Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 1361

Sur le réchauffement atmosphérique

L’effet de serre a, en fait, un aspect bénéfique car si les gaz qui le provoquent, principalement le CO2, la vapeur d’eau, le méthane n’agissaient pas comme des pièges pour les radiations infrarouges du soleil, la température ambiante s’abaisserait à –5°C et toute vie deviendrait impossible.
Après avoir craint, dans les années 70, un retour à une période glaciaire, certains observateurs, dix ans plus tard, on crut, au contraire, que la Terre allait se réchauffer et l’on a parlé alors d’une augmentation de température d’1/2°C sur cent ans.
Depuis lors, les satellites qui ont analysé l’atmosphère ces 21 dernières années sur tous les points du globe n’ont pu déceler aucun réchauffement sur cette période (cf. National Academy of Science).
Par ailleurs, il n’a pas pu être observé non plus de corrélation directe entre l’augmentation de température d’1/2°C évoquée plus haut et la teneur en CO2 de l’atmosphère.
Il faut remarquer aussi qu’outre le CO2, la vapeur d’eau et le méthane jouent un rôle important dans l’effet de serre.
Or, la production de méthane résulte de l’élevage du bétail et de la culture du riz et ne peut être réduite si l’on veut éviter d’affamer les populations de Chine, de l’Inde et du Sud Est asiatique.
Le protocole de Kyoto se fondant sur une menace non confirmée de changement climatique qu’il attribue à la seule émission de gaz carbonique par les nations industrielles constitue lui-même une menace pour les économies du monde libre.

Créé par yannick.borin1 le 11/03/2003 | Evaluer ce scenario
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Le fameux TROU dans la couche d'ozone

La terre est entourée d'une atmosphère contenant de l'oxygène et le soleil inonde de ses rayons cette atmosphère. Le rayonnement solaire transforme une partie de cet oxygène (O2) en ozone (O3). Ainsi se trouve constituée ce qu'on appelle la couche d'ozone, qui est en fait une couche d'oxygène contenant un mélange d'oxygène-ozone. Au niveau des pôles, le soleil ne brillant pas pendant six mois, il existe pendant six mois une absence de production d'ozone et la densité d'ozone diminue de 50 % environ en six mois. Le retour du soleil au printemps fera remonter la densité de l'ozone de 50 %. Or l'atmosphère des pôles, et surtout celle du pôle sud, est pratiquement totalement isolée de l'atmosphère terrestre. Il n'y a que très peu d'échanges atmosphériques. Cette moindre concentration en ozone aux pôles se trouve matérialisée sur des vues de la terre où la couleur de l'atmosphère moins riche en ozone se trouve différente de celle du reste de l'atmosphère. C'est devant de telles vues informatiques qu'on a commencé à parler du " trou d'ozone ". Or, quand l'engrais est moins abondant dans une partie d'un jardin, on n'observe aucun " trou " dans ce secteur. Mais un " trou " est bien plus utilisable médiatiquement ou politiquement qu'une "moindre concentration". Enfin, depuis qu'on mesure la concentration de l'ozone aux pôles, depuis quinze ans, une baisse de 0,4 % par an est observée. On ne sait si cette baisse correspond à un cycle naturel ou si elle est secondaire à la pollution engendrée par l'homme. Puis, on a accusé certains comportements humains d'être responsables du " trou d'ozone ", donc d'un excès d'ultraviolets. En 1970, le " Concorde ", en volant dans la couche d'ozone, aurait ralenti la production d'ozone et serait devenu responsable de l'augmentation des cancers cutanés. Augmentation bien réelle de 800 % en 40 ans, mais due à la mode du bronzage sur les plages, bien antérieure à l'arrivée du Concorde. On a ensuite accusé le trou d'ozone de rendre aveugles bergers et moutons en Patagonie, juste sous le " trou " antarctique. Après vérification, ce ne sont pas les UV qui sont en cause, mais un parasite banal et bien connu qui donne les " yeux roses ". Puis, est arrivée en 1973, l'histoire du gaz CFC (Chloro Fluoro Carbone), gaz contenant du chlore et utilisé dans les bombes à aérosols. Or, en laboratoire, le chlore détruit l'ozone. On a donc accusé, sans aucune preuve scientifique, le million de tonnes de chlore diffusé chaque année par les aérosols dans l'hémisphère nord de franchir la fantastique barrière climatique qu'est l'équateur et d'être responsable du trou au niveau du pôle sud. Il ne faut pas oublier par ailleurs qu'une seule éruption volcanique est capable d'envoyer dans l'atmosphère plus de 2 milliards de tonnes de chlore... Le CFC a cependant été interdit. Enfin, dans le " trou " se précipiteraient les ultraviolets qui se trouveraient ensuite coincés autour de la terre par l'effet de serre. Ainsi se trouve expliqué le réchauffement actuel de la terre, alors que depuis des millénaires les périodes glaciaires et interglaciaires se succèdent.
Alors, pourquoi cet énorme " trou d'ozone ", qui n'existe pas, se développe-t-il avec autant d'ardeur ? Au niveau économique, politique, médiatique ou scientifique, la présence du trou favorise d'immenses intérêts. Sur le plan économique, les concurrents du gaz CFC ont indiscutablement profité de son interdiction. Sur le plan politique, toute mesure spectaculaire contre le " trou " permet de récupérer aux prochaines élections les voix de ceux qui veulent un développement durable et non polluant. Sur le plan médiatique, le trou est merveilleux : l'angoisse s'y engouffre et enfle. Cette angoisse attire des millions d'auditeurs. Enfin, sur le plan scientifique, le trou est source de longues et coûteuses recherches qui assurent finances et notoriété aux laboratoires qui s'en occupent.
Plus le culte du trou d'ozone se développe, plus son fidèle clergé prospère.

Créé par yannick.borin1 le 24/03/2003 | Evaluer ce scenario
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