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| Tout était flou, vague. au milieu de la bataille qui faisait rage, je le vis se relever.
il tremblait, mais la peur était absente de son visage. autour de lui les *bêtes* tuer leur victimes a coup de dents et de griffes.
comment décrire les *bêtes*? c’était des dinosaures miniature, de la taille d'un humain.
tout avait commencer par des cris.
nous étions au lycée, pendant la pause de midi quand une femme apeurée crier a en percer les tympans
derrière elle courait d'autres personnes, couvertes de sang et tous étaient poursuivie par les *bêtes*.
la panique avait gagné toutes les personnes présentes et déjà tout le monde se bousculer pour échapper a la mort.
les premiers morts furent ceux qui étaient tombés en premier.
les *bêtes* se jetées sur elle et les tuer sans pitié, mais ne les manger pas.
c’était le chaos, et je sentais ma faim proche, le sol trembler sous moi et déjà je prier quelqu'un de me sauver.
c'est alors qu'un bras apparu dans mon champ de vision.
sans hésiter je prenais appui sur lui et je le regardé.
ce n’était pas de la peur qui assombrissait son visage pourtant si doux et calme d'habitude.
c’était de la joie, de la jubilation même. et cela me fit peur
il me montrait du doigt le haut de l'immeuble a moitie détruit.
juché sur une pierre branlante, un homme? regardait vers le bas le carnage qui se poursuivait. d'un geste, il ordonna a ses troupes d'attaquer.
des personnes en armes du moyen age se rués sur les *bêtes* dans une confrontation sanglante.
et c'est la que nous avons été séparés.
a cote de lui un cadavre armés semblait l'attirer comme un aimant.
une arme, une seule. c'est a ce moment que je compris que cet homme n’était pas celui que j'avais crue connaitre.
je le voyais encore me regarder et prendre l'arme, la retournant contre les *bêtes*. dans le tumulte, j'entendis un vague "fuis! ! ! "
15 ans ont passés depuis ce jour triste et graver dans les mémoires. 15 ans sans nouvelle de lui, ni des hommes en armes. ils étaient repartis d’où il venait, et lui était le seul a les avoir suivis.
la vie a repris son cours normal et fade, jusqu'au début de la semaine.
les hommes en arme étaient revenus, et ils avaient passés un message au dirigeant de la planète.
"nous vous avons laissés le choix, vous n'en avez pas tenu compte, maintenant il est temps que l'être humain paye"
en quelque jours les hommes en armes avaient tués 90% de la population mondiale, et les rares survivant étaient rassemblés sur les plaines de Mongolie, prêt a faire face a une armée supérieur en nombre et en force.
j’étais l'une des dernières survivantes françaises, et j’étais aux premières ligne.
devant nous se dresser l’ennemi, menaçant. leur général s’avança. lorsqu'il n’était plus qu'a 20 mètres de nous, il nous regarda tour a tour.
quand nos regards se croisèrent, je défaillis.
15 ans, 15 ans sans nouvelle, et le revoilà, devant moi, le même regard joyeux brillait dans ses yeux.
il était partit, et il est revenu, non pas pour moi, mais pour cette terre si bonne.
d'un geste, un seul, il annonça la fin du règne humain, et le commencement de la résurrection de la Terre... |
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