EXPLORATEUR DU FUTUR: ETHYL Nombre de scénarios créés:  3

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	11274	Pétrolier écolo
		Mariage de raison Quand on pense aux bateaux, on pense voiliers, trois mâts, caravelles légendaires, découvertes, conquêtes, commerce, voyages, courses, dépassement de soi, infini, solitude, exploration… On a le vent en poupe, on largue les amarres ! On pense à l’Odyssée d’Ulysse. On pense au commandant Cousteau et à la Calypso, à l’Alcyone… Mais bateaux c’est aussi tankers, pollution, dégazage, surpêche et vieilles carcasses rouillées. Le côté obscur, noir et opaque comme le pétrole, mortel comme ces marées lourdes et gluantes. Belles poubelles ! Alors de là à vouloir marier les deux de force pour sauver la planète ! Et pourtant… Quand on pense aux bateaux, on pense aussi aux îles, enchanteresses, lointaines, dont certaines disparaissent plus ou moins lentement car la mer monte et monte encore. Et si de l’union d’une voile mythique et d’un pétrolier naissait une île florissante ? Une île d’un nouveau genre, une île recyclée qui perpétuerait l’humanité en manque de place ? Soyons fous, lançons-nous, tout amateurs que nous sommes ! Et imaginons… Imaginons une île constituée de trois vieux pétroliers (pas difficile à trouver !), regroupés, fusionnés par leurs flancs, bien alignés. Une île flottante, car derrière la coque, on aurait rembourré le fond avec des matériaux légers, liège ou pierre ponce, suffisamment pour que le bateau reste à flots, mais pas trop pour que la place subsiste. Entre le matériau destiné à la flottaison et le pont, d’abord les réserves d’eau douce, sans lesquelles l’humanité ne peut poursuivre sa route. Sur le pont, suffisamment de terre pour que naisse une végétation luxuriante et nourrissante. Entre la terre et l’eau douce, sous la terre, au-dessus des containers d’eau potable et de la ligne de flottaison, les quartiers d’habitation, avec vue sur l’espace maritime infini. Et les machines ? Et le carburant ? Plus rien de tout cela ! Les Turbovoiles de l’Alcyone, la « fille du vent » pour bouger au moment opportun, parce que finalement, une île, ça reste ancré. Voici une belle recette d’île flottante, garnie d’arbres et de verdure, mouvante et stable à la fois, fruit du mariage improbable de bateaux que tout opposait. Une utopie ? Embarquons pour cette croisière imaginaire, un tel voyage ne peut être stérile, sans un brin de folie créative, les belles réalisations ne peuvent voir le jour !
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	10392	L'agriculture intérieure
		Et si... L'homme décidait de devenir pranique : Mieux que le végétarien, le pranique ou le respirien, ne se nourrit plus que d'air. Son alimentation lui évite d'être le super prédateur qu’il est actuellement. D'autre part, la conservation et la distribution de la nourriture, servent, depuis la nuit des temps, à nos gouvernements, à nous maîtriser, à orienter nos choix, à nous manipuler (exemple du sucre). Enfin, en luttant contre la première pulsion, et en prouvant au cerveau qu'il se trompe, on lui ouvre le champ des possibles: toutes les certitudes inculquées, par la société, par la famille,... peuvent être remises en question (les respiriens observés ont un état de santé plus qu'excellent, ils dorment peu, et débordent d'énergie,...)
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	10391	Les Lilliputiens
		Et si... L’homme décidait de prendre la même voie, qu'ont prise les végétaux, pour une société comptant de nombreux individus: la diminution de la taille. Après tout, la plupart des espèces ayant connu le gigantisme, ne se sont-elles pas éteintes ? Quand les premières fleurs sont apparues, elles sont d'abord devenues gigantesques, pour attirer par la couleur. Mais pour augmenter le nombre possible d'échanges, elles ont commencé à diminuer de taille et à se regrouper ensuite en micro colonies. Comme l'impact visuel était moins fort, elles se sont alors regroupées en macro colonies, où chaque fleur s'est spécialisée (Marguerites). De la même manière, grâce à l'utilisation des sélections génétiques, on pourrait amener la taille de l'homme, progressivement et en quelques centaines de générations, à celle de nos petites statuettes de plomb. En effet, même si la Marabounta, est capable de dévorer un bœuf, elle doit pour cela compter des millions d'individus.
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