Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 7195

Et si on créait un monde parallèle?

Regardez, c'est une planète dans un temps parallèle au notre.
Cette planète est une terre ex péri-mentale où, tout est possible!
Elle vie, elle stagne, elle régresse, elle meurt, elle renaît, elle évolue, elle rapetisse, elle grossit, elle se modifie… avec tout ce qu'il y a dessus!
Et qui y a-t-il dessus?
Grâce à toi, à moi, à vous, à nous…
A chaque scénario, cette planète existe… d'une manière similaire ou totalement différente!
A chacun créer l'Histoire de cette planète!

Créé par dolphindigo* le 23/10/2007 | Evaluer ce scenario
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Uni vers elle

Nous voilà projetés dans une branche de l’Univers, filant sans effort dans une rivière de sève. Qu’il est bon de se laisser ainsi porter, sans résister, sans penser… Ces couloirs énergétiques se fractalisaient à l’infini - nous offrant ainsi l’accès à de multiples uni-vers, et autres cosmo-terres…

Le flot de sève s’accélère et nous fait tournoyer dans ce tube de l’hyperespace. Black out. Je ne sais plus d’où je viens, ni encore où je vais... L’espace d’un temps, me voilà face à elle… Je m’approche, la contourne, l’observe sur ses moindres contours. Son aura irisée a quelque chose d’apaisant, de réconfortant, d’attrayant...

Poussée par la curiosité, je fends son atmosphère à la vitesse de la lumière. Rouge - orange - jaune - vert - bleu - indigo – violet… Trouverais-je le chaudron d’or ?... Un plateau se dessine alors sous mes yeux - ébloui par son éclat, cette terre semble irradier de Vie et d’énergie. Mais mes différentes explorations m’avaient néanmoins appris à rester vigilante face à ce genre de phénomène. De nombreux explorateurs s’étaient en effet perdus dans les mailles de ces terres illusoires.

Peu importe, je descends encore plus bas, l’atmosphère y est désormais limpide et le plateau se perd dans une mer indigo. Je retrouve à mes pieds, fourmillants de sensations, toutes les couleurs que j’avais vus dans l’atmosphère – ce qui est en haut est comme ce qu’il y a en bas disait déjà les légendes… Au fur et à mesure que j’approche de l’île, la même quiétude qu’à l’approche de l’Or-A se fit ressentir. Tout me portait à croire que nous avions découvert là un nouveau paradis pour l’HomoVersalis…

Créé par Zephira le 25/10/2007 | Evaluer ce scenario
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Découverte de l’île

En touchant cette Terre aux trois soleils, je retrouvais toutes les conditions nécessaires pour que la Vie s’y installe et s’y épanouisse. Ayant perdus mes amis lors de l’atterrissage, je partis sans plus réfléchir à leur recherche, profitant de ce instant de quête pour découvrir la composition de ce nouveau monde…

Curieusement, de gigantesques végétaux partaient de l’île - alors que d’immenses volatiles balayaient un Ciel blanc comme neige. Les citrons étaient comme des pastèques, et une simple fleur prenait des allures de bouquet. Tout était étrangement disproportionné sur cette île, comme si j’avais été une simple fourmi perdue en pleine jungle.

Alors que je surfais dans mes pensées, de longs et puissants cris me sortirent de mes rêveries. Je n’aurais su dire s’ils appartenaient à un animal ou à un Universalien... Remontant l’onde sonore, je découvris un groupe d’êtres en plein conflit. Leur apparence physique était on ne peut plus originale - ce qui était derrière, était comme ce qu’il y avait devant ! Yeux, bouche, nez, membres… tout était en double. A une exception prêt, leur sexe. Un homme et une femme réunis en un seul et même corps ? Pourquoi pas ! En espérant que tout deux soit au diapason. Un flot de questions me submergea alors. Quel était leur degré de conscience, d’intelligence, d’empathie ? Comment avaient-ils évolué ? Quel était leur outil de communication ? Se comprenaient-ils ?

Venant en ami, je pris l’initiative de m’avancer vers le premier groupe qui s’était dessiné devant moi. Confiant mais prudent, ma présence rapprochée ne semblait pourtant pas les perturber… J’esquissai alors un timide "bonjour" (réflexe de terrien) – mais aucun écho, aucune réaction ne vint jusqu’à moi. C’est là que je remarquai quelque chose d’étrange dans leur attitude… Leurs gestes étaient étrangement lents, alors que leurs bouches s’éternisaient dans de longues syllabes… La scène semblaient se dérouler au ralenti, comme si je visionnais image par image ce nouveau film venu de l’espace. Mais alors… non impossible… mais pourtant… se pouvait-il que nous soyons "physiquement" réunis sur cette île alors que nous appartenons à deux dimensions différentes ?...

Créé par Zephira le 30/10/2007 | Evaluer ce scenario
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Avancés

Ces hermaphrodites doublés me regardaient avec de grands yeux ébahis. Timidement je m'approchais et leur signifiait par des gestes que j'étais venu en ami. L'un d'eux me tenda un objet singulier, tout vert avec deux cornes aux extrémités reliées à un mini-ordinateur. Ainsi ils étaient aussi avancés en technologie ! Je tournais et retournais dans mes mains l'insolite objet quand, tout à coup, celui qui me l'avait donné enfonça la corne dans sa bouche. Aussitôt ses syllabes s'enchainèrent de manière fluide, en accéléré pour lui.

- Bienvenue Terrien, installez-vous.
- Vous connaissez notre présence ?, demandais-je, interloqué.
- Bien sur! Cela fait de nombreuses années que l'on vous observe.

Incroyable, ils avaient donc pu observer des formes de vies humaines. Leur double cerveau donnait un incroyable potentiel et se révélait très pratique plutôt que laid. Cet étrange peuple semblait très intelligent. Sur le coup je n'avais pas remarqué que la voix qui me parlait ne présentait pas de familiarité de sonorité. Ce n'était ni une voix d'homme, ni une voix de femme. C'était une voix métallique qui résonnait dans mon esprit. Brusquement, un autre s'avança et me fit signe de le suivre. Je traversais la faune et la flore pour arriver dans leur village, tout d'adamantium.

Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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Dios hermaphroditos

Ces êtres étranges brandirent une lance entre leurs mains. Ils employèrent toute leur force et projetèrent toujours au ralenti la mortelle pointe. Elle fondit sur moi qui n'eut qu'à faire un pas de côté pour l'éviter. Je l'interceptai en plein vol tandis qu'elle filait à hauteur de ma tête et la renvoyait d'un geste brusque sur son expéditeur. Le missile fondit d'une courbe gracieuse sur l'être difforme, en plein dans la carotide. Celui-ci s'effondra et les autres me regardèrent mi-respectueux, mi-interloqués. Ils se concertèrent pendant une dizaine de minutes durant laquelle je voulus prendre le large, puis me ravisa. Ces hermaphrodites d'un autre monde s'avancèrent lentement vers moi. Parvenus devant moi, ils s'inclinèrent et déposèrent leurs armes à mes pieds. J'eus une soudaine impression de puissance. Je rayonnais de fierté. Je ramassais en toute hâte mes lances et leur targuaient de me dire où se trouvait leur chef. Après que les être comprirent ma demande, ils me désignèrent celui que j'avais tanspercé. Puis me conduisirent à un village tout d'adamantium dont les trois soleils se reflétaient sur les parois grises.

Créé par ALH le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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War Hermaphrodites

C'était le bonheur. Bonheur. On me considérait comme un dieu de rapidité, un être capable de tout et je m'amusais à leur faire peur en sprintant ou en leur dérobant rapidement des objets. Ils m'apportèrent des femmes plus femmes que hommes, qu'ils considéraient toujours comme des esclaves. Ce petit peuple me faisait penser aux indiens ou aux autres peuples qui vivaient autrefois en Amérique. Leur religion se composait maintenant uniquement de moi. Ma hutte était la plus surélevée du village. La nourriture était double pour moi ainsi que la boisson coulait à flots. Ces idiots pensaient que je leur accordais une faveur en restant avec eux. Je pouvais ainsi m'allonger toute une journée pour connaître le vrai repos. Ah, vraiment bon ! Bon-heur, le bonheur d'être en vie. Je pense qu'il est facile de coloniser la planète. J'en parlerais d'ailleurs aux autres, si je ne suis pas trop fatigué... Enfin moi, leur dieu, a des monuments érigés dans la cité. Et je possède une armure d'adamantium forgée à ma taille. Une épée de rubis et un bouclier d'or imposent le respect aux quelques mendiants qui viennent. Des mendiants... Je n'y ais jamais vraiment pensé mais qui dit mendiants, dit ville, qui dit ville, dit puissance et qui dit puissance, dit rival. Il semblerait que ces autochtones extra-terrestres ne soient pas les seuls habitants. Qu'importe, ils se prosterneront bientôt devant moi, j'en fais le serment. Je vais lever une armée de manants et conquérir la planète que je rebaptiserais Terre2Dieu. Je lance la croisade pour la semaine prochaine. J'aurais le temps de me reposer avant cette guerre. Gagnée d'avance, je gagnerais VITE et BIEN.

Créé par ALH1995 le 16/05/2008 | Evaluer ce scenario
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CROISADE HERMAPHRODITES

Franchement, cette croisade a été une ballade de santé. Jamais faire la guerre n'auras été aussi tranquille! Effectivement, il existait d'autres villes de ces êtres étranges mais ils ne se souciaient que d'eux. Mon arrivée fut fracassante. Un de mes serviteurs prit contact avec leur misérable cité et ils répondirent à coup de lances. Alors je prit d'assaut leur ville. En deux mouvements, je tuais et tranchais nombre d'ennemis. Ils étaient bien trop lents pour me toucher. La ville rendit les armes et intégras mon royaume naissant. Désormais, je partit avec une petite armée manants pour lorsque je serait fatigué de combattre et conquis toutes les villes que je rencontrais. Un culte de ma personne s'y développais et je pouvais la laisser ainsi sans craindre de rébellion.
En quelques semaines, je fut maitre de tout le continent que j'avais découvert. Mais qui dit continent dit mer, et qui dit mer dit autre terre...
C'est décidé, je vais relancer une croisade formidable par delà les mers et personne ne pourras s'opposer au nouveau maître de ce monde, MOI.

Créé par Bolapoil le 06/06/2008 | Evaluer ce scenario
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DEBARQUEMENTS HERMAPHRODITE

Je fit construire de grands navires de guerres richement ouvragés et pouvant contenir de nombreux manants et vivres. Je ne connais pas l'étendue de cette planète, je préfère donc avaoir des réserves. Avant de partir, je fit quelques coups d'éclats dans mon royaume par quelques sacrifices pour ôter l'envie de révolte qui aurait pût leur rester. Mieux vaut être prudent. Bref, le départ arriva et la traversée dura deux semaines. Il y avait peu de vent et mes sujets durent ramer, ce qui ralentit le voyage. Nous débarquâmes sur une terre absolument identique. Après trois jours de recherches, les éclaireurs trouvèrent des villages. Je leur rendit une petite visite avec une partie de mon armée et trouvit les mêmes créatures que dans mon royaume. Finalement, moi qui m'était attendu à des nouvelles créatures, je fût déçus! Mais peu importe! Celà seras aussi simple que sur l'autre continent! Dans quelques mois, je gouvernerais un second royaume et si tout se passe bien, je serais bientôt le Dieu tout puissant de cette planète!!

Créé par Bolapoil le 22/06/2008 | Evaluer ce scenario
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CIVILISATION HERMAPHRODITES

Les annexions continuèrent tranquillements mais un détail m'interpelas : plus je progressait vers le centre de ce continent, plus les villages grandissaient, plus ils étaient protégés et plus les habitants résistaient à mes attaques. La dernière ville que j'abatit était protégée par de hauts murs d'adamantine et les soldats étaient armés de piques et d'arcs. Tout celà me fait penser que ce village faisait partie d'une communauté.
Enfin des rebondissements! Je n'étais tombé que sur des éxilés ou des isolés car j'ai remarqué que les manants ne s'aventurent jamais dans la mer. Voilà un peu de piment dans cette croisade! Mais personne ne me resisteras, quelle que soit son degré technologique! Je balayerais tout ce qui se présenteras devant moi! Desormais, pas de pitié, pas de prisoniers, pas d'annexions! je rayerais cette civilisation de ce continent car il n'existe qu'un seul maître, un seul dieu : MOI .

Créé par Bolapoil le 24/06/2008 | Evaluer ce scenario
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RESISTANCE HERMAPHRODITE

Saletés de dégénérés de la nature! Ils me le paieront tous ces être infâmes! La capture d'une ville vient d'échouer! Alors que je m'avancais vers une ville banale, une armée est apparue et s'est opposée à moi! J'ai pût tuer nombre d'ennemis mais leur nombre m'a obligé à battre en retraite car je commencais à fatiquer! Et mes manants n'étaient pas assez rapides pour me sauver. Il va falloir que j'entraine mes troupes et que je les équipent d'armes et d'armures. Je vais créer des armes de siège et de grandes usines! je vais développer une industrie de la guerre, ces manants deviendront des guerriers puisqu'apparement, je ne pourrais devenir le maître du monde par mes propres moyens.
Maudits soient cette race! Qu'ont-ils à résister? Je viens leur apporter la délivrance et ils refusent? Ils mourront tous! Tous! TOUS !! Et il ne resteras plus que MOI !

Créé par Bolapoil le 07/07/2008 | Evaluer ce scenario
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Vengeance Hermaphrodite

Et voilà! J'ai enfin réussit! Après trois années de campagne, de sièges longs et fastidieux et de grandes batailles, j'ai réussit à tuer ce maudit dégénéré qu'ils nommaient leur Roi! Je suis désormais à la tête de cette planète car j'ai découvert que c'était la seule espèce existant. Désormais, je vis dans un palais de rubis et de merveilles, il est gigantesque, j'ai toute la nourriture que je veux et en plus, pour me distraire, j'ai crée des combats à mort dans une arène. Ca m'occupe le temps entre deux voyages punitifs pour leur rappeller qui comande à ces manants!
Je suis enfin leur Dieu, leur Roi, j'ai le Pouvoir !!!
MOI, MOI et rien que MOI qui commande!!!!

Créé par Bolapoil le 13/10/2008 | Evaluer ce scenario
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Commencons par le commencement

Appelons le martien "M", et la Jupiterienne "J". M et J se sont rencontrés lors d'un voyage extra solaire. Se sont de suite plu, mais la loi inter galactique, interdit tout mélange des "races". Personne n'en connait la raison. M et J se mettent alors à la recherche de la réponse. Ils veulent savoir si ils risquent quelque chose à rester ensemble. Ils se donnent RDV à la grande Bibliothèque d'Alexandrie, sur la planète Terre. M arrive en 1er et se faufile discrètement près des manuels d'histoire. Il faut savoir que les martiens étant reconnus pour leur esprit scientifique, il est assez rare de les voir avec un livre d'histoire à la main. Il cache donc un livre d'histoire à l'intérieur d'un livre de science martienne. J'arrive à l'instant ou "M" s'assoit. Elle l'apercoit, mais, n'ayant droit à aucun contact direct, va prendre un nouveau livre d'histoire. Elle s'installe non loin de "M", et commence à feuilleter rapidement son livre intitulé "Histoire de Jupiter" autorisé par le Prince de la Galaxie, Actarus, premier du nom. "J": Je ne trouverais jamais rien dans ce livre là. Tant que les livres sont autorisés, cela signifie que je perd mon temps. Elle se lève, et passe discrètement près de"M" Elle laisse tomber son livre ; aussitôt "M" se baisse pour le ramasser. En le lui rendant, il sent un bout de parchemin se glisser dans sa main. Il se redresse, et reprend sa lecture, en déroulant discrètement le bout de parchemin. "Rejoins moi dans la Reserve" Il se lève, ramasse ses 2 livres, les remet à la place, tandis qu'il cherche "J" des yeux. Il l'aperçoit et la rejoins devant une grande grille. Ils se regardent de loin et se comprennent. "Nous ne pouvons entrer ici maintenant, il y a trop de monde. Nous devons attendre la nuit" Ils passent alors tous les 2 en mode invisibles, et attendent. Les portes se ferment les unes après les autres, tandis que le soleil se laisse tranquillement tirer à l'autre bout de la Terre. Le dernier rayon de soleil éteint ; M et J attendent de voir passer le gardien, puis, se faufile entre les barreaux de la Réserve. Soudain, un bruit se fait entendre derrière eux. Ils se retournent et se trouvent né à né avec Actarus, premier du nom. Enfin, pas exactement Actarus ; avec son hologramme. "Qui vient troubler mon repos ?" s'exclame l'hologramme! J pousse un petit cri de frayeur, qui amène le regard froid d'Actarus vers elle. "Une Jupiterrienne voyez vous ca. Et que viens tu faire ici?" demande t'il en s'approchant dangereusement. "Ne vous approchez pas d'elle" s'exclame "M" en s'interposant. "Un Martien? Je vois très bien. Pourriez vous me dire ce que vous faites ici tous les 2." "Nous, nous " bredouille J, "nous cherchons des réponses" "Tais toi! " s'exclame "M" "Des réponses à quelles questions ma petite?" demande Actarus avec sa voix la plus mieilleuse. "Nous voulons savoir pourquoi nous n'avons pas le droit de vivre ensemble" poursuit-elle dans un souffle. "Très interessant, vraiment trés interessant. Et vous pensez trouver la réponse ici, c'est bien cela? Et bien sachez que vous avez eu raison de venir ici, car c'est effectivement le seul endroit ou vous pourrez savoir. Malheureusement, dit il d'un air sarcastique, je suis vraiment navrée de vous apprendre que vous ne pourrez rien obtenir dans cet endroit. Et pourquoi cela? Et bien, parce que cette réservé étant interdite ; elle n'a plus lieu d'être ; je vais donc la bruler. A ces mots, la bibliothèque s'enflamma d'un seul coup. M chercha J du regard. Il ne la trouvait pas. Il l'appela de toutes ses forces. J ne voyait plus rien. Etant plus éloignée du soleil que M, elle n'avait pas l'habitude d'une chaleur aussi intense. M l'aperçut devant une étagère de livre qui commençait à vaciller. Il courut, la pris dans ses bras, et se téléporta jusqu'à son vaisseau. A toi! (désolée, je suis partie complètement en live! Si tu ne veux pas continuer, tant pis!)

Créé par lemondemilie le 23/10/2008 | Evaluer ce scenario
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BOUQUET FINAL

J'ai beau être leur Dieu, leur Roi, mais je ne suis qu'une créature mortelle... Je vieillit et mes forces me quittent, je m'en rend compte... Et Eux aussi... Je commence à être inquiet, j'ai observé des attitudes étranges, des regards observateurs... J'ai l'impression qu'ils complotent contre moi.... Mais je leur réserve une petite surprise... S'ils tentent quoi que ce soit, je ferais exploser ce maudit palais! J'ai truffé d'explosifs et de poudre tous les murs! Une simple allumette mettrait le feu aux poudres et c'en serait finis de ces conspirateurs! Ils ne m'oublierons jamais! Même dans la mort, je rsterais maître de mon destin! MOI, MOI, MOI!!
Il n'y a que MOI!!!!

Créé par Bolapoil le 16/11/2008 | Evaluer ce scenario
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Pulsation

- Tout le monde va bien ?
Les collègues répondirent que oui en sortant de dessous leurs bureaux.
Ernst, se releva. Le tremblement de terre était sensiblement identique au précédent, il y avait 24 heures. Il n’avait jamais connu de tremblement de terre, pas en Allemagne ! Il dirigeait une équipe de 8 météorologistes, proche de Strasbourg et de la frontière française. Bon job. Cela lui permettait de vivre et de financer son divorce. Belle maison, voiture de sport, jogging avec les amis le Dimanche et vacances en Polynésie, conférences en université et deux livres sur le réchauffement climatique… une routine confortable s’était installée jusqu’à ces 24 dernières heures.
Le premier tremblement de terre avait provoqué une panique générale en Europe et dans le monde sans causer de réel dégâts. L’épicentre semblait venir du centre de la terre, sur le noyau même ferreux, et avait fait trembler la croûte terrestre partout. Un petit tremblement de quelques secondes, sur une échelle peu importante mais suffisante pour faire bouger un verre d’eau sur une table. Suffisante également, pour amorcer mystérieusement un changement de la magnétosphère, et bouleversant les données climatiques.
Ernst n’avait pas dormi depuis 24 heures, analysant sans cesse les nouvelles données, correspondant avec ses homologues qu’il connaissait, de tous les pays, essayant de projeter des simulations à longues échéance sur les variations climatiques. Selon les dernières analyses des satellites, le golf Stream se décalerait vers l’équateur. John, un ami de l’institut sismographique de Los Angeles lui transmettait régulièrement par mails des données sur les tremblement de terre. Le dernier mail, sous ses yeux n’étais pas réjouissant. Les volcans sous-marins d’Hawaï et de la zone Pacifique se réveillaient un par un. Il commençait à neiger sur Los Angeles… Nous étions au mois d’août.
Donnez moi les derniers résultats pour Los Angeles criât-il à ses collaborateurs affairés au téléphones.
Los Angeles, j’ai ! dit Mark, spécialiste des orages. Courbes isobariques à 900 Hp, vent fort, 5° Celsius précipitations de neige en provenance de la mer. Curieux ça, à 80 km il fait 30° 1000 Hp temps clair nous avons une aberration de plus ! Ernst approuva en hochant la tête plusieurs fois. Ce n’était pas compatible avec sa dernière simulation.
Nouveau mail de John : « tu devrai regarder la télévision… Notre président s’exprime en direct, votre chancelier ne devrai pas tarder… »
Ernst parti dans la réserve à papier imprimante et en ramena un gros téléviseur. Il le lâchât littéralement sur son bureau. Le bruit sourd fit sursauter tout le monde… Il brancha la prise et alluma le poste… En effet un communiqué spécial annonçait l’élocution officielle.
L’équipe de Ernst se leva lentement, en silence et se mirent devant l’écran.

« Mesdames, messieurs, comme vous le constatez, nous avons une période singulière sismique dont l’épicentre se trouve au centre de la terre. C’est dans le plus grand calme, et je remercie tout à chacun que nous faisant face à cette situation peu banale. Nous ne déplorons fort heureusement aucun blessés et aucune destruction majeure due à l’activité sismique. Je remercies la vigilance de chaque instants, des nombreux volontaires qui…
Ernst secoua la tête… ces collègues l’imitèrent dans un message implicite, la préoccupation du climat en bouleversement ne serait pas abordé ! Voilà bien la langue de bois sur son pilier médiatique !
« …Nous travaillons avec les pays du monde entiers depuis 24 heures à la compréhension de ces phénomènes nouveaux. Je prie chacun d’entre vous de rester calme, ainsi… »

Ernst arrachâ la prise du téléviseur, et sautat sur le téléphone… il mit le Haut parleur pour que la conversation soit entendue de tous.
- John ? Salut mon vieux… j’ai regarder la télé, heu pas d’informations de notre coté !
- Ici non plus… il cachent l’information.
- Que se passe t’il donc ?
- C’est incroyable Ernst le noyau central de la planète, il est en vie !
- Hein ?
- Oui nos analyses pas sondes neutrino montrent un cœur qui bas sous la couche liquide externe du noyau ! la graine centrale est solide, c’est du métal mais c’est en vie ! 100 kilomètres de diamètre et ça vit malgré les 5000 ° environnant ! je… je ne sais par quel miracle…c’est fou ! A plus tard il faux que j’y aille…
- A plus murmura Ernst en regardant médusé ses collègues, ébahis eux aussi, les yeux écarquillés…

Heu… on fait quoi Ernst, demanda Mark ?

Hé bien on va essayer de créer une simulation valide climatique sur les prochaines 24 heures… et prévenir le gouvernement de l’imminence d’un bouleversement majeur si la tendance au refroidissement continue.
Nous avons une planète vivante, il y a un cœur qui bat sous nos pieds. J’espère juste que nous ne l’avons pas réveiller pour de mauvaises intentions, ou par nos actions inconséquentes…explosions nucléaires souterraines, pollutions, saccage écologique… Notre planète est en vie. Aussi incroyable que cela puisse paraître, il y a un cœur qui bat sous nos pieds, et nous effleurons une vie à chacun de nos pas. Et j’ignore si cette vie nous permettra encore un lendemain, où si nos mauvaises actions ont déjà décider de l’avenir. Quelque soit cette vie, capable d’exister à de telles températures, je pense que cela changera définitivement le regard que l’on porte tous les jours à l’horizon…

Créé par karquen le 02/11/2007 | Evaluer ce scenario
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Somatica

Je rentrai du travail, éreinté par les transports en commun, davantage que mes activités ne m’épuisaient. J’étais contrôleur des robots-contrôleurs à l’usine Paris-Rangoon, spécialisée dans les canettes d’aluminium. J’envoyais mon veston sur un canapé, lisait le courrier sans le lire, me dirigeât au réfrigérateur de la cuisine américaine, et pris une bière bien fraîche… Pim’s mon chat vient me rejoindre avec quelques "mâa" suraiguës et m’accompagna sur le fauteuil, face au grand écran du Virtumundi, la télévision hypnotique allouée par le gouvernement gratuitement. Posant au hasard les yeux sur le sol, je remarquais une cartouche à visions encore dans son emballage. C’est Fred, le vieux vendeur de vidéo, reconverti aux cartouches de l’Etat depuis les années 2000 qui me l’avait glissé dans la poche en me disant « tient, tu essaiera ça »… je n’y avait plus penser. Il traînait là depuis un mois sans doute… Un sacré routard le Fred, il trempait toujours dans des combines extraordinaires pour dégoter des livres interdits, des films anciens expurgés par le régime Néo-Boursier. Fatigué, je me massais la nuque, ramassa la cartouche et le soupesa… pourquoi pas me disais-je…
Je n’aimai pas l’écran Virtumundi. Les films transpiraient de propagandes, hypnotisaient pendant deux ou trois heures le malheureux spectateur, qui se réveillait chargé d’un optimisme virtuel jusqu’au lendemain… Drogue du visuel, drogue consensuelle… Drogue d’oubli sur fond de solitude.
J’avais besoin de me sentir loin de moi même… m’oublier, perdre mes repères au moins une journée. Tant pis, entrons dans la petite mort ! soupirais-je…

Je mis la cartouche dans le chargeur en bas de l’écran, m’installait confortablement dans le fauteuil en finissant la bière. Pim’s vint se caler sur mes genoux.
Ecran noir… tient pas de publicité ? Cette simple idée me réjouissait un peu.

Le visage d’une femme apparut lentement sur le fond noir. Elle souriait de ce sourire franc, légèrement ironique, qui marquais les esprits. Jeune, peut être 35 ans, pommettes roses, menton léger et arrondi, le regard noir, intense et brillant, mêlant l’acier à l’étoile la plus brillante. Elle avait les cheveux noirs, bouclés retombant en frisottis le long de ses larges joues, comme des vagues sur deux mers de sables… Elle semblait me regarder comme si j’eut été réelle pour elle, avec se sentiment étrange d’être scruté, analysé du regard pénétrant jusqu’au fond de mon âme…

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Créé par karquen le 03/11/2007 | Evaluer ce scenario
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Somatica 2

C’était la femme de l’écran. Elle s’arrêta à quelques mètres de lui. Ses cheveux bouclés ondulaient sous le soleil. Une brise légère et chaude soufflait sur la plage.
Bonjour Grant. Je suis Shanea, dit elle essoufflée. C’est moi qui est pris en charge votre transfert. Vous avez fusionné avec votre chat, c’étais le seul moyen pour effectuer une transition de monde parallèle en une seule fois. Nous pourrons vous redonner votre identité autonome et redonner vie à votre chat si vous le voulez, dans quelques temps. Vous avez garder toute votre apparence humaine. Il vous faux un temps d’adaptation.

Grant se leva et serra la main de son interlocutrice. Bonjour Shanea. Ces double messieurs-dames sont des amis ?
Oui, ce sont des Symbioz. Ils ont choisi de fusionner à deux. Ici, sur Somatica, on choisi qui l’on veux être et comment on veut être. Ils sont les gardiens de la plage d’arrivée. Ici c’est comme… un débarcadère d’arrivée pour les nouveaux venus. Mais il arrive que des individus forcent cette entrée, beaucoup de mondes parallèles envoie des émissaires de négociations ou d’invasions. Les Symbioz nous protègent en renvoyant ces gens d’où ils sont venus. Nous ne négocions jamais.

Grant observait les alentours avec une acuité jamais ressentie jusqu’à ce jour. Sa double perception homme-chat lui procurait un sens de l’observation aigu, une faculté d’analyse supplémentaire sur tous les mouvements, et un perception presque extra-sensorielle sur les intentions des êtres autour de lui. Routine, se dit il en observant les Symbioz. De grands arbres fleuris derrières les dunes, ne montraient que leurs cimes en se balançant mollement. Ils avaient de larges feuilles et des pompons bleus, pointant sur un ciel gris-rose. La plage de sable blanc s’étendait sur plusieurs kilomètres, bordé de ses hautes dunes où quelques buissons jaunes s’épanouissaient. La mer verte, étale, faisait quelques clapotis doux et Grant percevait la chaleur de l’eau… 25° se dit il. L’horizon était un peu plus courbe que sur la terre, et faisait au loin une douce transition de couleur, sous le soleil unique, avec le ciel gris-rose. Petite planète se dit-il, il ne devait pas y avoir de saisons.

Les Symbioz saluèrent Grant, et se retirèrent derrière les dunes comme ils étaient venu, dans une pirouette sphériques hyper-coordonnées, ou chacun roulaient en parfait accord avec les autres. On eut dit un vol d’étourneaux, la masse se dirigeant d’un seul bloc, chaque individu ayant cette faculté de mouvement combinatoire insolite, presque un langage unique du mouvement - un seul organisme pensant -.

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Créé par karquen le 05/11/2007 | Evaluer ce scenario
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Somatica 3

Grant se réveilla de bonne humeur. Il ne savait pas combien de temps il avait dormit. Le soleil brillait par la fenêtre où réverbérait doucement les toitures de nacre des grandes battisses. Il se remémora chaque étapes de son arrivée, la voix suave de Shanea, résonnait encore : « temps d’adaptation… il suffit de le vouloir… »
Il se dirigeât ver la table massive encore chargée de victuailles. Il caressât la table en pensant très fort à une bouteille de lait. Dans une petite nuée argentée une bouteille de lait apparue par enchantement. Il s’en délecta consciencieusement, en buvant le litre complet par petites gorgées. Requinqué, il prononça un « bon, allons s’y » empreint de jovialité et d’enthousiasme. Il ouvrit la grande porte de l’appartement et se retrouva sur un pallier de marbre vert d’une trentaines de mètres de large, autant de long, ornée au bout d’une sublime rampe de fer forgés. Le plafond rayonnait doucement de sa lumière chaude et conférait à la surface de marbre un aspect lisse ciré. Utile de se déplacer par la pensée se dit-il, en voyant l’espace démesuré des lieux. Grant hésitait pour autant à vouloir se déplacer mentalement. L’expérience de la bouteille de lait étant une chose mais une téléportation en était une autre. Il dévalait les dix étages sans croiser personne. A chaque palier se trouvait un appartement mais il n’osai frapper à la porte de ceux-ci en inventant un motif illusoire. Le hall d’entrée, du même marbre vert donnait directement sur la rue pavée. Des badauds passaient tranquillement vaquant à des activités mystérieuses. Il se décida à interpeller l’un d’eux.
Heu bonjour monsieur, je…
Ha Bonjour Grant ! Bienvenue ! vous vous adaptez bien ?
Heu oui, très bien…vous me connaissez ?
Biensur ! ici tout le monde se connaît. Pourriez vous vous déplacer de quelques centimètres ? Vous marchez sur Théosus…
Grant leva les pieds et bougeât de quelques pas.
Quelle ne fut pas sa stupéfaction quand un des pavés devant lui se couvrit d’une bouche et lui dit simplement « merci » !
Oui Théosus à décider d’être un pavé aujourd’hui. Au plaisir Grant, je dois aller au Pinacle pour choisir de nouveaux collecteurs, je suis déjà en retard… Il disparu dans le vide.

« Au plaisir » dit Grant en baissant les yeux sur les pavés, encore intrigué de cette discutions surréelle. Il enfila les rues larges en observant les longs bâtiments, les halls d’entrées, sans portes, en marbre de différentes couleurs. Les hautes battisses possédaient des murs massifs ornées de colonnes corinthiennes, de sculptures reprennant des décorations végétales de grande richesse, avec des chapiteaux splendides ou des corniches un peu plus épurées. On eut pu se promener à Athènes dans l’antiquité, que le spectacle grandiose ne surpassait pas l’immensité d’Horol, la qualité des détails sur les volutes, les cannelures prodigieuses de beauté et de précision.

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Créé par karquen le 06/11/2007 | Evaluer ce scenario
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Somatica – Epilogue

Grant et Shanea se matérialisèrent sur le toit de l’arche gigantesque à l’entrée de la ville.
Ils se tenaient par la main, semblant ne plus vouloir se lâcher, hésitant à faire le moindre mouvement. Ils contemplaient tous les deux Horol, la vaste ville qui s’étendais sous leurs regards. Une brise légère et chaude passait dans leurs cheveux. Le soleil irradiait doucement derrière eux, donnant une couleur douce, légèrement cuivrée à l’ensemble de la ville, des rues et des boulevards. Au loin, contrastait dans une brume de chaleur un fond verdoyants foncé, les immenses forêts d’Horol.
- Tout ceci, est toi, moi et les autres dit Shanea… Tout ceci c’est Nous.
- Je ne comprend pas. Nous sommes où par rapport à la terre ? dans une dimension parallèle ? nous sommes sur planète dans son futur ? son passé ?
- Nous sommes où nous avons toujours été… en Nous. Horol est un monde constitué de notre cerveau. Il est un lieu inaccessible ordinairement. Tu n’as pas bougé de chez toi Grant, en ce moment tu te prépare à aller travailler, comme d’habitude. Ton chat Pim’s est endormi sur le grand fauteuil. Mais ton désir de nous rejoindre a été plus fort, tu à emmené Pim’s avec toi, et vous voici libres. Tu as fait un choix hors des choix, tu as dépassé ton propre concept, tu as abandonné tes doutes, tu à rejoint cette énergie par la seule voie des possibles, jusqu’à l’impossible. Et tu es là…

Grant comprenait enfin, pleinement, avec une clairvoyance fabuleuse, comme si il eut toujours connu Horol, sans pouvoir y accoler des mots, des émotions.
Horol était son cerveau ! un véritable univers ! avec ses galaxies, ses étoiles, ses nuées ; cachés dans l’organisation holographique de la matière. Chaque synapses, chaque récepteurs, chaque atomes, chaque quarks lui révélait une planète, un système solaire, un amas galactique… Un univers miniature comprenant les deux hémisphères, entièrement dédiés à une vie animale, à une conscience humaine, sa mémoire, son subconscient, ses interactions avec un monde basique. Et, sous-jacent, dans une forme inédite de construction, un univers fabuleux, insoupçonné, avec des lois physiques défiant la compréhension. Les individus ayant pris conscience et rejoins cet univers parallèle pouvaient communiquer entre eux, vivre et ressentir hors du temps.
Grant et Shanéa s’embrassèrent longuement.
Un miaulement rapide et aiguë se fit entendre derrière eux. Sur la corniche, Pim’s se léchait la patte et ses grand yeux félin les regardait de temps en temps, on eut dit qu’il souriait.

Créé par karquen le 10/12/2007 | Evaluer ce scenario
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« Vous venez d’entrer… dans la 4ème dimension »

Il y a des soirées comme celles-ci où l’on se demande ce qu’on fait sur cette terre. C’est du moins ce que je me disais cette nuit où la page blanche montrait fièrement sa brillance éclatante, comme pour me dire: "Héhé ! Cette fois-ci, tu ne saliras pas ma virginité avec la noirceur de tes mots contant une histoire insipide."

L’heure avançant, je compensais cette clarté irritante par l’obscurité bienfaisante de mes yeux clos.

Soudain, la sonnerie de mon réveil déclencha une réaction chimique à l’intérieur de mon cerveau dans laquelle les neurones actifs chassèrent les inactifs.

Je m’empressais de l’éteindre. Il m’avait cependant semblé ne pas me souvenir de l’avoir allumé avant mon endormissement, tout comme je ne me souvenais pas d’avoir mis hors service mon ordinateur. Mais qu’importe ! Une nouvelle journée venait de commencer et je devais vaquer à ma préoccupation première : Prendre mon petit-déjeuner.

Vision de brouillard, yeux mi-clos supportant difficilement la lumière, je « fonctionnais au radar » comme on dit.

Comme d’habitude, j’ouvrais le placard et cherchais mes deux barres de céréales soufflés et compactés. En lieu et place de mon sésame, se trouvait une boîte de chocolat chaud en poudre. Mon cerveau n’acceptant pas cette information saugrenue, mes yeux continuaient de chercher mes barres de céréales.

Je m’étais finalement rendu à l’évidence et refermais le placard. Puis, finalement, je me suis mis à penser qu’un bon chocolat chaud ne me ferait pas de mal. Je fis bouillir de l’eau dans une casserole, sortis un bol, la boîte de poudre à côté, une grande cuillère et attendis…

C’est alors que certaines questions commençaient à s’imposer à mon être. Il me semblait avoir en réserve des barres de céréales. Et depuis quand ai-je acheté du chocolat chaud ? La dernière fois que j’en avais bu, c’était durant ma tendre enfance.

Je somnolais sur mes questionnements lorsque le contact de l’eau bouillonnante et de la paroi froide du poêle me ramena à terre.

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Créé par Schopen le 08/11/2007 | Evaluer ce scenario
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Changement : Le lecteur au troisième oeil, je te salue

Le monde changea. Tout organisme muta. Les minéraux se développèrent pour penser. Les végétaux se développèrent afin de devenir mobiles. Les animaux se développèrent pour devenir conscients. Les Hommes se développèrent pour utiliser à 50% leur cerveau. Les sages se développèrent pour utiliser leur cerveau à 100%. Les anges se développèrent pour pouvoir mieux agir sur leurs clients. Les élèves dieux se développèrent pour être plus compétents et s'entraider. Les dieux se développèrent pour aider tous les mondes. Les galaxies se développèrent pour garder longtemps encore en vie leurs étoiles (telles que le soleil). Les univers se développèrent pour se réunir en un unique univers détenteur de la vérité de la création des galaxies. Les lecteurs se développèrent pour avoir un troisième oeil afin de lire plus vite les lignes qui défilaient devant eux et voir les sens cachés entre les mots. Si vous n'avez pas de troisième oeil, ne vous prenez pas pour un dieu, prenez vous seulement pour un élève dieu important.

Créé par ALH1995 le 11/05/2008 | Evaluer ce scenario
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