Scénarios arborescents Arborescence du scénario 8967

Futur vert

Paris, 13 mai 2014... - Bonjour monsieur le président de la Lutte Pour l'Environnement, alors dites moi, comment c'est passé cette réunion pour la survie de la planète? - Bonjour, pour être franc avec vous, la partie n'est pas gagnée. Les méthodes de vies de chacun doivent être modifiées, les énergies qui jusque là nous on fait avancer sont épuisé, et très peu de technologies nous offre la possibilité de vivre comme nous vivons à l'heure actuelle. Cependant, nous avons proposé à l'assemblé plusieurs solutions. Vous n'avez qu'à me poser la même question dans 20 ans, nous verrons bien... Après s'être fait renvoyer de son poste de président de la LPE, Norbert Horandi, abattu, s'est résigné à vouloir changer les habitudes de la population mondiale. Il a commencé un voyage, qui pour lui allait être le dernier, car la stupidité des hommes était pour lui une force qui allait tout détruire. Après avoir voyagé en Europe de l'est, puis en Russie, puis en Chine, après avoir visité toutes les merveilles qu'offrait l'Asie et le continent américain, après avoir sympathisé avec des tribus africaines, Norbert alla terminer son voyage dans une zone sensible, où dans ses souvenirs, la guerre ne cessait jamais. 20 ans plus tard donc, il se trouve au Moyen-Orient, il n'avait jamais osé y aller, bien que cette région du monde l’ait toujours fasciné. Mais à son grand étonnement, ici il n'y a ni kalachnikov, ni obus, ni char, ni militaire. De retour à Paris, il se rend compte alors, que durant toutes ces années passées, il n'a pas regardé la différence de comportement chez l'homme. Il se rend aussi compte que toutes ces promesses annoncées lors de la réunion du 13 mai 2014 n'étaient pas tombées à l'eau. Maintenant, grâce à lui mais également grâce à d'autres personne comme les quelques 7 milliards d'individus résidant sur la planète terre, l'eau est translucide, l'énergie est puisé uniquement du soleil et du vent, fini le gaz naturel, fini le pétrole, fini le bois, fini le charbon. Ainsi, les forêts repoussent car le traité du LPE interdit toute destruction sans une autorisation de son président, les mers et les campagnes sont propres car les déchets sont entièrement recyclés, l'air y devient pur car les moyens de transports ont évolués et ne rejettent aucun gaz ou particule polluante, l'eau de pluie devient potable... On revoit donc certaines espèces animale en voie d'extinction resurgir de nul part, les habitants continuent de travailler sans stresse ni obligation, les saisons redeviennent des saisons, en hiver la neige envahit de nouveau les rues parisiennes, au printemps les températures y sont douces et agréables, l'été redevient une saison supportable et la chaleur n'y est plus étouffante, et l'automne par ses pluies impressionnantes remplit les citernes d'eau des villes. L'homme, comme à ses origines (ré)apprend à se servir de ce que dame nature lui offre, il se rend bien compte qu'il à tout à y gagner. Créé par ray_mond le 31/10/2009 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (5)

Futur vert et dérives...

Alain Mesrine est militaire. Toute son enfance, cet orphelin jurassien bâti comme un bucheron québécois, a entendu des insultes et a été roué de coups par ses camarades de chambré. Son célèbre homonyme lui apportait la gloire avec pertes et fracas. Alain avait passé 18 ans a ré-apprendre dans l'armée la notion d'équipe et de famille. Et aujourd'hui, ils étaient en mission avec son bataillon commando. A 43 ans Alain avait vu son monde évoluer, de capitaliste sauvage et à courte vision, son gouvernement était devenu socialiste doux à tendance écologique dure longue durée. Il avait au paravent effectué des missions contre des bases avancés de GreenPeace, officiellement les dissidents Greenpeace avaient été emprisonnés, mais Alain est son commando savait ce qu'il en était. Mais les règles avaient changé, et Alain suivait les ordres. Aujourd'hui, c'était au côté du groupe actions positives de Greenpeace qu'ils combattaient. Depuis 4h du matin, les deux équipes encerclaient le bâtiment. La politique était clair à ce sujet, si les lois écologiques étaient profanées, le gouvernement sévissait. De la simple amande pour un papier jeté au sol, à l'emprisonnement pour l'utilisation de matières carbonées, les lois étaient claires, et la police militaire était là pour faire les respecter. Mais aujourd'hui la situation était grave. Un groupe de terroristes écologiques avait pris place dans un hôpital désaffecté en banlieue rennaise. Le groupe action positive était là pour constater l'infraction, et le commando d'Alain pour "arrêter" les terroristes. L'opération débuterait à 6h précise. Le compteur Geiger était très explicite il y avait trace de produit radioactif dans ce lieu. "Capitaine Mersine c'est l'heure, rassemblez vos hommes et prenez moi cette zone." "A vos ordres" "Et Alain... fais gaffes à ton cul, ces gars là ne plaisantes pas , ce sont des puta*** de terroristes..." Le commandant Joseph Unberdeir avait toujours eu un comportement fraternel avec Alain. Les directives données, les positions prises, le commando s'élança à l'assaut. En 2 minutes et 32 secondes, ils avaient atteint la zone de regroupement des terroristes. Ils étaient une quinzaine assis sur des fauteuils éventrés, reliés par des tubes et des câbles à des machines étranges. Un homme en blouse blanche suivit d'une femme habillée de la même façon, passait d'un branché à l'autre. Le commando pris la zone en 10 secondes, les terroristes maitrisés le groupe action positive pourrait relever l'infraction. "Capitaine Mesrine, je veux un rapport détaillé." "Commandant, les terroristes sont traités. La zone et neutre. Les Hommes de d'action positive ont sécurisé l'écologie de la zone. Le liquide radioactif est en conteneur. Il n'y a plus de risque écologique sur cette zone." "bien." "mais une chose m'inquiète Joseph, les gars s'étaient relié à des machines qui leurs injectés une dose de produits radioactif. C'est une forme de terrorisme étrange non ? Qu'est ce que le gouvernement nous cache ?" "Cherches pas à comprendre Alain, c'est gars là sont pas comme nous. Allez, on fini le nettoyage et on rentre voir nos femmes." Le commandant Unberdeir pleura seul au volant de son véhicule électrique. Le trajet du retour fut douloureux. "Des cancéreux... on nous fait tuer des cancéreux. Les lois vont trop loin..." L'écologie à tous prix, sommes-nous prêt à ça ? Créé par SIANEVIL le 07/11/2009 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (0)

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