Sibylle
et la découverte des canaux de
communication... Cette histoire est le récit d'un long voyage pour les grANDs chercheurs, notre génial(e) et aimé(e) reporter(e) George S (pour télévision Space ?), et tous les autres, bien entendu. "L'écrit
est venu juste après ses premières paroles,
rare au début, plus fréquent ensuite. L'écrit lui a toujours été naturel, spontané et ludique. Instinctivement, elle a beaucoup refusé la "culture" qui l'éloigne de sa nature, l'interprète, la transforme et l'intellectualise. Qui dénature son esprit, tout simplement ! Elle n'a (re)cueilli que le strict minimum utile à son A-grandissement. (Elle y a tout de même "perdu" quelque enseignement (découvert tardivement), qui lui aurait permis de mieux grandir ! Telle est la recette de sa vie, d'autres possèdent d'autres recettes, dans leurs livres, à la cuisine. ;-)) Ce sont les expressions des mondes (des sensations, des sentiments) qui lui ont donné les pensées et les mots pour évoquer ses perceptions. Ceux qui lui plaisent, qui lui "viennent". Rien d'extraordinaire, ni de "mystique", pas d'intention d'être à un endroit du TOUT placé "au-dessus" des autres cellules, pas d'élitisme, ni de sectarisme, ni de prosélytisme. NON SURTOUT PAS. Mais bien être au CUR des autres, de la vie, chaque jour. Chaque cellule est vitale à l'autre. IL FAUT LE DIRE. A voix haute. Lorsque
Sibylle était petite fille, elle ne savait pas que
les gens de son monde manifesté, celui que l'on voit
avec ses yeux, tout simplement, considéraient cette
perception invisible aux yeux, comme une manifestation
extraordinaire de la nature. Puisque "cela" était,
c'était forcément dans la nature, ce qui lui
semblait très "logique". Cependant, Sibylle ne connaissait toujours pas le vocabulaire particulier, her(m)étique (parfois), utilisé pour évoquer ce trait de nature qu'est la communication "extra-sensorielle". En effet, des êtres se l'étaient appropriée, se démarquant ainsi des autres (volontairement ou non), l'utilisant en vases clos, NON COMMUNICANTS, avec des mots qui n'appartiennent même pas à la langue avec laquelle ils s'expriment tous les jours ! Chaque langue peut diffuser avec ses mots... De façon simple et compréhensible à TOUS ! Pourquoi la maniériser ? Cela masque-t-il un désir inavoué de pouvoir (non pouR-Voir), celui dont nous souhaitons ardemment nous défaire ? Cela n'évoque-t-il pas les "docteurs d-il-y-a-plusieurs-siècles" et leur langage "ésotérique" dont ils se prétendaient les "initiés". NON, PLUS DE CELA. Ne pas oublier que les simulateurs sont présents, en face ou avec NOUS, pour tenter de faire basculer la lumière vers l'ombre. Voyez bien, dans TOUT projet, il en est ainsi... Et voyez aussi que la langue universelle n'est pas le langage américain... plus qu'un autre ! Je, Ge et Sibylle (la même, c'est ainsi naturellement), témoin du monde manifesté, vous le dit : ce langage ne rassure pas celles et ceux qui s'étirent dans leur fin de sommeil. Ils ont peut-être leur bonne raison de continuer à dormir ! Car où est la diffusion d'amour et de lumière, dans cette attitude ? Qu'on NOUS le dise ! Comment aider son "semblable" à ouvrir les yeux avec des mots COUSUS (de fil noir ou blanc). Ainsi et jusqu'à très récemment, Sibylle ignorait PARFAITement que l'amour universel, celui des abeilles, oiseaux, baleines et dauphins était donnés comme "une -ou LA- constante" de l'expression de ces canaux. Elle le découvre aujourd'hui-même en fouillant des E-bibliothèques... Quand
elle parlait de l'un d'eux, c'est que "ça" lui venait
naturellement. Et c'est Temps mieux, les expressions ont
grandi sans influence, sans "traçage", sans
répertoire, sans "guidage" extérieur. Libres.
SANS DETOURNEMENT de l'origine. Dans les e-bibliothèques, elle a trouvé des mots déplaisants à sa nature, si intellectuels qu'ils dénaturent l'expression originelle. SUR-FAITS !" L'amour
est pour TOUT(E)S LE(S) MONDE(S), sur tous les canaux, TOUT
SIMPLEMENT. |