqués au fond des eaux…. Notre alimentation à également changé, nous nous nourrissons d’algues, de poissons et de crustacés. Pour ce qui est des animaux terrestres, les plus « utiles » ont été emmenés à bord de nos sphères, les autres espèces ne font plus partie de notre monde… Quant au dauphin, il est devenu le meilleur ami de l’Homme. La science vient d’ailleurs de mettre au point un procédé de communication avec eux. Notre but est de maîtriser l’écholocation sous-marine et de permettre à l’Homme de vivre un jour parmi eux… |
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| Et si, suite à une guerre bactériologique (ou même un accident bête...) les êtres humains se retrouvaient contraints à vivre quasiment de la même façon que les nomades des steppes ? Par petits groupes TRES méfiants des autres groupes, ne pouvant plus communiquer qu'à distance, par signes et réseaux hertziens (pour autant qu'ils soient encore opérationnels après la chute démographique considérable qu'une guerre de ce genre déclencherait)... On verrait alors fleurir des langages gestuels, des attitudes de prudence généralisée par rapport aux MANIERES DE VIVRE (ne pas gaspiller l'eau, contrôler et faire bouillir la nourriture), et les hommes monteraient ENFIN une société anarchiste (par force, ne pouvant plus faire nos énormes systèmes hiérarchiques...) et des structures de vie LEGERES (par force, tout cela...) |
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| Tous les 11 ans, les pôles magnétiques de notre Soleil s’inversent et s’accompagnent d’ immenses éruptions d'énergie. Le champ magnétique terrestre fait quant à lui office de bouclier face à ce vent solaire. Mais ce bouclier, sous l’influence de l’homme et du temps, s’est dégradé… La Terre a déjà connu une inversion de ses pôles magnétiques il y a longtemps de cela, trop longtemps… Un véritable cataclysme se prépare… Alors que le Soleil nous bombarde de ses particules ionisantes, la Terre voit ses pôles s’inverser. Notre planète et notre humanité courent tout droit à la catastrophe… Les orages magnétiques s’intensifient - Nos propres molécules se trouvent altérées- La croûte terrestre se fracture – Les éruptions volcaniques, les tremblements de Terre s’enchaînent…Nous baignons dans un véritable scénario apocalyptique… |
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| Elle se reveilla ce matin avec son teint si pâle. La première chose qu'elle fait, c'est d'allumer ses fenêtres. Oui, aucune ouverture vers l'extérieur n'existe, dans le monde où elle vit. Celles-ci ont été remplacées par des écrans. Elle choisit un paysage enneigé. Elle travaille au musée de la Nature. Là-bas subsiste le dernier sapin, sous globe, bien sûr. Le monde extérieur, un cauchemar pour les habitants de la terre. Il y a longtemps déjà que les gouvernements du monde s'étaient mis d'accord pour créer un monde enfermé dans des blocs de béton, avec des néons remplaçant le soleil, de l'oxygène de synthèse. Seules deux portes existaient. Afficher les scénarios connectés |
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| A force de croître la population a des besoins en eau de plus en plus importants. Les pays se déclarent la guerre sur le compte d'une goutte d'eau qui manque. Ce sont les batailles de l'or bleu. Afficher les scénarios connectés |
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| Si l'ONU devenait ce qu'elle devrait vraiment être? C'est à dire une sorte d'autorité ultime de réglement de contencieux internationaux. Là où il y aurait des casques bleus, la paix s'installerait vraiment. Afficher les scénarios connectés |
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| L'Europe carbure à l'hydrogène, l'Afrique a réussi à rentabiliser le solaire, mais les states ont gardé le pétrole (lobby) et les centrales à neutrons, quand se produit une rupture totale: des tempêtes solaires qui noient la terre de rayons gamma pour "tuer" tous les appareils électriques, la queue d'une comète insémine la terre de bactéries nouvelles et dangereuses (ben voyons) tandis qu'on découvre que la croute terrestre est en train de se détacher comme une pelure de mandarine à cause de l'attraction solaire. Tremblements de terre et apocalypse au programme. Je ne sais pas si la race humaine y survivra. |
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| En effet, l'Europe est bien partie pour se rafraîchir, et ce à cause du réchauffement planétaire. Ce paradoxe, s'explique par la circulation marine. Afficher les scénarios connectés |
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| Bientôt!!! Le Québec n'est plus ce qu'il était. L'hiver n'est plus qu'une ébauche de ce qu'il était il y quelques décennies. Les climats changent et bientôt ce chambardement aura des conséquences extrêmement graves. Quand les glaciers commenceront à fondre et que le niveau de l'eau augmentera dans les océans, les villes et villages près des cours d'eau seront inondés, de nouveaux lacs se formeront dans les champs, des écosystèmes entiers seront détruits et l'équilibre naturel chambardé... Éloignez vous des rives, fuyez vers les plateaux! Bientot, un monde sans terre... Afficher les scénarios connectés |
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| Mars 2003 : Paris sans voiture, ça y est ! La prise d’otage de la capitale par ses « conducteurs – pollueurs » est terminée ! Voitures, bus, motos…ont totalement disparu de la circulation. A la place, barques et canots naviguent sur les artères de la plus belle ville du monde. Un étrange silence baigne dans la cité, c’est comme si le temps s’était arrêté. Les citadins stressés ont abandonné leur course effrénée pour aller travailler. Que s’est-il passé ? Qui a réussi ce Pari(s) insensé ??? Vous l’avez deviné : seule, Dame Nature pouvait faire plier la rigidité de nos mentalités: Paris est noyée ! La nappe phréatique ne peut plus absorber les pluies déversées par un Ciel en colère. Les caves sont inondées, les hommes des rez-de-chaussée doivent s’exiler et certains immeubles menacent de s’effondrer… Par bonheur, les œuvres des musées ont été préservées grâce à la prévention des autorités. Les gens bien pensant avaient anticipé, le patrimoine français sera sauvegardé. Par contre, aucune structure ne peut accueillir le peuple désorienté. Personne n’a jugé bon de nous affoler. Même si le scénario était prévisible, à quoi bon déclencher une panique inutile ? De leur volonté de nous protéger est né ce superbe chaos organisé ! Enfin, la « Venise française » ne sera plus polluée par ses preneurs d’otage : leur hôte s’est débarrassée des « Sans toit, sans emploi ». Qui l’eut cru : un Paris libéré par le nouveau Déluge… Et si Monsieur Dela-Noé avait fait de son rêve une réalité ? |
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| Après le Big Bang, qui a donné naissance à l'Univers, ce dernier s'est étiré dans des dimensions spatiotemporelles quasi infinies... Quasi !! Car après être arrivé au bout de cette expansion, il se rétracte, se comprime. C'est le Big Crunch. Comme un ballon qui se dégonfle. L'effet majeur : une rétroaction du temps et de l'espace. Le temps repart en arrière. La vie s'écoule dans l'autre sens, à savoir qu'elle commence par...la mort ! Puis les animaux et les végétaux rajeunissent de plus en plus jusqu'à finir à l'état d'embryon, de graine. Pour les animaux, la mémoire devient une sorte de vision du nouveau futur : je sais ce qui va m'arriver à chaque instant, mais mon nouveau passé s'éfface au fur et à mesure. Afficher les scénarios connectés |
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