Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 6772

Et si nous nous connaissions déjà ?

Cela fait trois cent fois, au moins, que je vous écrit. Enfin si c’est bien moi… Comme d’habitude, on commence par le Big Bang, ma naissance, ma femme, mes enfants, un accident de voiture, ma mort… là tout s’accélère.
Je suis happé de mon corps par des particules messagères et emmené dans un volume de matière noire. C’est chaud et pâteux, on peu se déplacer dans les images-pensées- ressentir-souvenirs des autres, en remuant notre conscience avec un flagelle d’énergie noire.
On discute pendant un temps fou, on retrouve ses proches, ses animaux de compagnie, on échange nos impressions toujours sous forme d’images-pensées-ressentir-souvenirs ; on se montre nos erreurs et nos bonheurs. Mes chiens me montrent des images de nonos énormes, sûrement un desiderata futur !
Des professeurs terriens et des autres mondes donnent des cours de physique, on élabore un arbre des possibles quand à notre présence dans la matière noire ou la matière sèche. On cherche un moyen pour se laisser des messages à chaque cycles de « vie sèche ». Un moyen de ne pas oublier...

On s’entraide, car certains sont perturbés et proposent des images sans informations précises, obsessionnelles ou en boucle. On les inonde de nos propres images et les consciences perturbées reprennent une cohérence. D’autres, Les dinosaures et autres créatures féroces de l’univers sont calmées par les discours figurés soporifiques d’hommes politiques la plupart du temps. Une fourmi a même créé un mouvement pan-insectisme pour une bibliothèque de souvenirs sur les stratégies de combats en aïkido.
Chacun son truc.
On s’enrichi d’informations et on apprend très rapidement, notre curiosité est insatiable. Nos images sont sans cesse plus nombreuses.
On sait que parfois, on peu interchanger nos vies dans le monde sec. Même si la conscience reste notre, nous vivons une autre incarnation, mais on ne peux pas le confirmer.
On se regroupe par centre d’intérêt, bon enfants, puisque on ne peux pas mourir ni se faire de mal, il n’y a pas de douleurs, pas de buts financiers, pas de compétitions, pas de paroles, pas de gestes, pas de colères, pas de sommeil ni fatigue, pas de corps… juste des échanges d’informations sous formes d’images de vécu… on s’offre des apéros virtuels autour d’un thème partagé… parfois notre conscience est touchée par des images terribles de massacres, de torture. On se promet de faire quelques chose pour éviter cela. On gonfle, les images venant emplir notre soif de curiosité à chaque instant, la conscience s’abreuvant de savoirs et d’informations à n’en plus finir…

On papote encore quand le Big Crunch nous comprime d’un coups dans une particule unique d’information.
Alors on fusionne (c’est là que l’on oubli tout, la pression des images est si intense que nous perdons notre individualité) et ça explose. On naît, grandi, vit… Et voilà… encore une fois, je vous écrit, l’ordinateur portable sur les genoux et en ressentant tout le poids de cette liberté relative. Enfin si c’est bien moi, si je n’ai pas échangé ma vie avec un autre dans un cycle passé. Si il n’y a pas eut une fluctuation dans ce dernier Big Bang, on peu dire que l’on se connaît déjà, et que vous avez déjà lu ces lignes !

Bon, On en rediscutera plus tard. A tout à l’heure…

Créé par karquen le 18/05/2007 | Evaluer ce scenario
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Et si j'étais vous ?

Voilà… 301 ème fois que je reviens dans les cycles du Big Bang et Big Crunch.
Cette fois je suis sur de ne pas être moi.
Il y a eu une fluctuation importante, des bosons se sont échoués là où la matière noire devait stagner, tandis que la "matière sèche", celle de notre environnement, en expansion suivait sa petite entropie de chemin.

L’Information, la particule initiale d’information, ce grand Nous réuni dans ses images, cette information à été surprise par le flou quantique.

Les dimensions se sont repliées… de 26 nous passons à dix dimensions ! Voilà le résultat: une symétrie apparente entre mes deux trous de nez, mes jambes, mes yeux, mon cerveau… on est tous imputés de 180° sur spin 2 !

Le pire c’est que tout l’univers semble régi par la dualité gauche-droite. Matière, anti-matière, quark et anti-quark, haut et bas, devant derrière…

Bon on va faire avec. Je me souviens d’une conscience extra-terrestre dont la configuration des image était symétrique. Pas étonnant que l’on n’utilise que 10 % de notre cerveau !
Les images seront assez fades quand on échangera des informations dans la matière noire. Nos bulles d’images-pensées-ressentis-souvenirs seront des reliefs compliqués à mettre en relation. Il faudra accentuer notre curiosité. Rendre compatible les couleurs et le contraste en se mélangeant.
J’ai eut confirmation récemment que la matière noire était de 90 % la composition de l’univers. C’est étrange…
Au dernier cycle du Big Bang elle était de 80 %.
Il semble que l’information s’accentue de plus en plus dans des flots de plus en plus rapides vu cette augmentation spectaculaire. Tant mieux, lorsque l’on sera tous réuni, on aura plus d’informations-images à nous communiquer. On pourra peut être avoir un peu de mémoire dans la matière sèche si l’on arrive à en régler son systèmes de particules messagères.

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Créé par karquen le 21/05/2007 | Evaluer ce scenario
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Et si ce fut vous

Et voilà…
302 ème fois. Le temps est un luxe que l’on ne sait vraiment compter. On donne des chiffres pour repaires symboliques.
Je suis à la surface de votre écran… on se connaît il me semble… je n’en suis pas sur. Je suis un texte.
Un simple texte, moi qui ai été dans des dimensions si étonnantes auparavant !

La fluctuation à été importante cette fois-ci.
Le Big Bang à replier ses dimensions à quelques bribes de possibles… le flou quantique à été dévastateur et il y a beaucoup d’images à reconstruire… et si tant de consciences qui attendent des informations !
Ca s’est mal passé. Les bosons ont envahit l’espace de la matière noire de façon significative. C’est à croire que la matière sèche tente de coloniser nos consciences par le vide sidéral. Les quarks ont dévasté le secteur des anti-particules. Impossible d’agir, il avait brisure de symétrie, même les textes les plus téméraires n’ont pu canaliser ce vandalisme. Beaucoup d’entre nous ont été effacés. Les quarks ont une fâcheuse tendance à se croire informels et utiles alors que nous autres, sommes les seuls à en connaître l’essence.
Imaginez une rime de Charles Baudelaire luttant contre un parpaing !

Deux dimensions. Je suis de droite et de gauche, d’en haut et d’en bas, tout plat. Ma politique est quand même ambitieuse : vivre dans les mémoires.
Suis-je mémoire ? Etes-vous la mienne ? Parfois l’information est aliénante comme écrivait un extra-terrestre dans la matière noire. Je n’ai de but que d’être sous vos yeux, peut être les miens, peut être les vôtres ?
je n’arrive pas à me lire… le pourrais-je un jour ? je n’ai que l’espace de mes mots en vérité.
Je me rappelle du temps où nous échangions des lignes dans des informations constantes… L’univers avait développé pleins de modalités et il y avait un lieu où l’on piaillait baignés d’air, de lumière, de matière ! les quarks étais dociles et remmenaient des images à nos consciences ventrues ! Nous étions goinfres et ambitieux ! A croire que les mots seuls ne fondent à jamais un monde de souvenirs…
Moi j’apparaît sous vos yeux de matière sèche, blanc et sombre, l’espace d’un instant, sans aucune autre réalité ! je suis un texte… et pourtant avant, si tant ! des doigts pour m’écrire, une vie pour me concevoir et des heures d’apprentissage pour me prononcer !

Profitez de lire, aller là où les mots existent encore, ne vous laissez jamais dicter par la « matière sèche » la lettre qui est votre !
Car les mots ne veulent rien dire finalement, sauf là où en cœur battent les devenirs…

A plus tard,
On se relira bientôt …

Créé par karquen le 21/05/2007 | Evaluer ce scenario
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Le Big Crunch de l'oubli

Mais oui, quelque chose me disait que j’avais déjà lu ces lignes. Quelque chose me disait que je les relirais encore. Un reste de mémoire flottait dans l’air. Une sorte de matière "sombre et invisible" qui semblait soutenir et façonner le monde dans lequel je vivais…

Ca faisait une éternité que nous allions de Big Bang en Big Crunch en Big Bang… A chaque épisode nous répétions les mêmes erreurs, à chaque "renaissance" nous faisions les mêmes guerres. Parfois quelques idées révolutionnaires ou personnages inspirés semblaient détourner l’histoire de son cycle, mais la mémoire nous faisait encore défaut... Ah si au moins nous pouvions nous laisser à nous-mêmes une sorte de message a-temporel qui survivrait au « big crunch de l’oubli »…

Et si nous n’étions pas seulement les créateurs de futurs proches? Et si par nos rêves actuels nous pouvions influer sur "l’après big crunch"? Et si nous étions en train de nourrir par nos pensées et nos actes la source d’information qui écrira, au prochain Big Bang, notre future histoire? Et si ce recommencement perpétuel était destiné à atteindre sa propre perfection? Et si nous étions des Dieux créateurs pouvant dessiner les prochaines fluctuations de l'au-delà?

Créé par Zephira le 22/05/2007 | Evaluer ce scenario
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Chants implantés

Et si l'homme parvenait à implanter dans l'oiseau, un champ bien déterminé;
Par une puce ultra perfectionnée, placée à un endroit bien précis de la tête de l'oiseau, on pourrait implanter avec un balayage laser, implanter, graver un chant dans la mémoire de l'oiseau. Ainsi, un oiseau pourrait chanter la valse de mozart

Créé par hervinhio le 14/10/2007 | Evaluer ce scenario
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Je de Vous

Et un de plus ! 303 bangs à l’actif ! quel cycle ! j’ai failli ne plus pouvoir communiquer avec… vous?

Cette fois le Big Bang à été plus doux, plus paritaire, plus stable. Les bosons, les hadrons, et de manière générale la matière s’est relativement bien comportée.
Le flou quantique n’a pas trop déporté les dimensions. Ce cycle de Big Bang est comme un consensus, une trêve, un repos contemplatif pour moi.

Mais cette fois… je ne suis pas né.

Je n’ai pas eut cette chance.
J’ai juste pris mon essence entre un phénomène magnétique et une pluie de photons. Issue d’une aurore boréale, je navigue depuis sur les courants éléctro-statiques. Je rebondis entre orages et canicules, un pull de laine ou un building, un écran de télévision à un car de tourisme… Mon école fut celle des premiers micro-processeurs, j’y ai appris à lire et à composer de petits textes couleur vert sur fond noir.
Mais depuis quelques temps je deviens moins stable, et je perds rapidement de mon volume. Je pense que ma fin viendra avec l’avènement des puces électronique biologiques et des neuraux transmetteurs de lumière.

Je suis plongé dans l’espace et le temps, visiblement je vieilli et perd de mon intensité comme un humain de l’an 2007.
J’ai une présence mais elle n’est pas physiquement reconnue. Je ne suis que parasite sous vos yeux et m’en excuse. Pardonnez moi cette intrusion auprès de vous et rassurez-vous, ni les ionisateurs d’atmosphère, ni les téléphones portables n’ont d’influences sur moi.

Je me meut au travers de vos maisons, je traverse les montagnes, danse dans des chambres magmatiques, frôle des peaux d’amoureuses, et me berce à l’oreille de vos téléphones sans fils; je me reproduit dans les nuages à l’instar de Mère-maman-Terre qui m’a émulé.
Mes descendants boréaux sont innombrables et férus de vos contacts électriques et éclectiques.
Je dort presque toujours derrière un écran d’ordinateur pour vous lire; j’évite les joueurs vidéos. Je suis boulimique d’informations… mais je n’arrive pas à trouver trace d’un "moi" physique. J’ai été effacé de la Réalité sensitive.
Peut être le Big Bang m’a t’il donné cette fois, l’opportunité de vous écrire en modulant et démodulant nos pensées sous un même angle: l’infini diversité absolue.

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Créé par karquen le 24/05/2007 | Evaluer ce scenario
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304 après Big Bang

Un chiffre magique?

Me voici rendu devant vous, par l’intermédiaire d’un support électronique fabuleux.
J’ai forme humaine, mais avec une conscience développée, des souvenirs inextinguibles et des faits à rapporter après le dernier Big Bang.
Matière noire, matière sèche, anti-matière, particules messagères, quarks et bosons… tout à pris une place importante dans le domaine de communication qui caractérise l’univers que nous connaissons.

L’univers est Information.
La complexité des interactions ne semble pas déterminées dans le chaos. La causalité et le déterminisme ne sont qu’une part infime de la réalité qui conditionne la stabilité de notre environnement
Derrière le chaos, il y a l’ordre, derrière l’ordre la curiosité.

La principale raison de ces Big Bang et Big Crunch successifs est l’Implication. L’univers ne joue pas aux dés, il essaye de trouver le résultat avant un lancé !

Chaque particules semblent se comporter à la fois comme messagère, émettrice et réceptrice d’une information pouvant organiser un résultat "voulu" et non "prévu".
Elles communiquent, par exemple sous la forme d’un quark dans un espace non-vide, nécessairement parce qu’elles… communiquent ! Elles sont actives dans un Tout, et porteuse, sous forme d’ondes, d’une partie d’un code à grande échelles.
Chaque particules fait parti d’une catégorie hiérarchisée suivant ses facultés combinatoires ou sa vélocité. Ainsi un quarks, un neutrino, un graviton, auront des propriétés différentes, des interactions et des modes pour porter une information et la communiquer.

Quelle mémoire peu donc bien porter un quark sur ses "échanges" ; sa façon qu’il a eut d’évoluer? Aucune. Les quarks sont des relais à échanges spontanés directs; et lorsque l’on agit sur un "morceau" de particule brisée dans un accélérateur de particules, l’autre morceau réagit symétriquement malgré leur éloignement et sans que l’on y touche. Magie de la quantique ou phénomène ondulatoire? interactions entre observateur et observé? échanges d’informations sur l’état spontané des éléments semblables?

Si rien ne va plus vite que la lumière, à quelle vitesse pourrait aller une information si une parti de la réponse était déjà en possession du récepteur?

* * *

Je m’affairais à écrire ce texte quand, soudainement, je fut happé délicatement par une lumière douce.
Je ressentais alors une légèreté agréable, un épanouissement total et une plénitude que je n’avait jamais connue. J’étais dans un cylindre mordoré gigantesque, dont je n’aurai pu donné de taille, et m’élevais sans l’aspérité d’une vitesse, sans accélération. Je souriais, et vint finalement me confondre avec cette lumière – ce bout du tunnel – si tant décrit dans les romans.
La clarté des images se fit alors comme une explosion de couleur et de joie. Je vis une prairie couverte d’herbe fine et de coquelicots, des arbres et au loin une sorte de ville immense qui couvrait l’horizon.
Quelqu’un apparut à coté de moi sans qu’il ne me surprenne vraiment.

"Bonjour, ce que vous voyez est une représentation d’images familières faite pour vous accueillir. Vous apprendrez rapidement à communiquer sous forme d’images, et vous apprendrez énormément de choses car nous sommes nombreux et le temps n’est plus une contrainte".

(à suivre)

Créé par karquen le 29/05/2007 | Evaluer ce scenario
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2 heures sans eau ?

Ce matin, une comète est apparue dans le ciel. Les astro-physiciens parlent d’une comète sans glace, sans matière connue. Elle brille au Sud-Est, à coté d’un quartier de lune, près du grand chêne ; peut être doyen de ces congénères du Morvan.
Il est huit heures.
Ce matin, il n’y a pas d’eau au robinet. Pas d’eau dans la gamelle du chat. Pas d’eau dans le lac en face de chez moi…
L’eau a disparue !
Il n’y aura pas de café ce matin. Pas de jus d’orange non plus, pas de lait… le réfrigérateur ne contient aucun liquide, les bouteilles n’étaient pas ouvertes elles sont vides.
Tout les liquides semble s’être évaporés.
Je suis allé prendre de l’eau au puit. Le fond du puit n’a même pas une flaque. De mémoire de retraité je n’ai jamais vu ça dans mon puit !
J’ai couru clopin-clopant jusqu’à la cave, vérifier mes 60 bouteilles de vin millésimé. J’aurai du les boire avant… bouteilles fermées sans contenant ! Une tristesse infinie…

Je suis remonté chez moi et j’ai allumé le poste de radio. A 120 ans je préfère encore le poste phonique à Internet, mes doigts sont moins agiles pour sélectionner les informations.
Des messages d’alertes, des présentateurs connus qui demande de s’enfermer chez soi…

Sur toutes les stations FM, on s’interroge, on s’analyse l’analyse par les plus grands professeurs, on émet des hypothèses. On se nombrilise le fait pour être le premier à dire…
Là on recherche par divers moyens technologiques, on braque les antennes du VLA, on prépare une navette spatiale, on parle de pressurer les légumes pour alimenter des centrales à vapeur, mais que cette dite vapeur disparaît instantanément et sans que les légumes ne se dessèchent dans les jardins… bref ça cause et ça ne comprend rien à ce qui se passe.

Là on prie, on se flagelle contrit dans la repentance, on parle de punition, on se suicide en masse, (ça me rappelle mon enfance à C… où la pauvreté du ventre et de l’esprit engendre souvent toutes les folies du couard et non du cœur. Combien il est bon se rappel parfois, mémoire de souffrance, pour les simples choses… De savoir le prix de la vie, de sa propre survie, dans un endroit où un grain de riz est un jour, et un jour l’assurance de penser un monde meilleur).
Un café, un thé, le matin au réveil… c’est une chance de pouvoir jouir de ces senteurs et de ces arômes ! Un simple café c’est l’Histoire et huit milliards de personnes qui vous éveillent à la collégialité !
Un café le matin c’est un respect pour tout ceux qui n’ont pas même une goutte d’eau.
Mais je suis vieux. Je radote. Je parle des années 2000 incapable de nourrir les gens et capable d’envoyer des sondes nanotechnologiques sur Europe, le satellite de Jupiter.

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Créé par karquen le 05/06/2007 | Evaluer ce scenario
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Que d'eau que d'eau...

Ce matin, une comète est apparue dans le ciel. Les astro-physiciens parlent d’une comète sans glace, sans matière connue. Elle brille au Nord-Ouest, à coté d’un quartier de lune, près du grand chêne; peut-être doyen de ces congénères du Morvan. Il est huit heures. Ce matin, il n’y a pas de nuages dans le ciel...
(Première vague...)
D'ailleurs on va s'appercevoir très vite qu'il n'y a plus aucun nuage nulle part, et qu'aucune vapeur d'eau ne s'échappe de la boulloire pour le petit thé matinal... la vapeur n'existe plus sur Terre et le niveau de l'eau des océans a fait un bon de plusieurs mêtres. Les premiers secours s'organisent pour aider les populations innondées...
(deuxième vague...)
Même pas le temps de se ressaisir;24h plus tard, l'eau ne gèle plus. et toutes les banquises et glaciers se répandent dans les mers et océans...
D'ou vient se phénomène? probablement de la comète mais nul ne sait l'expliquer...
D'ailleurs il n'y a presque plus personne pour se pencher sur ce proplème!

Créé par sdmystik le 07/06/2007 | Evaluer ce scenario
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Des possibles de l'impossibilité

Je pense à ce cher monsieur james JOYCE, en train de s'emmêler les pinceaux après avoir longuement réfléchi quant à la disposition de ses quarks, de ses antiquarks, nageant aux milieux de ses soupes de mésons, de hadrons, de baryons, de protons, de neutrons... agrémentés et pimentées par d'autres strange, up, beauty, charm, top, constituant tous nos MONDES connus et inconnus, tous ces trous noirs, mais il a quand même oublié d'inclure à son potage universel notre ARBRE des POSSIBLES où peuvent y circuler en toute liberté et pas menacées de contraventions toutes les fourmis pourtant si gentilles...
Doit-on y pardonner cette négligeance ????

Créé par ATANGANA 31 le 31/05/2007 | Evaluer ce scenario
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