| | | Il voyait tout ce troublait autour de lui, les ordinateurs, les générateurs, les sientifiques, l'air inquiéts, ils observaient le phénomène issu de leurs recherches. nicolas lui observait ce monde de plus en plus abstrait. dans sa tete, les informations circulaient, comme des flashs, comme une contine lensinnante.
elles revenait dans son esprit.
"d'abord, il faudrat que vous mettiez en place votre propre équipe. que vous repériez les point stratégiques qui nous on échappé a l'époque et qui nous on couté si chers , ensuite vous mettrez en place les actions qui nous permettrons de remporté la victoire.
vous possedez dans cette sacoche tout les points important a détruire, dés votre arrivé labas, localisé les points, mémorisez les et détruisez la liste, compris. "
biensurt il avez compris mais, aura t il le temps ?
autour de lui la lumière disparue peu a peu pour faire place a un noir absolu. les plaques en alliage dans la sacoche ce mirent a luirent d'un couleur ambré voir orange foncé. ces sens, troublaient par le manque d'appesenteur ce troublaient. tournait il sur lui méme, s'élevait il ou tombait il ? il ne ressenté pas d'air en mouvement, autour de lui, mais pouvait réspiré librement sa montre semblait détraquer, les chiffres de son ecran allaient tantot vers midi et tanot reculaient vers six heures. le bruit des générateurs, peu a peu c'était amoindri pour devenir inodible et enfin innexistant. nul vitesse ne semblait existait dans cet étrange voyage, il était surpris de ne pas ressentir de douleur, mais sa surprise fut de courte duré ainsi que le calme de ce voyage. ces oreille ce mirent a bourdonnaient, doucement d'abord puis de plus en plus, son corps fut pris comme dans un étaux qui ce serrait lentement.
dans le laboratoire, les sientifiques ce félicité de cette première réussite quand un des laborentin s'approchat de son supérieur.
" monsieur.
-oui stefen !
- il y a un point que l'on a pas calculé, monsieur.
-expliquez moi, soupira le professeur.
- dans nos calcule, on ne tien compte que de la réalité passé, or j'ai voulu me pencher sur la réalité relative etéventuel du futur possible.
- et alors, s'impatienta le scientifique visiblement agacé.
les résulta de mes calculs viennent juste d'arrivés. on a 98 pourcent de probabilité relative que aucun de nous ne voient le jours si il réussi la mission.
- QUOI ! ! !
- oui monsieur, et nul ne sait ce qui adviendra de nicolas si il revient. car, si il revient dans notre époque mais dans un monde en paix. ce laboratoire n'aura eu aucune raisons d'existé. donc...
le proffesseur s'affala d'un coup sur une chaise, regarda son subalterne et l'intérrogea, d'une voix a peine odible
-vous etes surt? ? ?
l'assistant inclina de la tete en signe d'approbation...
nicolas ne pouvait plus réspirait que par petite inspiration, soudain, des bruits lui vinre au oreilles comme une cloche qui sonnait, est ce la mort ? il sentit de la vitesse, le noir absolut disparue peu a peu et des images flou ce décinèrent, avec une dominante verte, puis les reliefs ce précisèrent, d'autre teintes aussi et alors la pression des étaux ce libéra d'un coup, propusant nicolas dans les air d'un nouveau paysage. le choc contre le sol fut violant, l'herbe, humide raffraichit le voyageur temporel. il ce tordi de douleur, le choc l'avait secouer mais il ce releva, chancelent mais entier. au loin un moteur d'un autre temps, bruyant, toussotant ce faisait entendre... Créé par nicolas de saintange le 02/08/2011 | Evaluer ce scenario Ecrire une suite ou une alternative a ce scenario | Commentaires (0)
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