EXPLORATEUR DU FUTUR:
EDITH

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Une puissance à définir

 

 

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L'Inde et la Chine ont conclu une entente pour devenir une puissance alliée sur mer. Désormais les navires chinois ont le droit de s'abriter dans les ports du sud de l'Inde, depuis la fête des cerisiers. Les États-Unis sont en effervescence, mais la Chine a désormais plus d'hommes sur mer que l'ancienne grande puissance du globe. Les Russes n'ayant pas réussi à prendre pied définitivement en Méditerranée suite au renversement de B. A. A. en Syrie, après de longues mois de lutte, leur flotte est en partie reléguée dans les ports de la Russie orientale. Certains pays d'Afrique, par peur du néo-colonialisme occidental, a désormais établi une alliance avec les "amis" chinois, les ports de Somalie et du Mozambique acceptent eux-aussi d'abriter des navires chinois et Indiens. En retour, la Chine accepte de les aider à développer leurs terres agricoles pour leur propre population et certains transferts technologiques ont également lieu, ce qui permet à la Chine de reluquer des terres à coloniser pour plus tard car elle peut désormais amener sur le continent noir de grandes quantités de "collaborateurs" chinois qui prennent pied dans les campagnes et pourront former une future armée, prête à obéir aux maîtres de la Chine, si besoin est. Des villes sont déjà prêtes à accueillir ces nouveaux colonisateurs, des villes promises aux africains, payées par l'argent africain, mais secrètement destinées aux chinois.
Si des ports sont déjà accessibles, des aéroports le seront bientôt car les Chinois ont décidé certains pays africains à bâtir des aéroports pour le fret qui pourraient s'avérer excellents également pour accueillir des troupes évidemment "amies". L'Afrique sera bientôt une partie de l'empire chinois. L'espace n'est pas en reste car, le plus secrètement du monde, les Chinois préparent eux-aussi des voyages vers Mars.
Le Canada dont l'armée renforcée par les États-Unis contrôle "démocratiquement" le passage de l'Ouest a interdit la navigation des bateaux de guerre russes dans le passage de l'Ouest, malgré les rapports renforcés de la puissance russe avec l'Occident depuis que les grandes compagnies pétrolières américaines ont réussi à mettre le pied dans l'ancien empire soviétique. Les États-Unis qui savent si bien orienter la politique canadienne, pas aussi indépendante qu'elle voudrait l'être, se trompent d'ennemi, mais cela ne date pas d'hier, leur cupidité mettra bientôt définitivement l'Occident à genoux...
 

 

  
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