Scénarios arborescents
Arborescence du scénario 6481

"dare alla luce"

Une Âme vient à la vie "l'astre qui éveil et apporte la lumière du matin"
(Métaphormoses toi, en Être lumineuse : en Enfant Indigor, éternellement vivante...)
bienvenue sur Terre

Tu as parcouru un long chemin pour arriver jusqu'ici, sur cette Terre. Traversé des mondes intraSENSés et intraVISIBLEs
Ton dernier voyage est celui de l'eau.
Tu arrives en pleine tempête.
Mais ta sérénité apaise déjà les vents déferlants sur la terre. Reste le souffle et les vents qui te bercent.
Ton nouveau voyage est celui de naître de vivre et de grandir comme l'Arbre de Vie s'étire à l'infini.
Quel sera ton chemin A venir?
Celui que tu choisiras, chaque jour de ta vie, parsemé de fleurs d'arc-en-ciel, diffusant les rayons qui transPERCENT les limites et vaporise ses gouttelettes de fraîcheurs nouvelles pour arroser les belles pensées innombrables qui feront éclore l'Amour Universel et l'équilibre…

Créé par dolphindigo* le 24/02/2007 | Evaluer ce scenario
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Ô quantAbys !!!!!

Les humains sont convaincus de détenir l'exclusivité de la recette de la soupe originelle qui mijote en bulles dans la marmite du grand ermite, depuis le début du Temps. Pourtant, moi, AllibyssinA, baleine blanche dans une autre dimension, je reviens des profondeurs intriquées de mon Ô céans, pour vous apporter cette révélation "j'ai expérimenté la co-relation avec les bipèdes terrestres".

J'en reviens ! En effet, AllibyssinA avait réussi à échapper à ces êtres qui devaient s'enduire d'un revêtement résineux et mou pour affronter les fonds marins ! Elle avait repéré une grande déchirure dans le filet et en avait profité pour prendre le large. A moi, les horizons d'évasion ! Elle en riait d'aise !

Pendant sa captivité, une constellation d'étoiles de mer de passage éclair lui avait rapporté que, non loin de là, un dauphin apparaissait régulièrement sur les rivages du Grand Bleu, le long d'une immense plage toisée par une grande dune autrefois bastion de Ponce, le roi de Pilat. Elles lui avaient raconté que le dauphin était un leu solitaire aimant jouer avec les crêtes des vagues et pianoter sur la cime des arbres de la côte. Les étoiles avaient dit, aussi, qu'il avait un don pour attirer les sirènes qui dansaient et chantaient la nuit, pour calmer leurs insomnies et qu'elles s'éclipsaient furtivement en entendant le battement d'aile de Morphée venu accompagner le dauphin au pays des rêves...

AllibyssinA avançait lentement dans la pénombre inconnue des grands fonds et se remémorait cette histoire lorsqu'elle fut très intriquée par des ultra-sons qui l'attiraient vers le large. Son radar décrypta la note de Ré ! Elle pulsa quelques bulles et remonta en urgence. Elle vit alors le dauphin de légende qui ouvrait les chemins de l'onde de son aileron rond en se laissant porter par un courant alternatif d'aigüs et de graves. Une invitation à regagner l'île la plus proche. Elle se plaça dans l'écume de ce grand dauphin bleu en fredonnant.

Attiré par son chant vibrant, le dauphin bleu fit une pirouette et accosta la baleine blanche. Jeux et ébats de joie, éclaboussements et rires stridents les épuisèrent. Finalement, ils échouèrent sur un banc de sable blanc et s'y ébrouèrent pour se débarrasser des pensées parasites récoltées dans les fonds marins au cours de cette belle échappée. De leurs nageoires, ils creusèrent des petits trous dans le sable humide et y poussèrent ces mauvaises herbes. Elles reprendraient une nouvelle vie de cette manière.

Le champ était libre ! Le dauphin se laissa couler sur le dos en écoutant les vibrations de la baleine blanche. Elle s'enfonçait dans l'onde et remontait en chantant. Quel beau son ! L'air en devenait mauve. Le dauphin bleu se souvenait des lettres de phenix qui, autrefois, étaient gravées au fronton de leur logis "Les fermions ne voyagent pas ensemble". Finalement, AllibyssinA, nous avons traversé le Temps et nous l'avons fait, ce voyage.

Il rejoignit AllibyssinA et lui dit : "Et si nous fermions les segments qui nous séparent pour en faire des boucles infinies ? Des ronds dans l'eau de la Vie où nous nous baignerions à l'infini ?" Ils se regardèrent longuement. La baleine devint bleu, le dauphin pâlit un peu. Etonnés, ils découvrirent que leurs yeux, miroirs de leur âmes, étaient super symétiques. Non intriqués. Le voile de leurs synchronicités était levé.

Au début est l'Un formation, dit la baleine blanche.
Et cela fait apparaître tantôt l'obscurité, tantôt la lumière, dit le dauphin bleu.
La baleine et le dauphin n'oubliaient pas qu'ils étaient nés "là-bas", avant que, pour les garder vivants, les bipèdes déplacent leur NOM et leur code d'information !

Ô blanche baleine et bleu dauphin, téléportez-vous loin des humains, de leur manifestations assourdissantes. Renaissons !

Créé par L'épistéolienne le 10/03/2007 | Evaluer ce scenario
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