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| Tiens, voila que nos ancêtres n'étaient finalement pas si différents de nous, car n'est-ce pas les vainqueurs (les survivants) qui écrivent l'histoire...?
Aujourd'hui, ça n'est pas moins faux, si ce n'est aussi vrai!
Demain...
L'Homme n'a qu'une idée en tête: être heureux. Et tout ce qu'il fait, consciemment ou pas va en ce sens. Le Tyran chercheras son bonheur à travers son pouvoir, le moine en aidant son prochain, le scientifique jubilera de ses sommes de connaissances acquises et le musicien de la suites de toutes ces notes qui le transcende, mais aucun ne recherche autre chose que son bonheur.
Paradoxalement, ou peut être logiquement, c'est ce que l'on recherche que l'on connait le moins.
L'Homme d'hier, sans technologie pour l'aider ou le divertir à chercher à comprendre son "Moi", et, si il y a une différence, les autres, la Terre, le soleil, l'univers...
Cet homme, tuer par un autre qui ne trouvait son bonheur qu'en écrasant les autres, n'a laissez aucune trace de ses idées et concepts.
L'homme d'aujourd'hui, ayant lui un degré de technologie avancé, ne se préoccupe pas tant de son "Moi", ou du moins, d'essayer de le comprendre. Et si un autre voudrait lui faire entendre l'importance de cet prise de conscience, il n'en aurait cure.
L'homme de demain, relisant son histoire (écrite par les vainqueurs) ne serait pas plus "aboutit",en ce sens, que ces prédécesseurs. Mais ce qui sera écrit dans ces gènes, dans les moindre recoins de ses fibres, enrichi par les milliards de milliards d'expériences de vie de ces ancêtres l'élèverons à un degré de conscience élargie et il commenceras à entrevoir ce que peut être le bonheur.
Alors, l'Homme du surlendemain aura compris son rôle en vibrant au rythme de l'univers car il sera que son bonheur n'est que ce qui l'entourE.
L'Homme aura atteint un autre degré de conscience et sera ce que nous appelons hasard, science ou univers, en un mots: il est.
(au début, je voulais mettre: "en un mot: il sera", mais ça faisait pas top...)
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POPATOM 
