Scénarios arborescents Arborescence du scénario 1519

Si mes rèves devenaient réalités

Partant de l'adage: "si jeunesse savait et vieillesse pouvait", la sagesse des anciens se conjuguerait avec le dynamisme, l'optimisme, la volonté d'évoluer dans les bonnes directions (la vmv par ex.)de la jeunesse. Un regard ancien sur les choses nouvelles, un regard neuf sur les choses anciennes. Les anciens retrouveraient l'énergie, la reconnaissance sociale, la dignité, enfin bref tout ce que ce monde de jeunes pressés leur a retiré. Créé par ab.gt le 06/02/2003 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (0)

« Si jeunesse savait et vieillesse pouvait » : Formation professionnelle

Et si on mettait en place cette « fusion des générations » dans le domaine de l’emploi ?… Par exemple, le stagiaire serait formé, à mi-temps, par une personne en pré-retraite. L’employeur ne perdrait pas de temps, ni trop d’argent dans la formation de son nouvel employé. Ce dernier profiterait de l’expérience d’un « ancien » et saurait l’adapter aux nouveautés, aux évolutions de notre temps… Quant à la personne « sortante », elle pourra ou non choisir de partager ses savoirs (moyennant bien sûr une « prime de retraite »). Cela lui permettrait d’avoir toujours une activité et à temps partiel, de ne pas arrêter subitement de travailler (s’il aimait son travail), de se sentir toujours utile… Finalement, tout cela pourrait reserrer les liens entre ancienne et nouvelle génération. Créé par Zephira le 06/02/2003 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (0)

Transmission ou rétention du savoir?

Que pouvons nous constater quant à l'éducation de nos jeunes? Qu'ils se trouvent façe à des aînés qui, au lieu de leur transmettre cet amour pour tel ou tel savoir faire, les amènent à entreprendre ces études avec un guide, un maître (au bon sens du terme), qui puisse leur faire surmonter, justement, les énormes difficultés qu'ils pourront rencontrer, au lieu de cela ils rencontrent des personnages aigris qui apparemment ne veulent partager ce savoir, ne veulent se faire dépasser, et je pense faire souffrir, comme eux peut-être ont souffert lors de leur parcours. Comment parmi ces "Bonzes" se frayer un chemin? Ne pourrions-nous pas imaginer une caution, une évaluation du corps professoral, évidemment tout cela sous des normes bien précises? Créé par Anonyme le 09/02/2003 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (0)

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