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	EXPLORATEUR DU FUTUR: *DAVID_852* Nombre de scénarios créés: 1

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Quelle ville demain ?

Déjà, vu la mer, qui montera entre 15 et 75 mètres d'ici à 2400, on peut dire adieu aux villes côtières, à moins de les transformer en villes flottantes, ce qui serait excessivement onéreux et peu de gouvernements pourront s'offrir ce luxe. Ils préféreront emballer les monuments et les reconstruire à l'abri. Exit Londres, New York, Shanghai et bien d'autres.

Quant aux villes restantes, elles joueront les opportunistes en accueillant ports, gouvernements et populations côtières. Les villes des pays riches, qui se seront sans doute quelque peu paupérisés et leur démocratie entamée par des mesures antidémocratiques (je parle d'une réalité: des pays occidentaux deviennent autoritaires voire fascisants), créeront des villes riches très chères, voire des villes flottantes, mais la grande majorité des populations appauvries par la montée des eaux et la fin de la société de consommation vivront dans des villes montagneuses, des plateaux et des plaines continentales épargnées par les flots.

Pour la ville "normale" des pays riches pendant les années 2100, elle aura des caractéristiques récurrentes:
- Fin des banlieues, regroupement de l'habitat du à la crise des transports.
- Généralisation des transports en commun, des deux roues.
- Disparition des maisons peu isolées de nos temps (au début les plus pauvres habiteront dans les maisons contemporaines, mais avec le temps elles seront détruites)
- Protection générale contre les typhons et les tornades dans les plaines.
- Utilisation générale des industries renouvelables à bas coût (éoliennes, panneaux solaires si on trouve un matériau à bas prix pour les construire, géothermie dans les montagnes, hydrogène...)
- Industries tournées vers la production d'énergie, la création de polders, l'informatique, la production navale et aérospatiale.

Pour les villes pauvres, quatre caractéristiques ressortiront principalement:
- Elles deviendront titanesques, couvrant des centaines de kilomètres parfois.
- Les riches ne pourront plus se contenter d'avoir des quartiers haute sécurité, ils devront choisir entre édifier de véritables forteresses inexpugnables, habiter des villes pour eux "offshore" ou dans la savane, ou bien s'exiler.
- Celles possédant encore des matières premières auront non plus juste des usines, mais aussi des mines en leur sein.
- Les habitants des bidonvilles devront lutter, voire se cannibaliser entre eux pour survivre dans la jungle urbaine, sans que les gouvernements et les médias ne s'occupent d'eux.

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	11237	Quelle ville demain ?

		Déjà, vu la mer, qui montera entre 15 et 75 mètres d'ici à 2400, on peut dire adieu aux villes côtières, à moins de les transformer en villes flottantes, ce qui serait excessivement onéreux et peu de gouvernements pourront s'offrir ce luxe. Ils préféreront emballer les monuments et les reconstruire à l'abri. Exit Londres, New York, Shanghai et bien d'autres. Quant aux villes restantes, elles joueront les opportunistes en accueillant ports, gouvernements et populations côtières. Les villes des pays riches, qui se seront sans doute quelque peu paupérisés et leur démocratie entamée par des mesures antidémocratiques (je parle d'une réalité: des pays occidentaux deviennent autoritaires voire fascisants), créeront des villes riches très chères, voire des villes flottantes, mais la grande majorité des populations appauvries par la montée des eaux et la fin de la société de consommation vivront dans des villes montagneuses, des plateaux et des plaines continentales épargnées par les flots. Pour la ville "normale" des pays riches pendant les années 2100, elle aura des caractéristiques récurrentes: - Fin des banlieues, regroupement de l'habitat du à la crise des transports. - Généralisation des transports en commun, des deux roues. - Disparition des maisons peu isolées de nos temps (au début les plus pauvres habiteront dans les maisons contemporaines, mais avec le temps elles seront détruites) - Protection générale contre les typhons et les tornades dans les plaines. - Utilisation générale des industries renouvelables à bas coût (éoliennes, panneaux solaires si on trouve un matériau à bas prix pour les construire, géothermie dans les montagnes, hydrogène...) - Industries tournées vers la production d'énergie, la création de polders, l'informatique, la production navale et aérospatiale. Pour les villes pauvres, quatre caractéristiques ressortiront principalement: - Elles deviendront titanesques, couvrant des centaines de kilomètres parfois. - Les riches ne pourront plus se contenter d'avoir des quartiers haute sécurité, ils devront choisir entre édifier de véritables forteresses inexpugnables, habiter des villes pour eux "offshore" ou dans la savane, ou bien s'exiler. - Celles possédant encore des matières premières auront non plus juste des usines, mais aussi des mines en leur sein. - Les habitants des bidonvilles devront lutter, voire se cannibaliser entre eux pour survivre dans la jungle urbaine, sans que les gouvernements et les médias ne s'occupent d'eux.
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