Scénarios arborescents |
Et si |
Et si le gouvernement du Canada décidait que pour se faire de l'argent il ferait payer les gens pour l'air qu'ils respirent ? Que feraient les gens pauvres sans oxygène ? Créé par supersoso le 14/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Et... |
Les gens pauvres pourraient-ils montés une révolte contre le gouvernement pour ça ? Ou encore pourraient-is commencer à faire de la contrebande d'oxygène ou un truc du genre ? Créé par supersoso le 16/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Peut on vivre sans oxygène...? |
Aucune contrebande d'oxygène est possible; le gouvernement canadien s'en assure.
Créé par Anonyme le 13/07/2008 | Evaluer ce scenario
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La mort dans l'âme |
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Créé par L@rsen le 18/03/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert n'est pas mort |
Albert fut réveillé en pleine nuit. Comme il s'en doutait, l'air lui manqua. Son visage vira au bleu, puis au violet tandis qu'il s'asphyxiait. Un instant, il regretta de s'être réveillé, puis accepta la mort. Il n'avait aucune envie de rester avec un minimum d'oxygène toute sa vie. Il mourut au bout de quelques minutes, le sourire retrouvé.
Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert leader |
Albert mena donc une double vie au bout de quelques années de bons services auprès des riches. Après avoir découvert de nouveaux serviteurs et sympatiser avec eux, Albert essaya de fomenter un complot avec ses amis. Il essayait donc de jongler entre ses devoirs et ses discours pour l'approvisionnement en oxygène.
Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert se souvient presque |
Albert croyait être malade. En effet, depuis plusieurs semaines maintenant, des flashs parcouraient sa mémoire. Le visage de sa maîtresse lui apparaîssait en rève sans qu'il ne put lui attribuer un nom. Il voyait aussi un homme, un homme dont le métier finissait par -eur ou -dreur... Souvent il voyait un avion s'écraser, il révait d'un crash énorme, puis, plus rien. Après le crash résidait seulement un silence. Et le noir. Le noir complet, total, rien que le noir dans son esprit. Ces cauchemars réveillaient Albert qui se retrouvait dans un état d'extrème anxiété, voire affolé. Son plan pourtant se déroulait à merveille. Les pauvres réussissaient à voler nombre de munitions et s'entraînaient avec. On lui avait d'ailleurs reprocher de n'avoir encore rien voler d'utile à l'ennemi. Voler... Lui voler un objet utile de sa maîtresse. Oui, il savait quoi voler mais ne savait pas ce qu'ils pourraient en tirer. Il avait remarqué dans le grenier une machine étrange, électrique, diffusant une lumière bleue qui se réflétait sur le visage d'Albert. Mais Albert n'osait pas. Albert n'avait jamais aimé voler, ou pêcher. Sous la pression et les harangues de ses comparses, il s'empara de la machine une nuit, et la transporta à la taverne. On l'y acceuillit avec des bourrades dans le dos et des exclamations enjouées. Puis, tous se penchèrent sur l'étrange rayon. Des boutons étaient parseminés et personne n'osait y toucher. Les autres accusèrent donc Albert de n'avoir rien volé d'utile et de s'être joué d'eux. Celui-ci se défendit en promettant d'amener bientôt une tierce personne capable de faire fonctionner le rayon. Il ajouta que l'on pouvait avoir confiance en celle-ci. Le mot confiance emplit soudain son esprit et fit éclater quelques obstacles qui empêchaient sa mémoire de circuler normalement. Ainsi il put annoncer qu'il allait pouvoir apporter Nathalie Kim aux réunions. Créé par Adrien ALH le 16/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Albert se souvient, suite |
Albert tenta alors de convaincre toute la journée Nathalie Kim du bien-fondé de sa demande. Dans un premier temps, elle l'ignora et le punit sévèrement pour son vol. Albert lui déclara donc que cette situation ne pouvait continuer comme cela. Il était temps de réagir, et qu'importe la morale des actions, tout dépendait de sa gravité et de sa bassesse. Albert insista, n'hésitant pas à formuler des demandes sous-entendues devant ses invités. Cependant, à l'auberge, on s'impatientait. Les résistants devenaient menaçants et certains avaient déjà commencer à attenter à la vie des riches. La PPR (Police Pour les Riches) voulut intervenir mais sous-estima (comme d'habitude durant un début de révolution...) les opposants. Les pauvres purent alors se défendre alors que face à l'ensemble des effectifs, la tache aurait été beaucoup plus ardue. La situation s'était accélérée et la guerre véritable commençait dans un mois. Finalement, N.Ki voulut bien assister incognito à une des réunions des rebelles. Ce qui s'y passa la fit profondément changer d'avis. Créé par ALH1995 le 19/05/2008 | Evaluer ce scenario
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