Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 7639

Et si

Et si le gouvernement du Canada décidait que pour se faire de l'argent il ferait payer les gens pour l'air qu'ils respirent ? Que feraient les gens pauvres sans oxygène ?

Créé par supersoso le 14/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Et...

Les gens pauvres pourraient-ils montés une révolte contre le gouvernement pour ça ? Ou encore pourraient-is commencer à faire de la contrebande d'oxygène ou un truc du genre ?

Créé par supersoso le 16/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Peut on vivre sans oxygène...?

Aucune contrebande d'oxygène est possible; le gouvernement canadien s'en assure.
Mais un grand chimiste immigré au Canada s'émeut du sort des plus pauvres qui ne peuvent pas se payer d'oxygène... il réussit à synthétiser une substance qui peut remplacer l'02 dans le métabolisme humain. Mais peut-être cette substance a-t-elle des effets secondaires...

Créé par Anonyme le 13/07/2008 | Evaluer ce scenario
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La mort dans l'âme

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Schw-air-ppse ! La seul cannette présurisée pour une grande goulée d'air frais venu du large !

Avec Schw-air-ppse ? Respirez !!!

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Zap...

Dégoutté Albert éteignit la TV.

Il se leva de son fauteuil en haletant... Il chancella un moment pour reprendre son souffle. La faible teneur en oxygène présente partout sur la terre lui rappelait son ascension du mont K2 dans sa jeunesse...
Il frissonna, le reflexe de vouloir fermer la fenêtre lui vint... Mais, il pesta... "quel crétin ! si je ferme la fenètre je ne me réveillerai pas demain..."
en effet la raréfaction de l'oxygène est telle que dans une pièce non ventilée qu'on meurt dans son sommeil après avoir consommé tout l'air respirable... C'est même devenu une forme de suicide courante en 2012...
Ah si j'était riche ! Se dit-il ! Et il contempla la citée-bulle niché en haut de la ville ! Il se laissa hypnotisé par les lueur qui étincellaient sous le dome préssurisé de la cité des nantis. Eux n'avaient pas le soucis de l'économie... Ils respiraient à plein poumon un air qu'ils pouvaient s'offrir...
Albert se détourna de ce spectacle écoeurant...

Après une faible hésitation, il finit par fermer sa fenêtre...

Créé par L@rsen le 18/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert n'est pas mort

Albert fut réveillé en pleine nuit. Comme il s'en doutait, l'air lui manqua. Son visage vira au bleu, puis au violet tandis qu'il s'asphyxiait. Un instant, il regretta de s'être réveillé, puis accepta la mort. Il n'avait aucune envie de rester avec un minimum d'oxygène toute sa vie. Il mourut au bout de quelques minutes, le sourire retrouvé.

10 minutes plus tard, les FOCA (Forces de l'Ordre Contre l'Asphyxion) arrivèrent dans la chambre dAlbert et le transportèrent d'urgence dans un hôpital. Là, des infirmières lui firent inhaler de l'oxygène pur, équivalent à une dizaine de milliers d'euros. Quand Albert se réveilla, étonné d'être encore en vie, on lui annonça qu'il allait devenir le serviteur des riches, en échange d'une ration d'oxygène lui servant de salaire. Albert accepta aussitôt. Il fit ses valises et partit vers la citée-bulle pour une vie d'esclave, mais néammoins une vie.

Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert leader

Albert mena donc une double vie au bout de quelques années de bons services auprès des riches. Après avoir découvert de nouveaux serviteurs et sympatiser avec eux, Albert essaya de fomenter un complot avec ses amis. Il essayait donc de jongler entre ses devoirs et ses discours pour l'approvisionnement en oxygène.

- Nous devons nous libérer du joug des plus riches. Ce seront les plus démunis qui frapperont à la racine de notre privation d'oxygène : il faut persuader le 1er ministre d'arrêter ce massacre dû uniquement au budget restreint. Les pauvres ne doivent pas mourir, il existe plus de pauvres que de riches et s'il le faut, nous léverons une armée pour combattre le pouvoir de l'argent !

Des hourras ponctuaient généralement la fin de ses interventions. Albert le rebelle n'était plus un homme insignifiant, c'était un homme détenteur de mots capables de pousser des hommes à une guerre de liberté. Certaines personnes étaient néammoins mécontentes. Elle privilégiaient l'action à la parole. Mais Albert les raisonnait toujours car il n'était qu'un millier de pauvres contre des dizaines de milliers de personnes appartenants toutes à la PCPC (Police Contre les Pauvres Conflictuels). La deuxième raison d'Albert de ne pas commencer la guerre était qu'il était tombé sous le charme de sa maîtressse. Il n'osait pas l'avertir de ce qui se tramait et redoutait le moment où elle serait tuée. Sa loyauté restait quand même plus forte que son désir. Chaque mois, des centaines ou des dizaines de pauvres arrivaient, et rejoignaient presque aussitôt leur groupe. Les FOCA empêchaient les esclaves de revenir en territoire appauvrie en oxygène. Les pauvres restaient dans la cité-bulle, prêts à tout.

Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert se souvient presque

Albert croyait être malade. En effet, depuis plusieurs semaines maintenant, des flashs parcouraient sa mémoire. Le visage de sa maîtresse lui apparaîssait en rève sans qu'il ne put lui attribuer un nom. Il voyait aussi un homme, un homme dont le métier finissait par -eur ou -dreur... Souvent il voyait un avion s'écraser, il révait d'un crash énorme, puis, plus rien. Après le crash résidait seulement un silence. Et le noir. Le noir complet, total, rien que le noir dans son esprit. Ces cauchemars réveillaient Albert qui se retrouvait dans un état d'extrème anxiété, voire affolé. Son plan pourtant se déroulait à merveille. Les pauvres réussissaient à voler nombre de munitions et s'entraînaient avec. On lui avait d'ailleurs reprocher de n'avoir encore rien voler d'utile à l'ennemi. Voler... Lui voler un objet utile de sa maîtresse. Oui, il savait quoi voler mais ne savait pas ce qu'ils pourraient en tirer. Il avait remarqué dans le grenier une machine étrange, électrique, diffusant une lumière bleue qui se réflétait sur le visage d'Albert. Mais Albert n'osait pas. Albert n'avait jamais aimé voler, ou pêcher. Sous la pression et les harangues de ses comparses, il s'empara de la machine une nuit, et la transporta à la taverne. On l'y acceuillit avec des bourrades dans le dos et des exclamations enjouées. Puis, tous se penchèrent sur l'étrange rayon. Des boutons étaient parseminés et personne n'osait y toucher. Les autres accusèrent donc Albert de n'avoir rien volé d'utile et de s'être joué d'eux. Celui-ci se défendit en promettant d'amener bientôt une tierce personne capable de faire fonctionner le rayon. Il ajouta que l'on pouvait avoir confiance en celle-ci. Le mot confiance emplit soudain son esprit et fit éclater quelques obstacles qui empêchaient sa mémoire de circuler normalement. Ainsi il put annoncer qu'il allait pouvoir apporter Nathalie Kim aux réunions.

Créé par Adrien ALH le 16/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert se souvient, suite

Albert tenta alors de convaincre toute la journée Nathalie Kim du bien-fondé de sa demande. Dans un premier temps, elle l'ignora et le punit sévèrement pour son vol. Albert lui déclara donc que cette situation ne pouvait continuer comme cela. Il était temps de réagir, et qu'importe la morale des actions, tout dépendait de sa gravité et de sa bassesse. Albert insista, n'hésitant pas à formuler des demandes sous-entendues devant ses invités. Cependant, à l'auberge, on s'impatientait. Les résistants devenaient menaçants et certains avaient déjà commencer à attenter à la vie des riches. La PPR (Police Pour les Riches) voulut intervenir mais sous-estima (comme d'habitude durant un début de révolution...) les opposants. Les pauvres purent alors se défendre alors que face à l'ensemble des effectifs, la tache aurait été beaucoup plus ardue. La situation s'était accélérée et la guerre véritable commençait dans un mois. Finalement, N.Ki voulut bien assister incognito à une des réunions des rebelles. Ce qui s'y passa la fit profondément changer d'avis.

Créé par ALH1995 le 19/05/2008 | Evaluer ce scenario
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