Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 842

Thématique : Education du futur : Vos espoirs

Exprimez ce que vous souhaitez, en fonction de votre perception du monde actuel.

Créé par al1c le 13/04/2003 | Evaluer ce scenario
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pourquoi pas?????????????????

au jour d'aujourd'hui l'éducation a pour unique but de mettre les gens dans des boites ,de leur imposer une pensée unique ,alors que chacun de nous a ses défauts et ses qualités.Une école qui apprend a donner le meilleur de soi ce serait bien...

Créé par Anonyme le 04/07/2003 | Evaluer ce scenario
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comment dire?

Je pense que pour élever le niveau de conscience collective nous devons favoriser les voyages internationaux pour TOUS les enfants de la terre qui trouveront LEUR voie au fil des déplacements et feront avancer leur monde du mieux de leurs capacités...

Créé par Anonyme le 07/06/2003 | Evaluer ce scenario
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Voyages et éducation

C'est bien connu : les voyages forment la jeunesse. De plus, on pourrait élargir le nombre de matières disponibles à l'école, pour qu'une fois la ou les voies choisie(s), les enfants puissent rapidement s'orienter, car nous allons vers un système éducatif qui favorise des études longues et se finissent à 30 ans.

Créé par Anonyme le 03/01/2004 | Evaluer ce scenario
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Batir sur la curiosité

La motivation est une des choses les plus difficiles à susciter chez autrui sur le long terme. Cependant, elle nous est nécessaire pour démarer une action quelconque.
En ce qui concerne l'éducation, une motivation certaine est la curiosité, le fait de s'étonner de tout qui guide vers la connaissance de ce qui surprend, résiste ou se soumet.
Il serait donc bon d'ouvrir cette voie qui est pour le moment le fait de quelques brillants pédagogues qui dès l'antiquité on su faire naître de brillant savant. En éveillant la curiosité, ces disciples apprirent du questionnement de leurs maîtres et allèrent parfois bien au-delà pour éclairer l'humanité.
Batir le système sur l'éveil et la curiosité réelle et non seulement supposé des élèves et étudiants pourrait faire avancer les choses dans le bon sens.

Créé par Anonyme le 10/07/2007 | Evaluer ce scenario
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la majorite des enfants de la terre n'a envie que de l'ea

la majorite des enfants de la terre n'a evie que de l'eau potable je reve un jour de ne plus voir la famine

Créé par Anonyme le 02/07/2005 | Evaluer ce scenario
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lécole devient enfin la base de l'apprentissage des valeurs

En 2050, le système scolaire est enfin réformé, et les enfants retrouvent le goût d'apprendre. Les gouvernants se sont inspirés d'écoles parallèles qui existaient au 20 ème siècle( Montessori, par exemple) où le rythme de chaque individu est respecté. La course à la réussite n'existe plus, seul est pris en compte le plaisir d'apprendre. Chaque école est visitée par des écrivains, des scientifiques, des poètes, des peintres, des musiciens, des artisans, des sportifs et ils font découvrir aux élèves ce qui les passionne. Chaque élève peut explorer les domaines qui lui font envie puisque l'école se doit de lui fournir les moyens de le faire. L'école est devenue un endroit où chaque enfant aime à se rendre parce qu'il en ressort plus riche d'expériences et qu'elle lui apprend à se sociabiliser. Dans ces nouvelles écoles se côtoient plusieurs tranches d'âge, parce que toute personne qui veut s'instruire a le droit de s'y rendre. Ainsi, une plus grande convivialité entre générations s'est installée.

Créé par bantynou le 19/11/2003 | Evaluer ce scenario
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La machination sociale

C'est ainsi que doit être l'école : un lieu ou l'on apprend ! Malheureusement actuellement c'est un lieu de compétition. Et les enfants qui sont les plus compétitifs s'intègrent le mieux à notre société libérale qui prône la compétitivité. Et le plus triste est que l'on s'en accomode !
L'école qui devrait enseigner la vie, n'enseigne que les moyens de dompter la vie. On ôte ainsi aux enfants le plaisir d'apprendre, car l'enfant aspire à profiter de la vie plutot que de penser à l'appréhender.

Créé par olivier.m.om le 26/02/2004 | Evaluer ce scenario
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La définition de la liberté et de l'humanisme

La liberté consiste en premier lieu à se poser ses propres limites et je pense que c'est là une des premières choses qu'il faille apprendre aux enfants. En effet, leurs poser des limites n'est pas pas une punition mais un apprentissage tout comme leur faire apprendre certaines matières qu'ils n'aiment pas forcément. Je pense sincèrement que l'école se doit d'être pluri-disciplinaire et ce le plus longtemps possible. C'est ce système qui nous permet d'être des personnes s'interessant à plusieurs catégories de sciences ou d'autres choses encore. L'école et ses prétendues limites ne cherchent qu'à nous apprendre à garder ouverte notre curiosité vis-à-vis de tout ce qui nous entoure. Lorsque je parle d'humanisme, c'est en réaction au fait que plusieurs catégories d'écrivains, de poètes, de scientifiques pourraient venir dans les écoles. Je ne suis pas contre cette idée mais allez donc parler de la théorie de la relativité à quelqu'un qui n'a même pas appris les rudiments pour comprendre cette théorie. Encore une fois sincèrement, je pense qu'une hiérarchie est indispensable pour permettre aux enfants de progresser dans le bon ordre et de s'interesser à tout et de ne pas en faire des robots spécialisés pour n'avoir qu'un seul intérêt.

Créé par horus.juls le 22/01/2005 | Evaluer ce scenario
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L'école du bien-être et de l'apprentissage vaste

Pendant des années, au début du XXIe siècle, les femmes et quelques hommes ont revendiqué le droit à l'éducation par le bien-être. Ils ont finalement convaincu les populations de cette nécessité et une nouvelle forme d'éducation est maintenant en vigueur. Nous sommes en 2020 et l'éducation est réellement devenue l'affaire de tous les humains.

En plus d'un enseignement scolaire "traditionnel", donné par des maîtres-sages de niveaux variables et adaptés aux élèves, chacun contribue à l'éducation de l'autre, selon sa capacité et son talent. Cela peut être indifféremment une initiation à un métier particulier, un art, une pratique culinaire, un enseignement de vie, une histoire de vie dont l'intérêt particulier est universalisé par l'enseignant... Chaque homme et chaque femme consacre un jour sur deux, une demi-journée de son temps à instruire, le lendemain une autre demi-journée à être instruit (s'il ne fait plus partie du circuit éducatif). C'est le temps de base des échanges d'éducation, il est modulable et/ou cumulable, mais incompressible.

Il n'y a plus de hiérarchie institutionnelle du "corps enseignant". Ainsi, les maîtres-sages remplacent instituteurs et professeurs. Ils sont ou non spécialisés, mais tous ont dû, avant de commencer à diffuser leur enseignement, acquérir la sagesse, la patience, la maîtrise de leur corps et âme, en plus des contenus et techniques d'éducation. Seules ces qualités indispensables pour devenir "maître-sage" sont retenues comme critère de sélection.

Chacun définit en compagnie des maîtres-sages et des familles, pour les jeunes enfants, l'avenir qu'il souhaite réserver à son éducation. Il n'y a pas de quota instauré pour les besoins d'une économie qui n'est plus outrancière et sauvage, mais contrôlée ainsi que la démographie, car tous, maîtres-sages et élèves, s'accordent à dire que la nature, par défaut, fournit les proportions utiles et équilibrées en talents à exploiter.

Tous les lieux sont aptes à devenir des espaces éducatifs. Toutefois les écoles publiques sont les endroits privilégiés pour centraliser l'éducation devenue entièrement gratuite pour tous. Les classes d'enseignement telles qu'elles étaient au siècle dernier, répartissant les enfants selon un âge et un niveau intellectuel souvent défini arbitrairement, n'existent plus. Bien entendu, nous retrouvons la plupart du temps des groupes d'élèves d'âge identique, mais il n'est pas exclu d'y rencontrer aussi des personnes d'un âge totalement différent. Le cloisonnement des générations tend à disparaître au profit d'un enrichissement mutuel.

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Créé par L'épistéolienne le 28/03/2007 | Evaluer ce scenario
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Voyage dans le systeme sColaire

Et si l'"ecole" cette fameuse institution commencait par s'autoévaluer et s'interroger sur ses bases et objectifs...?
L'école ne resterait pas sur ses positions de devoir être le garant d'un apprentissage... ne plus être aupres des jeunes esprits pour les formater selon l'époque, ne pas se contenter d'inculquer un savoir faire mais enfin s'autoriser à développer chez chacun un savoir-etre.
L'ecole pourrait observer que ses bases platoniciennes ne sont peut etre pas les bonnes ou en tout cas pas les seules. Pour rappel, Platon considerait que l'instruction s'appuyait sur trois valeurs: le beau, le bon et le vrai. Or le vrai n'est pas une valeur. (telle chose peut être plus ou moins bonne ou belle mais pas plus ou moins vraie!).
Et oh surprise, sur Terre il existe d'autres modèles de civilisation qui ont pris pour bases d'autres valeurs en particulier en Asie (cf makiguchi, ou pestalozzi en Suisse) que sont le beau, le bon et le gain. Notion de gain très importante car elle répond aux questions des élèves "mais ca apporte quoi l'école!?"
A méditer?

Créé par sdmystik le 27/04/2007 | Evaluer ce scenario
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