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| Depuis de nombreuses années l’être humain s’interroge sur son passé, son présent, son futur. De part ses questions sur la naissance de l’univers jusqu’à sa destruction, il se pose sans cesse et sans cesse la même question : pourquoi serions-nous tout seul dans l’univers ? Nous des êtres humains si intelligent, si constructif, si prévoyant et si inquiet, qu’attendons-nous de savoir si nous sommes vraiment seuls, peut être attendons-nous des réponses afin de pallier à notre autodestruction ? Et si oui nous n’étions pas seuls, progresserait-on dans notre avenir de manière à développer un monde meilleur ? Cette réponse positive serait-elle un bien fait pour l’humanité ou serait-elle le messager d’un avenir destructeur !
Voilà aujourd’hui 30 ans que les sondes voyager 1 et voyageur 2 de la NASA ont été envoyées aux confins de notre système solaire afin d’étudier les 9 planètes de notre système et d’analyser les composants chimiques et organiques des ces différentes planètes.
A leur bord un disque en or, gravé des informations sur la terre, des sons, des images, des messages de paix des anciens président des états unis Jimmy CARTER et de l’ancien secrétaire général des nations unis Kurt Waldheim, traduits en une centaine de langue différente. La sonde est symboliquement représentée sur la plaque aux cotés d’un homme et une femme afin de représenter une échelle sur la taille des êtres vivants de notre planète. Notre planète est représentée au milieu de son système solaire. Aussi complet que parfaitement construit ce disque avait pour objectif de servir de message pour d’éventuelle civilisation venant d’un autre système solaire ; en bref pour être capté par ce que l’on nomme des extra-terrestres.
Voilà 30 ans déjà et c’est depuis le début de cette année, en 2007 que ces 2 sondes ont quitté l’heliopause, qu’elles ne sont plus en contact avec la moindre particule de gaz des effets de notre soleil, leur route allait prendre une allure inattendue et c’est aujourd’hui que notre monde va connaître la plus incroyable et la plus fascinante de toutes les découvertes de l’humanité.
Voilà maintenant 7 ans que le professeur John Stark a intégré le groupe de recherche appelé E.S.S (écoute surveillance spatiale), l’enfant prodige, le digne fils de son père, qui fut le financier de ce groupe secret de recherche crée dans les années 70, ce fils qui sorti 1er de tous les concours les plus prisés de tous les jeune loup de son âge... bref, une réussite qu’il ne doit qu’a lui seul mais un poste de responsable du groupe E.S.S qu’il doit à la mise en retraite de son riche et savant père Robert Stark, qui le promus à son poste. Un moyen comme un autre de garder un œil sur le travail qui lui permit durant ses 30 années passé d’entretenir l’espoir qu’un jour tous ces messages envoyés à l’autre bout de notre galaxie seraient interceptés et pourquoi pas retourné avec une réponse d’une nouvelle civilisation.
Robert Stark avait fait fortune dans l’exploitation des puits de pétrole au Texas et avait investit la quasi-totalité de sa fortune personnelle dans ce projet, qui a l’époque était décrit par les détracteurs comme stupide, de la part le montant total du projet qui s’élevai à plus de 950 M de dollars qui aurait pu être reparti à différentes œuvres et différents projets auxquels Robert Stark était sans arrêt sollicité comme les rénovations d’infrastructures d’établissement scolaire de la ville de Louisville ou bien la caisse des orphelins mutualistes des pompiers ou bien celle de la police, tant bien même que Stark père était sollicité pour les hautes sphères du gouvernement des états unis. Et bien non, Robert Stark niait ces sollicitations et n’avait qu’une seule chose en tète. Une obsession. Une vision. En engouement passionné de la quête d’une autre vie, ailleurs, un autre monde. Où : Au-dessus de notre tête. Bien au-dessus.
23 Février 2007 : 4h36
Centre opérationnel E.S.S (quelque part dans le sud Texas)
Le préposé à la surveillance et à l’écoute du ciel cette nuit, jusqu’à la prochaine relève effectuée par le professeur John Stark n’était autre que le compagnon de chambré à l’université des sciences de Washington et ami de toujours le professeur Mac Kingsley, son vrai prénom n’est autre que celui de Macintosh, mais ce dernier ne le supportant plus, se fit appeler Mac, il trouve que ça lui fait un Nom de la Haute ; bref moins celui d’un ordinateur...
Mac était toujours sublimé par les travaux que John dirigeait à l’époque de leurs dernières années universitaire, il le pensait pour son Mentor et c’est avec une extraordinaire joie qu’il apprit qu’il etait convoqué, il y a maintenant de ça 4 ans, à un entretien pour un emploi de chercheur au sein de l’ E.S.S, et qu’il fut embauché avec ferveur par l’approbation de son ami de toujours John Stark.
En attendant 5h du matin pour aller se reposer à son tour, il était là, comme toujours, son casque sur ses oreilles, un stylo dans la main droite qu’il maniait avec une certaine dextérité acquise sur les bancs de la fac à réviser ou a attendre de le prochain cour, une tasse à café dans la gauche, légèrement incliné sur le coté dans un fauteuil en cuir à 5000 dollars, ses lunettes à demi posées sur son long nez qui lui a valu bien des insinuations douteuses durant son adolescence, les jambes croisées, l’une sur l’autre, une cafetière était posée sur le coins droit de la table et de l’autre un cendrier dans lequel avait consumé une vingtaine de cigarettes qui en disaient long sur le déroulement de la nuit passée, café-cigarette-café-cigarette...le tout en se décontractant dans son fauteuil, faisant tourner dans tous les sens son stylo, fumant de temps en temps une ou deux staffs, mais sans jamais oublié ce pourquoi il était passionné depuis son plus jeune âge, l’astronomie au sens large du terme puisque aujourd’hui il écoute au-delà de ce que l’on peut voir au plus loin dans le ciel, de ce que l’on peut imaginer, de ce que l’on pourrait rêver. Il écoute le ciel ou plutôt l’univers et son immensité grâce à la Méga-Parabole d’Ecoute prénommé Ulysse 31 par le fils john, en raison de sa passion pour ce héros de mangas franco-nippon dont les principaux créateurs furent Bernard Deyries et Jean Chalopin, ce nom que tout le monde avait adopté, Ulysse 31, était celui de la machine d’écoute spatiale la plus importante du monde, conçu et réalisé par des savants et scientifiques du mondes entier, « les meilleurs des meilleurs » disait sans arrêt Robert Stark, durant sa période de recrutement pour élaborer le plus fabuleux projet jamais réalisé depuis le début du siècle ; construire une Parabole capable de capter des sons provenant du plus loin possible dans l’univers...et qui c’est, peut-être un jour, rentrer en contact avec une intelligence supérieure…
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