EXPLORATEUR DU FUTUR:
BHSMILE

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Comme une histoire

 

 

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"STOP"

Le plus dur c'est de commencer à écrire. Car un coup parti, nos doigt ne suivent plus nos pensée. Tout s'écrit tout seul, tout coule comme de l'eau. Les idées fusent et les phrases s'additionnent. Dans une multiplication de paragraphe et une soustraction d'endroits vierges, les péripéties se divisent pour former une suite de lettres, de mots et d'histoires. Le début nous semblent soudain terne alors on l'efface et on le réécrit encore une fois. La fin se rapproche et nous stresse. On est pas pour finir ça là. Alors on l'éloigne en rajoutant encore plus d'action et de mots. On rajoute des personnages et des tournures de phrases. Puis on tourne rapidement vers une chute qui nous ramène encore une fois à la situation finale. La morale se concrétise, mais un mystère: comment sa va finir. À l'eau de rose, en catastrophe, en queue de poisson ou de manière si surprenante qu'on n'en revient pas d'avoir pensé à ça.
Le monde, la terre et l'espace c'est comme une histoire. On saute de découverte en découverte passant par des trous noirs et remontant vers l'avenir. Les évènements fusent, multipliant catastrophe et miracle. La morale se concrétise. Les gens sont de plus en plus au courant des nouvelles qui nous entourent. De ce qui se passe et de se qui s'est déjà passé. Pourtant de plus en plus d'être vivant meurt. Peut-être que ce sera ça notre fin. Les idées coulent pour tenter e repousser l'inévitable. Car tout à une fin. Les héros environnementalistes s'additionnent et les méchants consommateurs se soustrait. La fin est proche on le sait. On la frôle tous les jours, à chaque instant. On ne peut plus la repousser, elle nous étouffe, nous envahit. Va-t-elle réussir à nous avoir? Et alors quelqu'un à une idée folle. Il monte le plus haut possible, dépasse les nuages et gravit les échelons et lorsqu'il est rendu assez haut. Il se mais à crier "STOP". Imité bientôt par tous. L'on crie de plus en plus fort. Vont-ils nous entendre. Vont-ils enfin comprendre que l'on à fini de jouer. Nos créateur vont-ils nous entendre et nous laisser en paix.

"STOP"

L'écrivain se calme. Il se repose. Interrompt sa chute finale. Et glisse un point. Après se dernier dialogue de sa création. Il ferme les pages de sont récit. Son plus grand best-seller prend fin. "L'UNIVERS" le livre de sa vie est enfin terminé. Simplement et clairement.

"STOP".
 

 

  
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Si ce n'était qu'un boum

 

 

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"BOUM"

On ne peu prédire ce qui n'est pas arrivée. on ne fait que des hypothèses, on établi des métaphores et on tente de tout prévoir mais on ne peut prédire l'inconnue. Comme une de ses bonnes nouvelles littéraires où l'on tente tant bien que mal de prédire le dénouement qui nous surprendra quant même. On ne vie pas dans un harlequins où dès les 10 premières pages l'on peut prédire toutes les péripéties de l'histoire. C'est comme pour la météo. On tente de la prédire en tenant compte de la vitesse du vent, de la température ambiante, de la pression atmoshérique et du facteur humidex. Mais on n'y arrive jamais à 100%. OUI l'on peut prévenir s'il và neiger, pleuvoir ou grêler. Mais l'on ne peut prédire avec certitude la durée de ses averses qui parfois n'ont même pas lieux. Alors encore là on ne fait que des suppositions. On suppose sans vergone, en tentant de rendre sa jolie, sensuré et moin pathéique. On crée des héros avec des histoires d'amour et des scènes tristes. Ou on tente d'imaginer le chaos et l'anarchie. MAis peut-être est-ce beaucoup plus simple que cela. Un simple Boum..
Peut-être que l'ont và mourir à la fin d'un cycle. Peut-être sommes-nous réglé comme une minuterie sans même que l'on ne le sâche et que nous faisons partis d'un procéder ou d'une suite d'évênements qui nous dépassent. Peut-être sommes-nous la bombe dans la cellule, la partie de l'atome qui en explosant và déclancher un autre big bang. Alors si se serait le cas nous saurions vraiment avare de vouloir garder la vie pour nous tout seul en tentant de protéger notre planète!
Nous sommes poussière dans l'univers. Et si l'univers n'était que poussière lui aussi. S'il n'était que poussière dans un électrons.
L'on dit que l'univers est en constante expansion. Mais si cette expension n'était pas la dispersion. Mais comme le dévloppement d'un cellule dont nous ferions parti. Il y a tant de *si* possible. Tant de possibilités, tant de tournures de phrase possibles, que si quelqu'uns réussisait vraiment à prédire la fin du monde moi je lui donnerait le prix nobel de**(il faudrait en inventer un, car je ne crois pas qu'il y en ai un qui convienne), un lauréat, le gros-lots. N'importe quoi mais cette personne aurait toute mon admiration.
J'aime bien cette idée que si notre planète exploserait cela contriburait à quelque chose.


Nous nous reveilleriont cette journée là, comme tous les matins. Sauf que là, contrairement aux autres journées, sans le savoir pourquoi
nous nous sentirions bien. Tellement bien que l'on souriraient tous sans raisons. Comme des rats de laboratoires que les scientifiques auraient drogués avant de les tuers, pour les remerciers de leurs gentilles soumissions. Peut-être sommes-nous comme-ça. (je sais trop de peut-être pas assez d'histoire -. -) Comme les homards à qui l'on flâte la bedaine pour les endormirent avant de les faire bouillir, pour se sentir moin cruel de tuer une créature vivante, avec des pensées, des émotions, dôter propablement d'un réseaux sociales que l'on ne pourrait comprendre et de relations émotionnelles quelconques avec d'autres individus de son espèces.
Enfin bref, comme parti sur de la MDMA ou un tripe de pot, tous les gens de la planète se souriraient. Big brother et mendiant se tiendraient par la main. Putes et premier ministres se promèneraient bras-dessus bras-dessous. Enfants et grands seraient égaux. Peut-importe nos ethnies, nos mode de vie et pays d'origine, tous nous nous prendirons par le bras.
Comme-ci tous nous savions que c'était la fin d'un monde. De notre monde. Les animaux se regrouperaient et viendraient parader en silence sur la terre. Dans les fôrets, les villes, sur les montagnes, les rivières et dans les océans. Tous nous ferions silence, sérénité et sagesse. Oubliant toutes les guerres et douleurs passé. Nous nous avancerions vers l'infini en restant sur notre planète. Comme ci notre masse compacte d'anciens astéorides, de terre d'eau et d'air pouvais nous éclairer. Nous faire avancer et pardonner. Pardonner toutes les atrocités que nous avions fait sûbir aux autres, à la planète et à nous même. La polution, la corruption, l'esclavagisme, la défforestation, l'urbanisation, tout ce que nous avions fait et dit de regrettable. Nous le partagerions tous ensemble. Comme en symbiose parfaite avec la nature et notre entourage. Nous penserions avec un même et simple esprit collectif.
Sans parole.
Et comme des condamnés, pendant cette longue marche de renaisance, nous avancerions vers la fin. La fin de tout, de nous et de tous. En silence avec harmonie et respect comme ci nous savions et avions accepté l'indéluctable. Nous nous agenouilleriont devant la grandeur des choses qui nous dépassent. Les arbres, les murs, le ciel. À genoux, main dans la main nous respirerions pour la dernière. Nous hûmerions pour la toute première fois la vrais odeur de notre planète. Arbres, feuilles, eau, gazons, gaz, huile, crotte, déchets et fleur. Avec plaisir, tous ensemble nous partageront cette merveille. Puis en levant nos visages vers le ciel sans fin. Caressant nos visages avec le soleil flamboyant.

"BOUM"

La fin de notre monde et le début du suivant.
 

 

  
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