|
| Et si la nature s'était développé de manière nuisible à la survie de l'homme, et non pas le contraire comme c'est déjà le cas. Si la flore planétaire avait emmagasiné tout le potentiel de destruction que l'on prête aux humains pour réguler la population voire même forcer les humains à lutter contre elle pour se développer.
Comme une façon un peu légitime de nous rendre la monnaie de la pièce.
On pourrait imaginer comme réponse des plantes à nos agressions, au lieu d'un trou dans la couche d'ozone créée par nos émanations toxiques, une toxicité de l'air générée par l'ensemble des poumons de la planète obligeant l'espèce humaine à s'adapter.
Un monde ou au fil des naissances, cette nouvelle toxicité de l'atmosphère, après avoir décimer les populations inaptes aux changements, engendrerait une espèce consciente et peu à peu résistante, de l'environnement qui l'entoure et donc l'importance de respecter (par la force...) cette biosphère nouvelle.
Une vie ou les légendes selon lesquelles on pouvait piétiner, polluer, et exploiter la terre à outrance ne serait que des mythes que les jeunes choisiraient de croire ou pas, comme on croit ou pas aux fantômes quand on est gamins. |
|
|