myriam_stdenis


	EXPLORATEUR DU FUTUR: *MYRIAM_STDENIS* Nombre de scénarios créés: 8

Scénarios 1 à 8 sur 8

5841

Et si on abolissait l'argent

Et si on abolissait l’argent? Plus de raisons d’ignorer son voisin, de se dire, ah bien il n’a qu’à travailler pour gagner son pain, plus d’argent = plus de classes sociales, plus de pouvoir économique, plus de problèmes, à long terme.

Pour sûr, il y aurait des abus au début, des ajustements, des conflits.

Mais à la longue, ça pourrait marcher.

Pas de système d’échange tout court.

Donner aux autres ce qu’ils ont besoin gratuitement, sans rien en retour, et vice-versa. Le tout est possible si bien sûr on vit en plus petites communautés, en harmonie, sans trop de lois et de règles qui justifient notre indifférence face à nos semblables.

Toutes les richesses de la Terre se donnent sans compter. Pourquoi est-ce qu’on devrait laisser mourir les gens de faim sous prétexte qu’ils n’ont pas assez de papier pour manger? Foutaises…

On ne peut arriver à se connaître et à se comprendre vraiment, en société, dans un monde économique. Tout ce que l’on fait, on ne devrait pas le faire pour l’argent.

Sans l’argent, on pourrait ne faire que l’essentiel et le plaisant dans la vie. Plus de création d’emplois à la con pour faire fonctionner un système hystérique. Chacun qui travaille sans compter à la bonne marche de la société.

On peut craindre ceux qui profiteront de ce système, mais à la longue, chacun comprend ce qui lui fait du bien dans la vie, et bien souvent, ce n’est pas de faire chier le monde qui est plaisant. Surtout si le monde s’en fout et continue à vivre paisiblement et en harmonie.

C’est mon idée comme ça du futur idéal.

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534

Publicités réalistes

Et si on cessait de se faire des à croire. Si les humains ne minimisaient plus ni n'exagéraient leurs idées, pensées, passé, etc. Et si la publicité, les médias devenaient réalistes et rationnels. Si, pour présenter un produit, nous le faisions miroiter de la façon la plus juste possible au lieu de le faire rayonner d'un aura irréaliste. Que d'illusions brisées épargnées. Que de simplification dans notre consommation. Moins de besoins créés pour des besoins économiques, moins de stress et d'envies déplacées. Le supporterions-nous malgré tout? Laisser notre monde de folie et de chimères à l'abandon, en serions-nous capables? Le voudrions-nous? À nous de choisir...

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477

Une nouvelle liberté

Je crois que si en effet les gens ne s'habillaient plus, ou ne le faisaient que pour le confort et l'hygiène, les rapports humains seraient plus francs et honnêtes. Plus de triturage de cervelle à imaginer ce qui est caché chez une personne (dans le sens propre et figuré), tout serait là dévoilé dans la réalité. Je crois qu'en dévoilant notre corps, nous serions plus aptes et portés à dévoiler notre âme et nos pensées. De plus, la pauvreté serait moins apparente et ça pourrait réduire les écarts de classes sociales entre les individus. Éventuellement, tous les individus se retrouveraient sur le même pied d'égalité et apprendraient à vivre plus simplement.

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806

Se respecter pas à pas

Ce qui pourrait être intéressant avec cette nouvelle génération d'enfants serait de les laisser faire leurs propres expériences de l'individualisme et de l'entraide, du respect et du mépris. Sans personne pour leur dire quoi faire, ils redécouvriraient les vrais avantages d'aider l'autre et de le respecter, pour se faire aider et respecter en retour. Sans qu'on ne leur impose rien, ils devraient trouver des façons d'être, d'agir et de vivre qui leur seraient propres. Le tout dépendrait de leur survie parce que nul ne viendrait intervenir dans leur développement. Peut-être deviendraient-ils des enfants-roi, mais je crois que cette façon d'être n'apparait que quand l'enfant se rend compte qu'il peut exploiter les autres sans rien donner en retour et qu'il se fait protéger en quelque sorte. Mais si on met tous ces enfants-rois ensemble, ils sont obligés de se remettre en question s'ils veulent obtenir ce qu'ils veulent, parce que s'ils continuent sur la même ligne de pensée, ils mourront tous d'avoir voulu avoir sans avoir su donner. L'expérience serait à tenter...dans une autre vie.

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810

Plus de reconnaissance...

Et si nous cessions de dire merci? D'utiliser des mots pour reconnaître que l'autre nous a rendu service? De donner l'impression à l'autre qu'il a été utile? Que se passerait-il si nous pouvions nous passer de la reconnaissance des autres, du regard des autres, de l'approbation (ou de la réprobation pour certains) des autres. Pensez-y deux secondes...est-ce si important d'exister aux yeux des autres si nous arrivons à nous dire que seule notre perception personnelle de notre propre existence compte. Un peu individualiste come pensée...mais...combien de frustrations épargnées! Dire ce que l'on pense seulement et laisser faire le reste, faire ce qu'on pense juste seulement sans se préoccuper du reste... ce ne serait pas trop mal non? Plus de semblant de reconnaissance alors qu'on bouille de mépris...plus d'attente de mots gentils de la part de nos pairs... la réalité à l'état brut ...ne saurait-elle pas être belle aussi?

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433

L'amour sans mots, sans baragouinage, sans artifices... Que des émotions à l'état pur

Et si, avec le développement des relations amoureuses virtuelles, on en finissait par abolir le langage, en n'utilisant que des phrases écrites sur des logiciels de chat et des émoticons, le tout tapé en silence? Combien la pollution auditive en serait réduite!

Lorsque les cyber partenaires du cyber couple auraient envie de se rencontrer, nulle phrase ne serait prononcée par pure politesse, par peur du silence et pour combler la gêne de la maladresse. Le silence serait devenu le troisième partenaire du couple et ne serait plus considéré comme un envahisseur. Les hommes et les femmes en couple seraient plus à l'écoute de leurs émotions et des émotions de l'autre. À l'occasion, rien ne les empêcherait non plus de laisser sortir quelques sons de leur bouche, mais ils ne seraient pas conditionnés par le besoin absolu de parler pour mieux se connaître. Si on pouvait en plus améliorer la résolution d'image des "émoticons" (en les remplaçant par exemple par des photos réelles de gens en proie à des émotions), les gens apprendraient à mieux décoder les émotions des autres et donc à mieux communiquer avec l'être profond de chaque personne.

D'un autre côté, la parole peut être une agréable façon de communiquer. Rire, plaisanter, jouer avec les mots, crier, tant de plaisirs qui ne devraient pas être à jamais bannis.

Nous voici à l'aube d'un nouveau monde. Vive la parole libre et à bas la politesse exagérée qui masque les véritables sentiments et émotions!

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434

Plus de contraintes ni d'éducation

Imaginons un instant que les êtres humains ne soient pas, à leur naissance, placés dans un moule, appelé éducation, contraignant les nouveaux esprits tout juste arrivés sur terre à se départir d'un peu de leur imagination et de leur liberté innée. Si les parents, au lieu d'élever leurs enfants de la meilleure façon possible, selon leur vision, les laissaient libres de choisir ce qui leur semble le meilleur. Si l'enfant avait le choix de parler, d'apprendre à être propre, d'aller à l'école, d'être affectueux, d'apprendre à marcher, de manger, de boire à son propre rythme, ou même jamais. L'humain se développerait-il de la même façon? Que pourrions-nous observer de la part de la plupart de ces bébés possédant un libre-arbitre total? Quelles seraient les difficultés des parents de ne pas influencer en quoi que ce soit l'évolution de leur enfant? À quel point arriverions-nous à laisser aux petits êtres que nous aimons le choix de nous considérer ou non comme des personnes importantes à leurs yeux? Est-ce que nos bambins choisiraient dès l'âge de cinq ans d'habiter ailleurs? Mourraient-ils au bout de quelques semaines parce que nous les avons laissés expérimenter trop de dangers ou mourir de faim? L'homme serait-il capable de redevenir un animal, et d'user de son intelligence humaine pour se réadapter à son environnement?

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443

Une abolition du temps structuré

J'ai déjà lu une phrase qui m'avait particulièrement marqué : "Quel âge auriez-vous si vous ne saviez pas quel âge vous avez?" Cette phrase m'avait fait réfléchir à ce que l'humanité deviendrait si nous abolissions les calendrier et les moyens de se structurer dans le temps. La vieillesse nous ferait d'autant moins peur et nous pourrions nous sentir jeune beaucoup plus longtemps. De plus, plus de façon de se sentir délaissé si on oublie notre anniversaire ou les fêtes pour lesquelles on invente une importance quelconque. Toutes les journées peuvent avoir l'importance qu'on veut bien leur accorder. Plus de supertition sur les vendredi 13, plus d'obligation de manger à des heures où l'on n'a pas faim ni de se coucher lorsqu'on n'est pas fatigué. Plus de routine pré-établie par d'autres. Être vraiment à l'écoute de nos besoins et laisser nos visions personnelles aménager notre propre temps (puisqu'il est ridicule de penser que tous les humains vivent, fonctionnent et vieillissent au même rythme. Le temps est subjectif pour chacun et non objectif...)...quelle belle utopie!

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	5841	Et si on abolissait l'argent

		Et si on abolissait l’argent? Plus de raisons d’ignorer son voisin, de se dire, ah bien il n’a qu’à travailler pour gagner son pain, plus d’argent = plus de classes sociales, plus de pouvoir économique, plus de problèmes, à long terme. Pour sûr, il y aurait des abus au début, des ajustements, des conflits. Mais à la longue, ça pourrait marcher. Pas de système d’échange tout court. Donner aux autres ce qu’ils ont besoin gratuitement, sans rien en retour, et vice-versa. Le tout est possible si bien sûr on vit en plus petites communautés, en harmonie, sans trop de lois et de règles qui justifient notre indifférence face à nos semblables. Toutes les richesses de la Terre se donnent sans compter. Pourquoi est-ce qu’on devrait laisser mourir les gens de faim sous prétexte qu’ils n’ont pas assez de papier pour manger? Foutaises… On ne peut arriver à se connaître et à se comprendre vraiment, en société, dans un monde économique. Tout ce que l’on fait, on ne devrait pas le faire pour l’argent. Sans l’argent, on pourrait ne faire que l’essentiel et le plaisant dans la vie. Plus de création d’emplois à la con pour faire fonctionner un système hystérique. Chacun qui travaille sans compter à la bonne marche de la société. On peut craindre ceux qui profiteront de ce système, mais à la longue, chacun comprend ce qui lui fait du bien dans la vie, et bien souvent, ce n’est pas de faire chier le monde qui est plaisant. Surtout si le monde s’en fout et continue à vivre paisiblement et en harmonie. C’est mon idée comme ça du futur idéal.
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	534	Publicités réalistes

		Et si on cessait de se faire des à croire. Si les humains ne minimisaient plus ni n'exagéraient leurs idées, pensées, passé, etc. Et si la publicité, les médias devenaient réalistes et rationnels. Si, pour présenter un produit, nous le faisions miroiter de la façon la plus juste possible au lieu de le faire rayonner d'un aura irréaliste. Que d'illusions brisées épargnées. Que de simplification dans notre consommation. Moins de besoins créés pour des besoins économiques, moins de stress et d'envies déplacées. Le supporterions-nous malgré tout? Laisser notre monde de folie et de chimères à l'abandon, en serions-nous capables? Le voudrions-nous? À nous de choisir...
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	477	Une nouvelle liberté

		Je crois que si en effet les gens ne s'habillaient plus, ou ne le faisaient que pour le confort et l'hygiène, les rapports humains seraient plus francs et honnêtes. Plus de triturage de cervelle à imaginer ce qui est caché chez une personne (dans le sens propre et figuré), tout serait là dévoilé dans la réalité. Je crois qu'en dévoilant notre corps, nous serions plus aptes et portés à dévoiler notre âme et nos pensées. De plus, la pauvreté serait moins apparente et ça pourrait réduire les écarts de classes sociales entre les individus. Éventuellement, tous les individus se retrouveraient sur le même pied d'égalité et apprendraient à vivre plus simplement.
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	806	Se respecter pas à pas

		Ce qui pourrait être intéressant avec cette nouvelle génération d'enfants serait de les laisser faire leurs propres expériences de l'individualisme et de l'entraide, du respect et du mépris. Sans personne pour leur dire quoi faire, ils redécouvriraient les vrais avantages d'aider l'autre et de le respecter, pour se faire aider et respecter en retour. Sans qu'on ne leur impose rien, ils devraient trouver des façons d'être, d'agir et de vivre qui leur seraient propres. Le tout dépendrait de leur survie parce que nul ne viendrait intervenir dans leur développement. Peut-être deviendraient-ils des enfants-roi, mais je crois que cette façon d'être n'apparait que quand l'enfant se rend compte qu'il peut exploiter les autres sans rien donner en retour et qu'il se fait protéger en quelque sorte. Mais si on met tous ces enfants-rois ensemble, ils sont obligés de se remettre en question s'ils veulent obtenir ce qu'ils veulent, parce que s'ils continuent sur la même ligne de pensée, ils mourront tous d'avoir voulu avoir sans avoir su donner. L'expérience serait à tenter...dans une autre vie.
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	810	Plus de reconnaissance...

		Et si nous cessions de dire merci? D'utiliser des mots pour reconnaître que l'autre nous a rendu service? De donner l'impression à l'autre qu'il a été utile? Que se passerait-il si nous pouvions nous passer de la reconnaissance des autres, du regard des autres, de l'approbation (ou de la réprobation pour certains) des autres. Pensez-y deux secondes...est-ce si important d'exister aux yeux des autres si nous arrivons à nous dire que seule notre perception personnelle de notre propre existence compte. Un peu individualiste come pensée...mais...combien de frustrations épargnées! Dire ce que l'on pense seulement et laisser faire le reste, faire ce qu'on pense juste seulement sans se préoccuper du reste... ce ne serait pas trop mal non? Plus de semblant de reconnaissance alors qu'on bouille de mépris...plus d'attente de mots gentils de la part de nos pairs... la réalité à l'état brut ...ne saurait-elle pas être belle aussi?
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	433	L'amour sans mots, sans baragouinage, sans artifices... Que des émotions à l'état pur

		Et si, avec le développement des relations amoureuses virtuelles, on en finissait par abolir le langage, en n'utilisant que des phrases écrites sur des logiciels de chat et des émoticons, le tout tapé en silence? Combien la pollution auditive en serait réduite! Lorsque les cyber partenaires du cyber couple auraient envie de se rencontrer, nulle phrase ne serait prononcée par pure politesse, par peur du silence et pour combler la gêne de la maladresse. Le silence serait devenu le troisième partenaire du couple et ne serait plus considéré comme un envahisseur. Les hommes et les femmes en couple seraient plus à l'écoute de leurs émotions et des émotions de l'autre. À l'occasion, rien ne les empêcherait non plus de laisser sortir quelques sons de leur bouche, mais ils ne seraient pas conditionnés par le besoin absolu de parler pour mieux se connaître. Si on pouvait en plus améliorer la résolution d'image des "émoticons" (en les remplaçant par exemple par des photos réelles de gens en proie à des émotions), les gens apprendraient à mieux décoder les émotions des autres et donc à mieux communiquer avec l'être profond de chaque personne. D'un autre côté, la parole peut être une agréable façon de communiquer. Rire, plaisanter, jouer avec les mots, crier, tant de plaisirs qui ne devraient pas être à jamais bannis. Nous voici à l'aube d'un nouveau monde. Vive la parole libre et à bas la politesse exagérée qui masque les véritables sentiments et émotions! Afficher les scénarios connectés
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		Imaginons un instant que les êtres humains ne soient pas, à leur naissance, placés dans un moule, appelé éducation, contraignant les nouveaux esprits tout juste arrivés sur terre à se départir d'un peu de leur imagination et de leur liberté innée. Si les parents, au lieu d'élever leurs enfants de la meilleure façon possible, selon leur vision, les laissaient libres de choisir ce qui leur semble le meilleur. Si l'enfant avait le choix de parler, d'apprendre à être propre, d'aller à l'école, d'être affectueux, d'apprendre à marcher, de manger, de boire à son propre rythme, ou même jamais. L'humain se développerait-il de la même façon? Que pourrions-nous observer de la part de la plupart de ces bébés possédant un libre-arbitre total? Quelles seraient les difficultés des parents de ne pas influencer en quoi que ce soit l'évolution de leur enfant? À quel point arriverions-nous à laisser aux petits êtres que nous aimons le choix de nous considérer ou non comme des personnes importantes à leurs yeux? Est-ce que nos bambins choisiraient dès l'âge de cinq ans d'habiter ailleurs? Mourraient-ils au bout de quelques semaines parce que nous les avons laissés expérimenter trop de dangers ou mourir de faim? L'homme serait-il capable de redevenir un animal, et d'user de son intelligence humaine pour se réadapter à son environnement? Afficher les scénarios connectés
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		J'ai déjà lu une phrase qui m'avait particulièrement marqué : "Quel âge auriez-vous si vous ne saviez pas quel âge vous avez?" Cette phrase m'avait fait réfléchir à ce que l'humanité deviendrait si nous abolissions les calendrier et les moyens de se structurer dans le temps. La vieillesse nous ferait d'autant moins peur et nous pourrions nous sentir jeune beaucoup plus longtemps. De plus, plus de façon de se sentir délaissé si on oublie notre anniversaire ou les fêtes pour lesquelles on invente une importance quelconque. Toutes les journées peuvent avoir l'importance qu'on veut bien leur accorder. Plus de supertition sur les vendredi 13, plus d'obligation de manger à des heures où l'on n'a pas faim ni de se coucher lorsqu'on n'est pas fatigué. Plus de routine pré-établie par d'autres. Être vraiment à l'écoute de nos besoins et laisser nos visions personnelles aménager notre propre temps (puisqu'il est ridicule de penser que tous les humains vivent, fonctionnent et vieillissent au même rythme. Le temps est subjectif pour chacun et non objectif...)...quelle belle utopie!
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